Maisil faut que je m'en aille. Je suis parti changer d'Ă©toiles. Sur un navire, j'ai mis la voile. Pour n'ĂȘtre plus qu'un Ă©tranger. Ne sachant plus trĂšs bien oĂč il allait. Buvons encore ( Buvons encore) Une derniĂšre fois ( Une derniĂšre fois) Minidou, je pense qu'il n'y a pas vraiment grand chose Ă  ajouter Ă  ce qu'on dit pooky et ta copine Ă  envie de se suicider, si pour le moment elle ne voit pas d'autre solution, tu ne peux rien faire d'autre qu'ĂȘtre lĂ  pour elle, l'Ă©couter, la comprendre, la soutenir. Surtout ne la laisse pas seule! Je suis passĂ©e par l'envie de mourir, et le pire Ă©tait de m'en sentir coupable, d'avoir entendu que "c'est pas bien", mais je ne pouvais pas m'ĂŽter cette idĂ©e de l'esprit, rien n'y changeait, comme si mon cerveau ne rĂ©pondait plus, et j'avais beau y penser, Ă  mes proches, Ă  toutes les choses que je perdrais, Ă  la peur de mourir, Ă  toute ma famille et aux gens qui avaient besoin de moi ; ça ne passait pas. Aujourd'hui encore, quand cette idĂ©e me traverse l'esprit, j'ai du mal Ă  l'en faire cela dure depuis 9 mois, et ça me semble long, mais doucement je commence Ă  aller mieux, et c'est grĂące Ă  mes amis, mes proches, ces personnes formidables qui sont prĂȘtes toujours Ă  m'Ă©couter, Ă  me soutenir. Me laisser le temps est ce qui m'aide aussi, ne pas me dire qu'il faut Ă  tout prix que j'aille mieux, ne pas paniquer, laisser faire le temps, pleurer quand j'en ai
Tucrois qu'il faut que je m'en aille Hin hin Ok, j'ai fait mon time Hin hin Sayez tu m'dis bye bye Hin hin Laisse moi une derniÚre chance Non non non non S'te plais fait moi confiance Non non non non Pardonne ma négligence Non non non non Je regrette quand j'y pense J'te dis bye bye, j'te dis bye bye Faut que tu t'en ailles, faut que tu t'en
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de LondresAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Nature londonienneAshton Parker, le Dim 29 Avr - 2143 PV Ruth Yathowm LA accordĂ©C'Ă©tait une belle journĂ©e de fin avril, et bien qu'il ne faisait pas particuliĂšrement chaud, le soleil Ă©clairait les rues londoniennes. C'est pour cette raison qu'au milieu de l'aprĂšs-midi Ashton avait dĂ©cidĂ© qu'il Ă©tait temps pour lui d'aller faire une petite balade au parc avec les jumeaux. Cela avait posĂ© un peu plus de problĂšmes que prĂ©vu car Braeden avait dĂ©cidĂ© que c'Ă©tait le jour oĂč elle voulait rester Ă  l'intĂ©rieur. Le sang-mĂȘlĂ© avait encore du mal Ă  s'habituer au fait de devoir gĂ©rer des individus qui exprimaient leurs propres volontĂ©s et qui pouvaient parfois ĂȘtre trĂšs fermes sur leurs positions. Cependant, l'idĂ©e d'une potentielle gauffre ou autre cochonnerie alimentaire promise par son pĂšre rĂ©ussi Ă  convaincre la jeune sorciĂšre de qu'il se baladait dans les rues de Londres pour se rendre au square, Squirtle dans les bras et Braeden Ă  cĂŽtĂ© de lui, Parker se fit la rĂ©flexion qu'il Ă©tait vraiment devenu une personne beaucoup trop mature et responsable. Dire que quelques annĂ©es plus tĂŽt ses principales prĂ©occupations Ă©taient le prochain match de Quidditch ou les soucis d'entente chez les Mangemorts. Si ça continuait Ă  ce rythme-lĂ  l'ex-Gryffondor allait finir par avoir un travail au MinistĂšre et commencerait Ă  planifier des vacances en famille dans l'Est de la France. Ashton frissonna un instant Ă  cette fois arrivĂ©s Ă  l'entrĂ©e du square, il laissa les jumeaux courir vers les installations de jeux. Braeden n'Ă©tait pas arrivĂ©e aux balançoires depuis deux minutes qu'elle Ă©tait dĂ©jĂ  en train de tirer sur les cheveux d'une petite fille inconnue, c'Ă©tait bien la fille de son pĂšre ça ! C'est alors qu'Ashton remarqua une fille probablement d'une dizaine d'annĂ©es Ă  cĂŽtĂ© de lui. Elle ne semblait pas ĂȘtre entourĂ©e par qui que ce soit actuellement alors le sorcier se permit de lui adresser la T'es toute seule ? InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Lun 30 Avr - 1800 AsclĂ©piusHop, retour case dĂ©part. Ou pas vraiment. Retour sur Londres. Apparemment, Judith avait besoin d’acheter un truc qu’y avait pas dans le village Ă  cĂŽtĂ© de chez nous, celui oĂč on se rend Ă  bicyclette. En mĂȘme temps, y a pas grand-chose dans ce village, Ă  part un Ă©tang et beaucoup de boue. Au moins c’est vert, c’est joli, mais ça aide pas beaucoup. Bref. Elle avait besoin d’un truc qu’on trouvait pas lĂ -bas. Et si on Ă©tait venu jusqu’ici, c’est probablement parce que c’était un truc sorcier. Donc, on s’était rendues sur le Chemin de Traverse. Mais moi j’ai pas pu y aller. Elle m’a dit que ça prendrait du temps alors au lieu de m’avoir dans les pattes, elle m’a laissĂ©e avec un jus de kiwi au Chaudron Baveur. Un jus de kiwi ? Vraiment ? Bonjour l’établissement sorcier. Mais bon, c’était pas mauvais, bien qu’un peu acide. Mais rapidement, j’eu fini le jus, alors je suis partie en quĂȘte des toilettes. J’ai croisĂ©e une espĂšce de plante bizarre. Enfin, j’ai faillis lui marcher dessus plutĂŽt, mais un grand bouclĂ© Ă  l’air affolĂ© m’a retenu avant. Apparemment, la plante, c’était GĂ©rard. Ah. C’était un peu pourri comme nom, mais j’ai rien osĂ© dire, parce qu’il m’a montrĂ© la direction des toilettes, et c’était plutĂŽt gentil de sa part. Sauf qu’aprĂšs ce petit passage, bah j’avais plus rien Ă  faire. Je songeais Ă  commander un autre jus de kiwi avant de me dire que finalement, bah j’aimerais bien aller visiter le Chemin moi, mĂȘme si j’étais toute seule, c’est pas grave, je saurais me repĂ©rer ! Ça, c’était avant de me tromper de sortie et de me retrouver Ă  Londres. Oui, je sais que le Chemin de Traverse est Ă  Londres mais pas vraiment. LĂ  c’est Londres-Londres. Le vrai Londres. Pas celui avec la magie. Sauf si celui avec la magie est le vrai ? Sauf si en fait la magie est partout ? Je me sentais un peu dĂ©passĂ©e, alors j’ai fait une balade. Et comme je connaissais pas le vrai Londres parce que j’y avais jamais mis les pieds, bah je me suis perdue. Dommage. J’ai essayĂ©e de revenir sur mes pas, mais c’était pas trĂšs concluant, alors je me suis arrĂȘtĂ©e pour analyser mon environnement. Non, c’était pas pour bouder. Et voilĂ  comment j’ai fait la connaissance d’un autre type bizarre qui apparemment Ă©tait le rĂ©fĂ©rentiel de deux enfants mĂąle et femelle. Mais ça va. Des gens bizarres, y en a pleins, c’était peut-ĂȘtre un gentil, vu que les enfants qui l’accompagnent ont pas l’air d’ĂȘtre en danger. Ils ont l’air moins perdus que moi, c’est dĂ©jĂ  ça. - Ouais. Parce que c’était vrai. Je pensais traverser le Chemin mais c’est pas le bon, alors je suis lĂ . Toi aussi t’es perdu ? C’est tes enfants ? Vous vous appelez comment ? Moi c’est Ruth ! » Et avec ça, sourire ! Parce que c’est plus facile pour communiquer. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Lun 30 Avr - 2104 Bon, apparemment la fillette Ă©tait bel et bien paumĂ©e puisqu'elle lui confirma qu'elle Ă©tait toute seule. Et Ă  mois qu'Ashton ait complĂštement perdu l'habitude d'estimer l'Ăąge des gens il lui semblait bien qu'elle Ă©tait trop jeune pour se balader toute seule dans Londres comme ça. OĂč alors de nos jours Ă  dix ans c'Ă©tait considĂ©rĂ© comme normal de prendre son indĂ©pendance aussi tĂŽt ? C'Ă©tait difficile de suivre les jeunes gĂ©nĂ©rations, mais lui-mĂȘme Ă©tait presque certain qu'Ă  cet Ăąge lĂ  il collait toujours sa mĂšre ou sa grande plus elle paraissait ne pas manquer d'Ă©nergie la petite. C'est pas qu'aprĂšs la simple question que lui avait posĂ© l'ex-Gryffondor elle commençait lui poser plein de questions. A la base lui tout ce qu'il voulait c'Ă©tait de faire une action sympa en la ramenant Ă  ses parents si elle les avait perdu mais lĂ  l'inconnue commençait Ă  lui parler de ses enfants, Ă  lui demander son nom et tout le bordel. Elle avait parlĂ© d'un Chemin mais Parker n'Ă©tait pas bien certain de s'il s'agissait du Chemin de Traverse ou bien d'un chemin normal. C'Ă©tait le problĂšme dans cette zone de Londres oĂč l'on trouvait Ă  peu prĂšs autant de sorciers que de moldus, impossible de savoir si on tombait sur l'un ou sur l'autre. Enfin, la fille lui donna tout de mĂȘme son nom, ça serait plus simple pour le narrateur de la dĂ©signer par la suite comme Euh, non je suis pas perdu j'habite pas trĂšs loin. Moi c'est Ashton, se prĂ©senta-t-il. Et lĂ  c'est mes pointa du doigt Squirtle qui dessinait un truc probablement moche dans le sable Ă  l'aide d'un bĂąton, puis Braeden qui venait de voler une pelle Ă  un petit garçon. Le sorcier se retourna ensuite vers Ruth, toujours Ă  cĂŽtĂ© de lui et qui le regardait avec un grand sourire. C'Ă©tait beau de la voir s'engager dans la vie aussi joyeuse, peut-ĂȘtre qu'elle pourrait en reparler une fois qu'elle aura eu ses ASPICs, elle risquait d'ĂȘtre nettement moins enthousiaste. - Du coup tu habites pas loin d'ici ? Y a pas d'adultes avec toi ?Il demandait pour ĂȘtre sĂ»r parce que ça lui semblait tout de monde un peu louche qu'elle puisse se balader comme ça sans accompagnement. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Mar 1 Mai - 216 C’était bien ses enfants ! J’m’en doutais un peu. Quoique pas trop. Enfin, si, je les avais un peu vu arriver ensemble, quoi. Ça permettait de faire des dĂ©ductions. Soit c’était un de ces types dont on nous dit qu’il faut pas s’approcher, soit c’était un parent rĂ©fĂ©rentiel. Et vu comment il en parle, bah c’est un parent rĂ©fĂ©rentiel. Je fais un coucou » de la main Ă  sa fille et son fils. Ils ont l’air de bien s’amuser. Je me demande si je pourrais pas en profiter aussi pour jouer un peu. Mais Ashton m’a l’air un peu contrariĂ©. Moi aussi, remarque. Faut pas oublier que j’entre dĂ©sormais dans la catĂ©gorie enfant perdu ». AprĂšs celle d’orpheline, me manque plus qu’à Rencontrer Peter Pan pour complĂ©ter le tableau
 A moins
 A moins que ça ne soit dĂ©jĂ  le cas ! J’ouvre de grands yeux, tout exorbitĂ©s en dĂ©visageant mon interlocuteur, Ashton, le papa des deux enfants. Peter Pan c’est pas un papa, pas vrai ? Il kidnappe plutĂŽt des enfants. Les garçons perdus. Bon, moi, je suis pas un garçon alors ça devrait aller. J’espĂšre. MĂȘme si on est jamais trop sĂ»r. - Dis, t’es pas Peter Pan au moins ? » Fallait qu’il rĂ©ponde, c’était trĂšs important. En attendant, bah
 Fallait moi aussi que je rĂ©ponde. Depuis quand on jouait au tennis ? Je me grattais lĂ©gĂšrement la tĂȘte. Un peu gĂȘnĂ©e, sans trop savoir pourquoi. Peut-ĂȘtre parce que je suis perdue. Je l’aime bien cette excuse je crois que je vais l’utiliser plus souvent Ă  partir de maintenant ! - Parce que j’ai pas envie de plus pouvoir rentrer chez moi. Mais je sais plus si j’ai encore vraiment un chez-moi. J’essaye d’expliquer avec des mots simples sans avoir tout Ă  expliquer, mais comme c’est compliquĂ©, je change de sujet. J’étais avec Judith, parce qu’elle devait faire le plein d’herbes sur le Chemin, mais elle m’a laissĂ©e au Chaudron Baveur avec un jus de kiwi. Sauf qu’aprĂšs, j’ai eu envie d’aller aux toilettes, mais lĂ  j’ai rencontrĂ©e GĂ©rard ! Heureusement, y a l’épouvantail avec les bouclettes qu’est venu me chercher et tout allait bien. Mais je savais pas quoi faire et je voulais plus de jus de kiwi alors j’ai pensĂ©e rejoindre Judith ! Mais, du coup, et
. Euh
 Bah
 Oui, voilĂ  ! Mais j’ai pas pris la bonne sortie parce que je crois qu’on est pas lĂ  oĂč ils vendent les trucs pour la magie, mĂȘme si j’y connais pas encore grand-chose et
 Je m’arrĂȘte, brusquement, les mains sur la bouche. Mftu mfagie heinghf ?? » Ouais, jugez pas, c’est pas pratique de parler avec les mains plaquĂ©es devant la bouche pour Ă©viter de dire une bĂȘtise. Comme rĂ©vĂ©ler l’existence de la magie au monde Ă  quelqu’un qui probablement ne savait mĂȘme pas ce que c’était. Apparemment, c’était un sujet trĂšs grave, et j’avais pas vraiment envie d’avoir des problĂšmes alors que je n’étais pas encore allĂ©e Ă  Poudlard ! Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Mar 1 Mai - 1522 - Dis, t’es pas Peter Pan au moins ?C'Ă©tait quoi cette question ? Est-ce qu'il avait une tĂȘte de Peter Pan lui ? Il se souvenait vaguement que sa grand-mĂšre lui avait racontĂ© cette histoire moldue quand il Ă©tait petit. Ça parlait d'un mec qui grandissait pas et qui kidnappait des enfants pour vivre avec lui sur une Ăźle. Sur le coup Ashton avait trouvĂ© ça plutĂŽt sympa comme histoire mais en y rĂ©flĂ©chissant un peu plus tard il s'Ă©tait rendu compte que ce n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas le mode de vie idĂ©al. Si la petite avait peur qu'il l'a kidnappe elle s'inquiĂ©tait pour rien, il avait dĂ©jĂ  deux gosses Ă  s'occuper et il allait certainement pas s'en rajouter une troisiĂšme sur les Non je suis pas Peter Pan t'inquiĂšte pas, lui se lança alors dans tout un tas d'explications trĂšs confuses et pas forcĂ©ment bien cohĂ©rentes dans lesquelles intervenaient des personnes complĂštement inconnues. Judith ? GĂ©rard ? C'Ă©tait peut-ĂȘtre les parents ou accompagnateurs de la fillette. Lorsqu'elle mentionna le nom du Chaudron Baveur, Parker eu la confirmation que sa jeune interlocutrice Ă©tait bel et bien une petite sorciĂšre mĂȘme si elle s'avĂ©ra ĂȘtre un peu boulette sur les bords apparemment. De ce qu'avait compris le sang-mĂȘlĂ©, elle devait retrouver sa Judith sur le Chemin de Traverse mais elle Ă©tait apparemment sortit du cĂŽtĂ© moldu du Chaudron Baveur et s'Ă©tait retrouvĂ©e lĂ . Bon au moins ils Ă©taient pas trĂšs loin, le bar se trouvait Ă  seulement quelques pĂątĂ©s de maisons. Par contre pour ce qui Ă©tait du rĂŽle de l'Ă©pouvantail Ă  bouclettes Ashton avait toujours un peu de mal Ă  le replacer dans l' alors que Ruth parut se rendre compte qu'elle venait de parler sans pression de la magie Ă  un potentiel moldu. MĂȘme si au vu de son jeune Ăąge le mĂ©tamorphomage doutait qu'un quelconque adulte moldu l'aurait crue, elle avait l'air d'ĂȘtre soudainement trĂšs embĂȘtĂ©e d'avoir prononcĂ© le mot en M non pas marmite et essayait tant bien que mal de se rattraper en bafouillant. Bien qu'Ashton trouvait sa rĂ©action plutĂŽt drĂŽle il allait bien devoir la rassurer avant que la petite ne s'Ă©touffe toute seule. Le sorcier vĂ©rifia rapidement que personne autour d'eux ne les regardait puis tendit la main en direction d'une brindille au sol qui s'Ă©leva dans les airs pour arriver jusqu'Ă  lui. La paume tournĂ©e vers le ciel, il fit flotter la brindille dans le vide pendant quelques instants avant de la laisser retomber puis termina son petit tour de magie par un clin d’Ɠil Ă  J'allais proposer des gauffres Ă  mes jumeaux, t'en veux une ? demanda-t-il en s'avançant dans le parc. Et comme ça aprĂšs on pourra retourner vers le Chaudron Baveur pour essayer de retrouver, euh, Judith. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Jeu 24 Mai - 1649 Je poussais un gros soupire un peu comme celui qu’on fait pour les anniversaires. Une bonne grosse boule de souffle qui quitte ma gorge un peu coincĂ©e c’est que j’ai commencĂ©e Ă  avoir peur ! J’avais pas ça, avant, au moment de rencontrer des gens. Mais faut dire, tout est complĂštement diffĂ©rent ici. Le climat ? Au moins, l’autre, c’était pas Peter Pan je risquais pas de me retrouver coincĂ©e Ă  Neverland, ou dĂ©vorĂ©e par des sirĂšnes. MĂȘme si la perspective de devenir pirate Ă©tait attrayante. Peut-ĂȘtre pour une prochaine fois. Et le fait que j’arrive de nouveau Ă  respirer sans bafouiller venait du fait que j’avais pas laissĂ© Ă©chapper peut-ĂȘtre l’un des secrets les plus important que j’ai eu Ă  garder pour moi jusqu’à maintenant. Et c’est trĂšs compliquĂ©, parce que
 LĂ , j’ai l’impression que c’est un secret qui ne concerne pas juste deux personnes, deux amis, mais plutĂŽt l’ensemble de la collectivitĂ© sorciĂšre. J’ai jamais eu de responsabilitĂ© aussi lourde avant, et ça arrange pas mon sentiment de perdition. En plus d’ĂȘtre vĂ©ritablement perdue, pour le coup, pas seulement dans ma tĂȘte. Mais finalement, j’oublie un peu tout ça en voyant mon nouvel ami parce que j’ai dĂ©cidĂ© qu’à partir de maintenant, on serait amis, faire de la magie comme le monsieur qui vend des baguettes ! Il en fait sans baguettes ! Tout seul ! Juste avec sa main, ses doigts et je sais pas, les atomes ? La Magie ? Mais ça marche comment tout ça d’abord ?! Je reste avec mes grands yeux Ă©carquillĂ©s, la bouche en o ». J’ai bien envie qu’il recommence, mais je sais pas si ça serait trĂšs polie de ma part d’insister. Surtout qu’on se trouve en territoire qu’est pas celui oĂč on devrait ĂȘtre, si j’ai bien tout compris. - Mais c’est gĂ©nial ! Tu fais ça comment ? » Oui, je suis un peu plus spontanĂ©e que rĂ©flĂ©chie. Mais, grosse journĂ©e, on pardonne. Surtout qu’une nouvelle info trĂšs intĂ©ressante a Ă©tĂ© captĂ©e par mes canaux auditifs et cette info-lĂ , j’étais pas prĂȘte de la laisser passer ! - Des gaufres ? Oh oui ! Et je me mets Ă  sautiller d’enthousiasme pour suivre le pas, parce qu’il a quand mĂȘme plus de jambes que moi. Merci, merci ! Mais c’est pas pour empoisonner hein ? Ah, non, t’es pas Peter Pan, pis, je te fais confiance ! » Donc, il avait intĂ©rĂȘt Ă  en ĂȘtre digne. Mais ça partait plutĂŽt bien, vu qu’il allait m’offrir Ă  manger. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Nature londonienneAshton Parker, le Ven 8 Juin - 1525 De maniĂšre gĂ©nĂ©rale Ashton avait tendance Ă  ne pas trop apprĂ©cier les enfants mais il devait bien admettre que celle-lĂ  il commençait Ă  la tolĂ©rer Ă  peu prĂšs. Au dĂ©but il avait eu peur qu'elle devienne un petit pot de colle dont il ne pourrait pas se dĂ©barrasser mais en fait ça allait. Le sorcier n'Ă©tait pas du genre Ă  avoir besoin qu'on l'applaudisse Ă  chaque fois qu'il accomplissait quelque chose, il avait suffisamment confiance en lui pour que ça ne soit pas nĂ©cessaire, mais de temps Ă  autre cela faisait tout de mĂȘme plaisir de voir quelqu'un aussi enthousiaste devant ce qu'il effet, aprĂšs son petit tour de magie avec la brindille, Ruth ouvrit de grands yeux de surprise avec l'expression qui allait avec. C'Ă©tait limite si elle n'allait pas se mettre Ă  sautiller sur place d'excitation, alors qu'il ne s'agissait pourtant que d'une simple brindille qui flottait dans les airs au-dessus de sa Ça vient avec de l'entraĂźnement, et en gĂ©nĂ©ral c'est plus facile pour la plupart des gens si tu utilises une baguette, rĂ©pondit-il avec un clin d’ ensuite la question des gaufres. LĂ  encore, la jeune fille parut trĂšs enthousiaste suite Ă  sa proposition, puis hĂ©sita en se demandant si elles Ă©taient empoisonnĂ©es. Lançant un regard rapide Ă  l'espĂšce de camionnette dans laquelle se trouvait le vendeur de gaufres, crĂȘpes et autres trucs sucrĂ©es trempĂ©s dans du gras, Ashton haussa les Ă©paules en se disant que c'Ă©tait probablement une forme d'empoisonnement. Mais bon l'important c'Ă©tait de faire plaisir aux gosses non ?- Je pense pas que ce soit empoisonnĂ© non, allez vient on va aller en acheter !S'avançant alors dans le parc en vĂ©rifiant rapidement que Ruth le suivait, Parker attrapa Braeden par le bras avant qu'elle ne tue une autre fillette Ă  coups de pelle et fit signe Ă  Squirtle de venir vers le stand de gaufres. InvitĂ© Re Nature londonienneInvitĂ©, le Jeu 5 Juil - 1930 Il semblait pĂ©dagogue le monsieur. Ou, du moins, habituĂ© aux enfants. Genre, il m’a pas envoyĂ© boulĂ©, mĂȘme qu’il s’est targuĂ© de me faire une prestation de magie ! De sa magie ! Magie unique d’ailleurs, puisqu’il y arrivait sans baguette ! Je ne pouvais pas contenir mon enthousiasme, mais tant pis. Fallait bien que j’intĂšgre les informations, il semblait y en avoir constamment, tout le temps, Ă  tout instant dans ce monde ! Ça faisait tourner la tĂȘte ! On n’était pas plus que cette petite brindille, finalement. Avec quelqu’un qui fait tourner tous les engrenages derriĂšre ? Mouais, pas sĂ»re. - Supeeeer ! » J’aimais beaucoup ma baguette, mais plus parce que je la trouvais jolie que par rĂ©elle utilitĂ©, en fait. J’avais pas trop eu l’occasion de l’utiliser, faut dire. J’y comprenais pas encore beaucoup, Ă  tout ça. Mais je m’adapte vite ! Ça semble particuliĂšrement important dans un monde qui semble bouger constamment. Etrange, pourtant, j’ai l’impression que ça stagne quand mĂȘme. On voit pas trop les courants. Mais pour le moment, j’acquiesce et je fais un grand sourire au monsieur, avant de le suivre jusqu’au camion de gaufres. Il a ses enfants avec lui, et je demande sur le trajet Ă  sa fille si on pourra creuser jusqu’au centre de la terre avec sa pelle. Elle semble enthousiaste, de ce que je peux en voir, et finalement, je suis plutĂŽt contente de m’ĂȘtre perdue, aujourd’hui. J’espĂšre simplement que le monsieur me ramĂšnera au Chaudron-qui-bave, tout de mĂȘme. Ça serait ballot que Judith s’inquiĂšte alors qu’on m’a pas enlevĂ© pour Neverland. Pour une fois que je ne fais pas de bĂȘtises non plus
______________HRPGFin du RP ! Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Ven 10 AoĂ» - 2039 Moral Ă  zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelleElle ne savait pas comment elle en Ă©tait arrivĂ©e lĂ . L'esprit embrumĂ©, incapable d'aligner deux pensĂ©es cohĂ©rentes, Rikka errait dans les rues de Londres, dĂ©sertes en cette heure tardive. Quelle heure Ă©tait-il exactement, la blonde n'aurait mĂȘme pas su le deviner. Tout ce qu'elle savait, c'Ă©tait qu'elle Ă©tait dans la capitale et qu'il Ă©tait tard, trĂšs tard. Elle n'avait pas prĂ©vu ça. Ni mĂȘme d'ĂȘtre incapable de mettre un pied devant l'autre sans trĂ©bucher et manquer de se vautrer. Elle savait aussi qu'elle Ă©tait dans un Ă©tat pitoyable mais cela ne l’émouvait mĂȘme pas plus que ça. Pourquoi aurait-elle des remords d'avoir bu ? Pourquoi n'aurait-elle pas pu boire ? Elle Ă©tait une personne comme une autre, avec des envies et des sentiments. Elle avait le droit de faire ce qu'elle d'elle, les immeubles semblaient de grandes colonnes sombres, allĂ©es infinies vers l'inconnu. Les pas de la jeune femme la menaient elle ne savait oĂč, foulant les pavĂ©s avec lourdeur. La blonde Ă©tait fatiguĂ©e. Comme si un Ă©norme poids lui pesait sur les Ă©paules, de plus en plus, l'empĂȘchant d'avancer. Le dos courbĂ©, Rikka avançait. Elle entra dans un petit parc public qui semblait dĂ©sert, mais elle se fichait qu'il y ait quelqu'un ou non. Elle avait juste envie de s'asseoir. Ce qu'elle fit, ou plutĂŽt elle s'affala sur le sol, Ă  genoux, Ă  cĂŽtĂ© d'un banc. La bouteille qu'elle tenait Ă  la main tinta en touchant le sol mais ne se brisa pas. La blonde la regarda, le regard vide, et but une nouvelle gorgĂ©e. Le liquide lui brĂ»la la gorge mais elle n'en avait Gryffondor renifla et se frotta la bouche avec sa manche, avant de prendre appui sur l'assise du banc, la tĂȘte dans sa main. Ses cheveux attachĂ©s en queue de cheval devaient ĂȘtre Ă©bouriffĂ©s Ă  l'heure qu'il Ă©tait et son maquillage Ă©tait brouillĂ©. Elle se souvenait avoir pleurĂ© dans ce bar moldu, avant de sortir et de se balader dans les quartiers de Londres. A l'origine, la jeune femme Ă©tait venue pour la journĂ©e Ă  la BibliothĂšque afin de continuer Ă  travailler. A la fin, elle s'Ă©tait promenĂ©e dans les boutiques moldues, l'esprit lĂ©ger car elle arrivait au bout de son projet d'Ă©criture. Seulement, Ă  travers la foule, elle l'avait vu. LUI. Mark. Ce porc. La carapace que Rikka s'Ă©tait forgĂ©e aprĂšs l'incident, trois ans plus tĂŽt, se craquela immĂ©diatement, manquant de se briser ne l'avait pas vue, elle, heureusement. La jeune femme s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e dans ce bar, Ă  proximitĂ©, et avait pris un verre de whisky pour se dĂ©tendre. Cependant, ce verre n'avait pas fait effet et une foule de souvenirs lui Ă©tait revenue en mĂ©moire. Elle avait alors pris un second verre, puis un troisiĂšme. A la longue, elle avait arrĂȘtĂ© de compter. Le barman, un homme, avait Ă©tĂ© gentil avec elle, voyant que la consommatrice Ă©tait trĂšs mal. Il n'avait pas posĂ© de questions, se contentant de la servir quand elle le demandait, tant qu'elle pouvait payer. Au bout de quelques heures, comme elle ne bougeait pas, le barman Ă©tait venu la voir en lui demandant si ça allait. Erreur. La barriĂšre de Rikka s'Ă©tait brisĂ©e et elle avait pleurĂ©. Il l'avait laissĂ©e et lorsqu'il Ă©tait revenu, elle avait demandĂ© Ă  avoir une bouteille de whisky puis Ă©tait blonde avait dĂ©ambulĂ© dans la rue, tandis que la nuit Ă©tait tombĂ©e et que tout semblait dĂ©sert. Elle Ă©tait seule au monde. Seule avec ses pensĂ©es obscures et sa bouteille presque vide. L'alcool coulait dans ses veines, lui retirant toute inhibition et lui rappelant cette fameuse nuit oĂč tout avait basculĂ©. Rikka s'entoura de ses bras et se recroquevilla contre le banc, des nouveaux sanglots s'Ă©chappant de sa gorge. POURQUOI ELLE ?DerniĂšre Ă©dition par Rikka M. Bennett le Sam 11 AoĂ» - 907, Ă©ditĂ© 1 fois AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Ven 10 AoĂ» - 2204 T'es claquĂ©. Ta journĂ©e de boulot a Ă©tĂ© Ă©puisante. Et t'as carrĂ©ment l'impression que le peu de pauses que tu t'es octroyĂ©es Ă©taient bien trop courtes. Mais t'es conscient de t'imposer toi-mĂȘme ce rythme effrĂ©nĂ©. Jamais Elly ne te forcerait Ă  aller au-delĂ  de tes forces si tu ne t'en sentais pas capable. Tu ne penses plus qu'Ă  ça en ce moment. Tu t'obliges Ă  suivre un entraĂźnement physique et magique rigoureux. Pendant des annĂ©es et des annĂ©es, tu ne pensais qu'Ă  te venger, Ă  devenir plus fort, Ă  ĂȘtre plus puissant. Mais Ă  part t'apitoyer sur ton sort, tu ne faisais pas grand chose pour y remĂ©dier, tu dois bien l' derniers mois Ă  l'Ă©cart de tout t'ont permis de te recentrer sur l'important, et surtout, d'accepter ton passĂ© pour enfin commencer Ă  avancer. Le fait d'avoir rĂ©ussi Ă  devenir Animagus t'a montrĂ© que tu es capable de bien des choses pour peur que tu t'en donnes la peine. T'as repris un peu confiance en toi. Et t'as dĂ©cidĂ© de pas lĂącher, de rester sur une pente positive, au maximum. Et l'entraĂźnement te permet de dĂ©penser ton Ă©nergie dans autre chose que des conneries. Pourtant, t'es toujours loin d'ĂȘtre le dernier pour prĂ©voir les pires coups du monde avec Arty. Mais c'est tout simplement l'adrĂ©naline provoquĂ©e par le faire de faire quelque chose d'interdit. Rien Ă  voir avec tes pulsions destructrices d' pote les a encore lui. C'est mĂȘme de pire en pire. Et mĂȘme si t'as appris Ă  mieux gĂ©rer ta colĂšre, tu restes quand mĂȘme loin d'ĂȘtre un modĂšle dans le domaine. Disons que ta patience a des limites, et qu'elles sont trĂšs rapidement atteintes. Et ce soir, tu ne te sens pas d'attaque pour gĂ©rer un Arty surexcitĂ© parce qu'il a Ă©tĂ© forcĂ© de passer sa journĂ©e dans un bureau sans se dĂ©penser. Alors tu traĂźnes les rues de la capitale, sans te presser. Tu les connais par coeur pour les avoir foulĂ©es des journĂ©es et des nuits entiĂšres alors que t'avais Ă  peine quinze ans. Les quartiers riches de la ville n'ont aucun secret pour toi Ă  force des les avoir observĂ©s en espĂ©rant y faire un jour le plus grand casse londonien de la dĂ©cennie. Mais tu finissais toujours par te contenter des petits larcins les plus faciles et les moins risquĂ©s. Le seul gros coup rĂ©ellement planifiĂ© avait fini par ĂȘtre annulĂ© par ta quartiers pauvres et malfamĂ©s, tu les connais aussi. Mieux mĂȘme. Parce que c'est ceux qui t'ont accueilli, avec leur violence, leur illĂ©galitĂ©, leur bienveillance, leur partage et leur loyautĂ©. Un monde dans lequel chacun Ă  sa place, la connaĂźt et la respecte sous peine de reprĂ©sailles. Un monde qui te paraĂźt bien plus facile Ă  comprendre que celui des hautes sphĂšres sorciĂšres dans lesquelles tu te retrouves Ă  faire de la figuration dans un costume. D'ailleurs, souvent, Ă  part les vĂȘtements, tu ne fais aucun effort pour avoir l'air Ă  ta place dans de telles cĂ©rĂ©monies. Tu prĂ©fĂšres rester toi-mĂȘme en toutes circonstances, peu importe le regard des autres. Ce soir, tes pas t'ont menĂ© dans un parc, comme il y en a des tas dans la capitale. Tu avances en profitant du lĂ©ger souffle du vent, totalement plongĂ© dans tes pensĂ©es. Et tu t'en retrouves sorti par un son, un peu Ă©touffĂ©, provenant de plus loin. Tu continues ta balade sans te presser davantage. Et tu vois une masse sombre, affalĂ©e contre un banc. Tu t'approches de la jeune femme qui empeste l'alcool et semble totalement au fond du gouffre. Tu hausses un sourcil. T'as pas pour habitude de t'occuper des autres. Mais tu te revois, dans des Ă©tats semblables, simplement quelques mois auparavant. Et tu te sens un peu obligĂ© de la Reste pas lĂ , ils vont pas tarder Ă  fermer le parc et si tu bouges pas ils sont capables d'appeler les connais. Tu t'es dĂ©jĂ  fait avoir plus d'un coup. Quand tu prĂ©fĂ©rais encore dormir en pleine rue, Ă  la belle Ă©toile, que de rentrer chez ta tante. Mais ça, par contre, t'as l'impression que c'Ă©tait il y a une Ă©ternitĂ©. Heureusement que tu t'es dĂ©barrassĂ© de cette vieille bique. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Sam 11 AoĂ» - 1315 Moral Ă  zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelle Pourquoi moi... Pourquoi... » murmurait Rikka en boucle dans ses sanglots. Une question mille fois rĂ©pĂ©tĂ©e dans les jours qui avaient suivi son viol. Elle n'avait pas trouvĂ© de rĂ©ponse. Personne n'aurait pu. C'Ă©tait ainsi que la vie Ă©tait faite. Alors la jeune femme s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e derriĂšre un Ă©crin de verre, voulant laisser cette histoire derriĂšre elle. Ça avait Ă©tĂ© difficile au dĂ©but mais plus les mois passaient, plus elle avait l'impression d'avoir fait un pas en avant. Son Ă©loignement en Australie et ses quelques voyages y Ă©taient pour quelque chose. Rien lĂ -bas ne lui rappelait Mark et cette fameuse nuit. Elle s'Ă©tait acharnĂ©e dans son travail pendant trois longues annĂ©es pour devenir plus forte. Elle Ă©tait rentrĂ©e au pays, certaine de pouvoir faire face. La jeune femme y Ă©tait parvenue un temps, se plongeant dans son projet d'Ă©criture avec passion. Mais depuis son retour, elle avait eu plusieurs occasions de repenser Ă  ce qui lui Ă©tait arrivĂ©, notamment ce soir Ă  Cannes oĂč le jeune Matt s'apprĂȘtait Ă  commettre l'irrĂ©parable. Rikka lui avait parlĂ© et en Ă©tait venue naturellement Ă  Ă©voquer son agression, pour lui montrer que la vie n'Ă©tait pas rose pour personne. Y mettre un terme n'Ă©tait pas une solution ; c'Ă©tait bien trop facile et admettre sa lĂąchetĂ©. Il fallait continuer Ă  avancer en devenant plus fort. C'Ă©tait ce genre d'Ă©preuve qui le permettait. Sauf qu'Ă  l'heure actuelle, la blonde ne se sentait pas forte du tout. PlutĂŽt faible et petite, insignifiante. Un grain de sable au milieu de l'ocĂ©an, ballottĂ© par les bras s'entourant le torse et les genoux plaquĂ©s contre elle, la sorciĂšre sanglotait toujours, comme si en explosant, son Ă©crin avait libĂ©rĂ© la puissance d'un tsunami. Comme si toutes les larmes qu'elle avait retenues pendant trois ans se dĂ©versaient maintenant. MĂȘme si elle se sentait mal en cet instant, pleurer lui faisait du bien. Le poids qui pesait diminuait, la pression relĂąchĂ©e la libĂ©rant. Elle ne s'en rendait pas encore compte. Elle ne se rendait compte de rien, pas mĂȘme de cette silhouette qui avançait dans le parc tranquillement. La tĂȘte baissĂ©e, prostrĂ©e, seule comptait sa peine qui se dĂ©versait en torrents, mouillant son pantalon et creusant des sillons noirs sur ses joues.― Reste pas lĂ , ils vont pas tarder Ă  fermer le parc et si tu bouges pas ils sont capables d'appeler les voix qui venait de s'Ă©lever semblait provenir de loin. En rĂ©alitĂ©, elle Ă©tait toute proche mais Rikka avait les oreilles qui bourdonnaient et l'alcool ne l'aidait pas Ă  y percevoir clair. C'Ă©tait comme entendre Ă  travers l'eau. Alors, elle avait mĂȘme l'impression d'avoir imaginĂ© la voix. Devenais-je folle ? finit-elle par se demander en son for intĂ©rieur sobre. Reniflant, la jeune femme releva la tĂȘte, ce qui lui provoqua le tournis. Elle gĂ©mit et mit du temps Ă  focaliser son regard. LĂ  se tenait une silhouette. Et sous la lumiĂšre des lampadaires, elle se dĂ©coupait nettement comme Ă©tait masculine. Le mĂ©canisme de dĂ©fense que la blonde avait mis en place vis-Ă -vis des hommes fut exacerbĂ© par le whisky et tous ses poils se hĂ©rissĂšrent d'horreur. ― M-Mark... ? balbutia-t-telle. Elle avait du mal Ă  voir. Mais oui, elle croyait le reconnaĂźtre. Son subconscient avait besoin que ce soit lui. Va-t'en sal**d ! cria-t-elle bond, Rikka se releva en titubant. Ce qui ne l'empĂȘcha pas de se jeter sur l'homme innocent, sa bouteille retombant Ă  cĂŽtĂ© du banc, le faisant tomber vers l'arriĂšre. Toute inhibition Ă©tait en effet envolĂ©e. Jamais la jeune femme n'aurait fait ce genre de choses en temps normal. Cependant, l'alcool l'avait bien amochĂ©e. Va-t'en ! Va-t'en ! Va-t'en ! » rĂ©pĂ©tait-t-elle en martelant son torse de ses petits poings ― elle ne pouvait pas faire beaucoup de mal car ses forces n'Ă©taient pas bien dĂ©veloppĂ©es. NĂ©anmoins, l'Ă©nergie du dĂ©sespoir la rendait un peu agressive dans ses coups. Pauvre inconnu. Il n'avait rien AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Mar 14 AoĂ» - 1024 En la voyant assise par terre en train de chialer toutes les larmes de son corps dans un parc en pleine soirĂ©e, t'aurais dĂ» te douter que c'Ă©tait pas une bonne idĂ©e de lui adresser la parole. Mais tu voulais simplement qu'elle soit au courant. Dire que tu pensais faire ta bonne action de la journĂ©e... Ce n'est visiblement pas perçu ainsi par la demoiselle - qui, soit dit en passant, semble vraiment avoir vidĂ© un bar avant de venir - car lorsqu'elle relĂšve la tĂȘte vers toi, elle a surtout l'air... EffrayĂ©e ? Ou en colĂšre peut ĂȘtre. T'as un peu de mal Ă  comprendre les Ă©motions des gens, tu galĂšres dĂ©jĂ  assez avec les tiennes, faut pas trop t'en demander. Elle t'appelle Mark et t'insulte. Ok, super. Tu notes dans un coin de ta tĂȘte de ne plus jamais essayer d'ĂȘtre sympa avec les inconnus. DĂ©jĂ  que cette idĂ©e ne t'effleures quasiment jamais l'esprit, cette fois, tu la bannis totalement. Tu hausses les Ă©paules, prĂȘt Ă  faire demi-tour et Ă  la laisser lĂ . AprĂšs tout, si elle a envie de se retrouver Ă  chialer et Ă  dĂ©cuver au poste de police le plus proche, c'est son problĂšme, pas le tien. Les gardes Ă  vue moldues, t'as dĂ©jĂ  suffisamment donnĂ©. Mais la voilĂ  qui te saute littĂ©ralement dessus. Tu dois reconnaĂźtre que tu ne t'y attendais vraiment pas Ă  te fait tomber au sol sous la surprise, et commence Ă  te tabasser en te disant de partir. Tu n'as pas franchement mal sous ses coups. C'est juste hyper dĂ©sagrĂ©able. Et surtout... T'as rien fait quoi ! T'attrapes aussitĂŽt ses poignets pour l'empĂȘcher de continuer Ă  s'acharner sur ton torse et cherches son regard. Elle est complĂštement Ă  la masse cette fille. T'as limite envie de l'aider Ă  dessaouler d'un simple sort. Le problĂšme, c'est que t'as pas franchement le droit de sortir ta baguette devant elle si elle est moldue. Tu pousses un soupir et essaies d'adopter le ton le plus calme HĂ©, arrĂȘte-toi, si tu veux que j'm'en aille j'm'en vais. J'sais pas qui c'est ton Mark, mais c'est clairement pas moi, alors t'es gentille, t'Ă©vites de m'envoyer Ă  l'hĂŽpital pour un truc que j'ai pas finalement, ton ton calme s'est transformĂ© en ton lĂ©gĂšrement moqueur. Faut dire aussi que vu la puissance de ses coups, tu ne risquais pas grand chose. T'as connu bien pire. Cependant, tu prĂ©fĂšres continuer de tenir ses poignets entre tes mains, plutĂŽt fermement. Quoi que tu restes sympa, t'as pas envie qu'elle se retrouve avec les marques de tes mains sur ses poignets. Tu sens toujours le poids de son corps sur le tien, et ce rapprochement que t'as en aucun cas initiĂ© ne te plaĂźt pas des masses. Le contact physique avec les autres, c'est pas ton truc. Tu la repousses gentiment pour te relever, sans pour autant lĂącher ses poignets. Tu l'obliges ainsi Ă  se lever en mĂȘme temps que toi, et tu gardes les yeux rivĂ©s dans les C'est bon, j'peux te lĂącher sans que t'essaies de m'Ă©triper ?Non pas que tu aies peur, quoi qu'il arrive, tu doutes que la jeune femme puisse rĂ©ellement te faire du mal, surtout dans son Ă©tat. C'est simplement que t'as pas envie de gĂ©rer une fille complĂštement bourrĂ©e doublĂ©e d'une hystĂ©rique. T'as franchement pas les capacitĂ©s requises pour ça, et encore moins la patience. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Mer 5 Sep - 1818 Moral Ă  zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~/!\ Attention /!\Contenu sensible abus d'alcool / agression sexuelleToute la colĂšre que la jeune femme avait enfouie en elle durant trois annĂ©es ressortait soudainement, la digue et le bouclier qu'elle avait Ă©rigĂ©s se brisant en mille morceau. Il avait suffi d'un visage parmi la foule pour que le contrĂŽle sur ses sentiments soit perdu. D'accord, l'alcool ingurgitĂ© en quantitĂ© avait beaucoup jouĂ© aussi sur ce point et Rikka s'en voudrait au plus au point une fois qu'elle serait dessoĂ»lĂ©e. Son but n'avait pourtant pas Ă©tĂ© de se mettre minable, elle qui Ă©tait toujours si prudente. La jeune femme avait pensĂ© que l'alcool l'aiderait Ă  se dĂ©tendre et Ă  reprendre contenance mais Ă©videmment, c'Ă©tait tout l'effet inverse qui s'Ă©tait produit. Sans rĂ©ellement l'apaiser, le whisky l'avait transformĂ©e en petit diablotin et avait fait tout resurgir en une vague qui balayait tout sur son de ses poings fermĂ©s avec l'Ă©nergie du dĂ©sespoir, mĂȘlĂ©e Ă  la colĂšre et Ă  la tristesse profonde, Rikka ne voyait mĂȘme pas ce qu'elle faisait. L'alcool l'empĂȘchait d'y voir clairement et de rĂ©flĂ©chir sainement. Tout ce qu'elle voyait, c'Ă©tait le visage de Mark, souriant parmi la foule et foulant le sol comme s'il n'Ă©tait pas un monstre. La personne qui l'avait interpellĂ©e dans ce parc n'Ă©tait pas Mark, elle le savait au fond d'elle mais ses sentiments de colĂšre occultaient toute logique. La blonde avait besoin d'un dĂ©fouloir depuis longtemps et maintenant que ses inhibitions s'Ă©taient envolĂ©es, la personne personne qui avait croisĂ© son chemin en payait le prix. MĂȘme si la jeune femme n'Ă©tait pas bien musclĂ©, cela devait ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able. L'inconnu saisit les poignets de la sorciĂšre, sans lui faire mal.― HĂ©, arrĂȘte-toi, si tu veux que j'm'en aille j'm'en vais. J'sais pas qui c'est ton Mark, mais c'est clairement pas moi, alors t'es gentille, t'Ă©vites de m'envoyer Ă  l'hĂŽpital pour un truc que j'ai pas larmes ruisselant sur ses joues, la blonde le regarda, penaude. Elle n'avait pas perçu le ton un peu moqueur du jeune homme, les mots arrivant dans sa tĂȘte au compte-gouttes. Son esprit embrumĂ© par le whisky avait du mal Ă  donner un sens Ă  ses paroles. D'ailleurs, Rikka Ă©tait tellement en train de rĂ©flĂ©chir qu'elle ne bougeait plus, comme paralysĂ©e. L'inconnu esquissa le mouvement de se relever et entraĂźna son agresseur avec lui, toujours ses poignets dans ses mains. Si elle avait Ă©tĂ© sobre, l'ancienne Gryffondor aurait frissonnĂ© Ă  ce contact physique ― elle ne se serait mĂȘme pas approchĂ©e Ă  plus de cinquante centimĂštres du jeune homme ― mais depuis quelques temps, ses idĂ©es arrĂȘtĂ©es sur la gente masculine commençaient Ă  disparaĂźtre. Peut-ĂȘtre l'aurait-elle laissĂ© faire, alors. Et puis, il avait une raison lĂ©gitime de la tenir ainsi. ― C'est bon, j'peux te lĂącher sans que t'essaies de m'Ă©triper ?Les yeux de l'inconnu Ă©taient rivĂ©s sur les siens. Ceux-ci Ă©taient un peu voilĂ©s par la fatigue, l'alcool, les larmes et le mascara, aussi Rikka voyait trouble mais cela suffisait Ă  la garder en haleine. Elle cligna plusieurs fois des paupiĂšres, chassant ce voile. Le calme revenu, elle put regarder ce jeune homme et ne le reconnut pas comme Ă©tant Mark, non. Ce n'Ă©tait pas lui. Le soulagement l'envahit et lui rendit un degrĂ© de luciditĂ©. Elle hocha la tĂȘte quand la question posĂ©e percuta son esprit et attendit qu'il lĂącha son emprise sur ses poignets. Elle ne s'Ă©loigna pas pour autant, comme s'il Ă©tait une bouĂ©e de secours. Elle qui Ă©tait au plus bas quelques instants plus tĂŽt.― Je... balbutia-t-elle d'une voix lasse. Je suis nouvelle salve de larmes se mit Ă  couler le long de ses joues. Rikka plongea sa tĂȘte dans ses mains et sanglota doucement. Ses excuses, mĂȘme si elle Ă©tait toujours alcoolisĂ©e, Ă©taient sincĂšres. Elle ne connaissait pas ce passant qui avait eu la gentillesse de la prĂ©venir de ne pas rester lĂ . Il n'avait pas mĂ©ritĂ© d'ĂȘtre rouĂ© de coups et d'ĂȘtre insultĂ©. Mais en faisant cela, la blonde visait ce porc de Moldu. Bien entendu, il ne pouvait pas le savoir. Et comment lui expliquer ? Il n'Ă©tait qu'un inconnu. Qui n'en avait certainement rien Ă  ficher de ses histoires. NĂ©anmoins, il ne mĂ©ritait pas un tel traitement.― Je suis dĂ©solĂ©e, rĂ©pĂ©ta la jeune femme en essuyant ses joues et en relevant la tĂȘte, espĂ©rant se calmer. Ça va mieux. Je crois...Elle prit une profonde inspiration, ce qui eut le don de rafraĂźchir son esprit. Elle se sentait toujours ivre mais avait l'impression d'avoir regagnĂ© un peu de contrĂŽle sur ses actions. L'inconnu ne craignait plus rien, la sorciĂšre n'allait plus se jeter sur lui pour le frapper. AzaĂ«l PeverellModĂ©rationSerpentard Re Nature londonienneAzaĂ«l Peverell, le Jeu 4 Oct - 2010 Elle a pas l'air de comprendre grand chose sur le coup. D'un autre cĂŽtĂ©, ce n'est pas Ă©tonnant vu l'Ă©tat dans lequel elle s'est mise. T'es bien placĂ© pour savoir que l'alcool n'est pas franchement le meilleur moyen de faire face Ă  la rĂ©alitĂ©. C'est d'ailleurs lĂ  son attrait premier. Mais quand on se rend compte de ce qu'il se passe vraiment, c'est toujours une surprise. LĂ , elle finit par se calmer pour finalement hocher la tĂȘte, signe que tu juges assez Ă©veillĂ© pour enfin la lĂącher. Tu recules d'un pas, histoire de ne pas te coltiner les effluves d'alcool qui Ă©manent d'elle, mais tu ne la quitte pas du demoiselle semble se rendre enfin compte de ce qu'elle a fait, et qu'elle ne s'en est pas prise au bon gars. Toujours ça de pris, t'avais moyennement envie qu'elle recommence Ă  te frapper pour rien. La voilĂ  qui s'excuse avant de se remettre Ă  pleurer. Tu la regardes en haussant un sourcil, visiblement mal Ă  l'aise face Ă  la situation. T'as jamais su gĂ©rer les gens qui pleurent. En fait, t'as surtout envie de les fuir tellement tu n'as pas la moindre idĂ©e de la façon dont tu es sensĂ© rĂ©agir dans un tel cas. DĂ©jĂ , tout contact physique rĂ©confortant est exclu. Tu ne touches pas les inconnus pour si peu. En plus, sait-on jamais, les crises de larmes, c'est peut ĂȘtre contagieux. Ensuite, tu ne vois pas bien ce que tu pourrais lui dire. Tu ne la connais pas, alors tu te vois mal lui balancer que tout va bien se passer, que tout va s'arranger, alors que tu ne connais mĂȘme pas le problĂšme de base. Du coup, tu restes juste plantĂ© lĂ  comme un crĂ©tin, incapable de la laisser en plan, parce que quand mĂȘme, t'as cette fichue conscience qui t'en empĂȘche. Elle finit tout de mĂȘme par relever la tĂȘte pour essuyer ses larmes. Il paraĂźt qu'elle va mieux, mais elle a pas l'air sure. Tu hausses les Ă©paules lĂ©gĂšrement pour unique rĂ©ponse. SĂ©rieux, tu peux la laisser seule dans cet Ă©tat ? Tu risques seulement de culpabiliser ensuite alors que tu ne la connais mĂȘme pas. Comme si t'avais pas dĂ©jĂ  assez avec tes problĂšmes, te voilĂ  qui t'occupe de ceux des autres. T'en as marre de pas ĂȘtre foutu de passer ton chemin sans y repenser Ă  deux fois. Dire que la majoritĂ© des gens te prend pour un mec de la pire espĂšce sous prĂ©texte que t'as l'attaque un peu facile...- Tant mieux. T'habites loin ? T'peux pas rester dans les rues comme ça, j'te raccompagne si tu t'es trop sympa. C'est un coup Ă  te pourrir ta soirĂ©e. Qu'est ce que tu vas faire si jamais elle se remet Ă  chialer et te tombe dans les bras, hein ? Mais c'est franchement pas la peine de regretter de lui offrir ton aide. Tu sais pertinemment que tu ne vas pas la laisser comme ça. Malheureusement. Rikka M. BennettPersonnel de Poudlard Re Nature londonienneRikka M. Bennett, le Sam 27 Oct - 1635 Moral Ă  zĂ©ro~ 12 AzaĂ«l Peverell ~L'esprit toujours embrumĂ© par l'alcool, Rikka reprenait un peu le contrĂŽle de soi. Une bonne inspiration, l'air frais de la nuit s'engouffrant dans ses poumons, suffit Ă  Ă©claircir ses idĂ©es un minimum pour se rendre compte de son Ă©tat. Et elle se dĂ©testait. Boire de l'alcool n'Ă©tait pas dans les habitudes de la blonde, qui prĂ©fĂ©rait s'abstenir de prendre plus de deux verres au cours d'une soirĂ©e entre amis. De si loin qu'elle put s'en souvenir, jamais elle ne s'Ă©tait retrouvĂ©e ivre. La sorciĂšre n'aimait pas du tout cet Ă©tat Ă  l'heure actuelle, surtout quand elle eut pris connaissance de sa violence. Cela non plus, ce n'Ă©tait pas dans ses habitudes. Ce n'Ă©tait pas elle. La colĂšre et le dĂ©sespoir trop longtemps enfouis au fond d'elle l'avaient transformĂ©e en une vraie harpie. Et Rikka n'aimait vraiment pas du tout s'Ă©tait-elle excusĂ©e auprĂšs de cet inconnu qui n'avait rien demandĂ©. Oui, ses excuses Ă©taient sincĂšres et la blonde ne voyait pas quoi dire de plus pour se faire pardonner de son comportement. MĂȘme si cela ne servait pas Ă  grand-chose, le mal Ă©tant fait. Rikka se sentait Ă©galement gĂȘnĂ©e de se montrer sous cette apparence, les yeux humides, les joues pleines de mascara coulĂ©, frĂȘle. L'ancienne rouge et or ne le connaissait pas et aurait dĂ» bien s'en ficher de comment il pouvait la voir. Mais voilĂ , elle avait presque honte. Et ça la rendait encore plus mal. Cependant, la jeune femme se concentra pour ne rien laisser paraĂźtre de plus, ayant dĂ©jĂ  assez fait. Mieux valait s'en aller et oublier tout ça, du moins pour la nuit. Prendre un bain chaud, retomber en pression, se blottir dans ses draps et prendre un potion de sommeil sans rĂȘve.― Tant mieux, finit par dire l'inconnu. T'habites loin ? T'peux pas rester dans les rues comme ça, j'te raccompagne si tu sorciĂšre marqua un temps d'hĂ©sitation, ne sachant pas trop quoi rĂ©pondre. Pour habiter loin, elle habitait loin de Londres. Mais en transplanant, elle serait Ă  Dawlish en moins d'une minute. Le seul hic, c'Ă©tait qu'elle en Ă©tait bien incapable dans cet Ă©tat. Peut-ĂȘtre que Henry, son elfe de maison, aurait pu la ramener. Il lui suffisait de l'appeler et il viendrait immĂ©diatement, aux ordres de sa maĂźtresse. Seulement, c'Ă©tait son jour de repos. En effet, Rikka le traitait non pas en tant qu'esclave mais plutĂŽt assistant et il lui semblait juste de le laisser tranquille au moins une fois par semaine. Il faisait tant, dans son chalet, et l'aidait beaucoup dans ses recherches. MĂȘme l'esprit brouillĂ©, l'Ă©crivaine-en-herbe resterait conforme Ă  ses principes.― Euh, je... J'habite Ă  Dawlish, dans le Devon, dit-elle en grimaçant. Je pourrais transplaner mais lĂ , j'en suis incapa... Rikka s'interrompit brusquement. se prit l’arĂȘte du nez entre les doigts, comprenant qu'elle venait de commettre une grosse bourde. Parler de transplanage devant un parfait inconnu, en pleine ville remplie de Moldus, ce n'Ă©tait vraiment pas intelligent. Sa langue avait parlĂ© plus vite qu'elle ne l'aurait voulu mais elle ne pouvait pas revenir dessus. Restait Ă  espĂ©rer que le gars ne relĂšverait pas. ― Je vais appeler le bus, hum, je pense. Elle se laissa tomber en arriĂšre, pour s'asseoir sur le banc. Juste une minute, sa tĂȘte faisait des looping. T'es-tu dĂ©jĂ  retrouvĂ© dans cet Ă©tat ? Comment faire pour que ça aille mieux ? Je me sens... totalement Ă  la ramasse. Changer de sujet. Tu veux bien rester un peu ? S'il te plaĂźt ?La jeune femme avait envie de rentrer chez elle, oui, mais sans moyen pour y parvenir, elle ne cracherait pas sur un peu de compagnie le temps qu'elle se sentĂźt mieux pour transplaner. Re Nature londonienneContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum CrĂ©ezgratuitement votre compte sur Deezer pour Ă©couter Il faut que je m'en aille par Agatha De Co, et accĂ©dez Ă  plus de 90 millions de titres. Agatha De Co. Il faut que je m'en aille. Agatha De Co | DurĂ©e : 03:27 Auteur : Graeme Alwright. Compositeur : Graeme Alwright. Ce titre est prĂ©sent dans l'album suivant : Chansons de Colo, Mes jolies colonies de vacances Agatha De Co Alors que JĂ©sus venais de passer trois ans et demi Ă  exercer Son ministĂšre sur cette terre en compagnie de Ses apĂŽtres, Il leur annonce qu’Il va les quitter et que ceux-ci ne Le verront plus. Cela a dĂ» ĂȘtre un choc terrible pour ces hommes qui vivaient 24 heures sur 24 avec le Fils de Dieu, en bĂ©nĂ©ficiant de Son onction, de Son enseignement, de Sa compagnie et en voyant les miracles qu’Il accomplissait. JĂ©sus annonce Son sacrifice. Jean 1419 – Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous me verrez, car Je vis, et vous vivrez aussi. À plusieurs reprises, JĂ©sus avait prĂ©venu Ses disciples qu’Il allait devoir offrir Sa vie en sacrifice, mourir sur la croix et ressusciter le troisiĂšme jour. Malheureusement, Ses paroles Ă©taient voilĂ©es pour les apĂŽtres, ils n’en comprenaient pas le sens. L’Ancien Testament n’annonçait principalement que la deuxiĂšme venue de JĂ©sus, qui allait venir rĂ©gner sur la terre et Ă©tablir Son rĂšgne de ans. Les apĂŽtres pensaient que c’est ce qui allait se produire d’un moment Ă  l’autre. Ils ne comprenaient ni les temps, ni les moments de la rĂ©alisation de ces prophĂ©ties. JĂ©sus annonce la venue du Saint-Esprit. Jean 1416 – Et Moi, Je prierai le PĂšre, et Il vous donnera un autre consolateur, afin qu’Il demeure Ă©ternellement avec vous. JĂ©sus savais trĂšs bien que Son dĂ©part allait ĂȘtre un drame pour les disciples. Il Ă©tait leur Berger, Il Ă©tait leur PĂšre, Il prenait soin d’eux Ă  tout moment. C’est Lui qui les nourrissait, qui les enseignait, qui veillait sur eux et qui les reprenait Ă©galement quand c’était nĂ©cessaire. Quand JĂ©sus parle d’un autre Consolateur, Il parle d’un autre de la mĂȘme nature que Lui . Un autre qui Lui est semblable. Le Saint-Esprit, c’est le Parakletos », c’est Celui que le PĂšre a envoyĂ© au Nom de JĂ©sus afin de nous soutenir, de nous fortifier, de nous conseiller et de nous aider dans toutes les choses que nous devons faire sur cette terre pour la gloire de Dieu. Une Ăšre nouvelle . Jean 167 – Cependant Je vous dis la vĂ©ritĂ© il vous est avantageux que Je m’en aille, car si Je ne M’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si Je m’en vais, Je vous L’enverrai. Beaucoup de personnes auraient aimĂ© que JĂ©sus reste sur la terre afin de pouvoir Le voir, L’entendre, Le toucher et aussi Le voir guĂ©rir les malades, chasser des dĂ©mons et ressusciter des morts. C’est une chose qui n’aurait sans doute jamais pu se produire, mĂȘme si JĂ©sus Ă©tait restĂ© sur la terre, car avec sept milliards d’hommes que reprĂ©sentent la population mondiale actuelle
 En plus de cela, Il aurait fallu aller Ă  JĂ©rusalem pour le voir. Je n’imagine mĂȘme pas les files d’attente ! Qui aurait pu prĂ©tendre avoir une chance quelconque de pouvoir s’approcher de JĂ©sus ? Aujourd’hui, le Saint-Esprit est non seulement auprĂšs de nous, mais encore Il est en nous. C’est comme si JĂ©sus Lui-mĂȘme se tenait Ă  cĂŽtĂ© de nous 24 heures sur 24. Jean 1417 – l’Esprit de vĂ©ritĂ©, que le monde ne peut recevoir, parce qu’Il ne Le voit point et ne Le connaĂźt point; mais vous, vous Le connaissez, car Il demeure avec vous, et Il sera en vous Le dĂ©but d’un nouveau type de relation. Chacun d’entre nous avons JĂ©sus pour nous tout seul ! Nous n’avons pas besoin de le partager avec quelqu’un d’autre ! Quand nous sommes avec des personnalitĂ©s importantes, nous n’osons pas leur adresser la parole, ni poser des questions, car il y a toujours quelqu’un de plus important que nous qui va le faire et prendre les devants. Le Seigneur des seigneurs, le Roi de gloire habite en nous par le Saint-Esprit et est tout le temps disponible ! Bienvenue dans la famille ! Jean 1418 – Je ne vous laisserai pas orphelins, Je viendrai Ă  vous. Les orphelins ont un statut terriblement difficile Ă  vivre. Ils grandissent comme ils peuvent, tant bien que mal, et dans certains pays, ils ne reçoivent aucune Ă©ducation. L’homme supporte trĂšs mal la solitude ou l’indiffĂ©rence. Si vous connaissez des gens solitaires, vous savez comme moi que bien souvent ce sont des personnes qui ont des troubles de caractĂšre. Il existe dans le cƓur de l’homme un vide en forme de Dieu que seul le Seigneur peut combler. Le Saint-Esprit n’est pas une puissance ni une force qui accomplit des miracles. Le Saint-Esprit est une personne, Il est Dieu, Celui que JĂ©sus a envoyĂ© pour demeurer avec nous afin de nous instruire, de nous conseiller et de nous diriger.
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Écoutemoi, Ă©coute-moi je ne me retournerai pas (ayayaa) Ne doute pas, ne crois pas, qu'entre nous ça s'arrangera (non non non) Ne mens pas, ne mens pas j'ai vu qu'je n'Ă©tais pas la seule depuis un moment. Ne me retiens pas, faut que je m'en aille, celle qui prend la porte. Et ça me prend la tĂȘte de devoir te faire souffrir.
alpha G artiste Graeme Allwright titre Il faut que je m'en aille les retrouvailles Le temps est loin de nos vingt ansDes coups de poings, des coups de sangMais qu’à c’la n’tienne c’est pas finiOn peut chanter quand le verre est bien rempliBuvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m’fait d’la peine, mais il faut que je m’en ailleEt souviens-toi de cet Ă©tĂ©La premiĂšre fois qu’on s’est saoulĂ©Tu m’as ramenĂ© Ă  la maisonEn chantant, on marchait Ă  reculonsBuvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m’fait d’la peine, mais il faut que je m’en ailleJe suis parti changer d’étoileSur un navire, j’ai mis la voilePour n’ĂȘtre plus qu’un Ă©trangerNe sachant plus trĂšs bien oĂč il allaitBuvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesJe m’ennuie pas, mais il faut que je m’en ailleJ’t’ai racontĂ© mon mariageA la mairie d’un p’tit villageJe rigolais dans mon plastronQuand le maire essayait d’prononcer mon nomBuvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m’fait d’la peine, mais il faut que je m’en ailleJ’n’ai pas Ă©crit toutes ces annĂ©esEt toi aussi, t’es mariĂ©eT’as trois enfants Ă  faire mangerMais j’en ai cinq, si ça peut te consolerBuvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m’fait d’la peine, mais il faut que je m’en aille
Jete voulais oui, mais je n'te voulais que pour moi . Faut que j'm'en aille, me r'tient pas je t'en pris. Les souvenirs m 'assaillent, mais cela Ă  quel prix? J'Ă©tais pas de taille, le temps me l'a appris. J'abandonne la bataille et compte bien vivre ma vie. Faut que j'm'en aille. Peut ĂȘtre qu'si tu avais su ĂȘtre honnĂȘte
Les pas et les chansons du pĂšlerin accompagnent ses conversations et gardent les traces de ses rencontres. Ceux de Graeme Allwright l'ont menĂ© sur les routes du monde. Vivre, c'est bouger, telle est sa devise. De la Nouvelle-ZĂ©lande oĂč il est nĂ©, il y a bientĂŽt quatre-vingt-trois ans, dans une famille oĂč le pĂšre Ă©tait chef de gare et musicien, jusqu'Ă  la France oĂč il s'est installĂ© dĂ©finitivement en 1951. MariĂ© alors Ă  Catherine DastĂ©, l'aspirant comĂ©dien travaille comme menuisier et machiniste Ă  la ComĂ©die de prend de la distance une premiĂšre fois avec le monde du théùtre et s'installe en CĂŽte-d'Or, Ă  Pernand-Vergelesses, dans la maison de Jacques Copeau, l'homme de théùtre. C'est durant cette pĂ©riode oĂč il travaille comme ouvrier agricole dans les vignes bourguignonnes que cette chanson a Ă©tĂ© Ă©crite. Le texte en est largement autobiographique. Il y raconte notamment son mariage oĂč le maire avait eu quelques difficultĂ©s Ă  prononcer son nom. Je l'ai créée un jour dans la cour d'une ferme sur ma guitare », rappelle-t-il. La chanson termine toujours les concerts de Graeme Allwright et a Ă©tĂ© traduite en... faudra attendre 1965 pour que le rĂ©pertoire du folk-singer traducteur de Dylan et Cohen fasse les belles heures du cabaret de la Contrescarpe et trouve place dans un premier disque produit par Marcel Mouloudji. Sur Europe 1, le regrettĂ© Michel Lancelot passera le disque en intĂ©gralitĂ©. Autres temps, autres Allwright n'a pas quittĂ© la scĂšne. Il poursuit ses tournĂ©es de concerts en rĂ©gions, pieds nus sur scĂšne, et promeut une version non-violente de La Marseillaise. Il se produira Ă  Niort en 2010. En attendant, il sera retournĂ© en Nouvelle-ZĂ©lande pour participer Ă  un hommage Ă  Gandhi, le 2 octobre 2009, symbole de paix nĂ© il y a cent quarante ans.
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Parolesde Il Faut Que Je M'en Aille (Les Retrouvailles) Le temps est loin de nos vingt ans Des coups de poings, des coups de sang Mais qu'Ă  c'la n'tienne: c'est pas fini On peut chanter quand le verre est bien rempli Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille Et souviens-toi de cet Ă©tĂ©
alpha G artiste Graeme Allwright titre Il faut que je m'en aille Les paroles de la chanson Il faut que je m'en aille »Graeme Allwright Le temps est loin de nos vingt ansDes coups de poings, des coups de sangMais qu’à c’la n’tienne c’est pas finiOn peut chanter quand le verre est bien rempli[Refrain] Buvons encore une derniĂšre foisA l’amitiĂ©, l’amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m’fait d’la peine, mais il faut que je m’en ailleEt souviens-toi de cet Ă©tĂ©La premiĂšre fois qu’on s’est saoulĂ©Tu m’as ramenĂ© Ă  la maisonEn chantant, on marchait Ă  reculons[Refrain]Je suis parti changer d’étoileSur un navire, j’ai mis la voilePour n’ĂȘtre plus qu’un Ă©trangerNe sachant plus trĂšs bien oĂč il allait[Refrain]J’t’ai racontĂ© mon mariageA la mairie d’un p’tit villageJe rigolais dans mon plastronQuand le maire essayait d’prononcer mon nom[Refrain]J’n’ai pas Ă©crit toutes ces annĂ©esEt toi aussi, t’es mariĂ©eT’as trois enfants Ă  faire mangerMais j’en ai cinq, si ça peut te consoler[Refrain]
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Nousvous présentons les paroles et la traduction de Il Faut Que Je M'en Aille, une nouvelle chanson créée par Graeme Allwright tirée de l'album 'Joue, joue, joue' L'album se compose de 12 chansons. Vous pouvez cliquer sur les chansons pour visualiser les respectifs paroles et. Voici quelques succÚs chantés par . Entre parenthÚses vous
Il faut que je m'en aille paroles et musiques Graeme Allwright C 332010 F 133211 G7 320001 G 355433 C temps est loin de nos vingts ans F C Des coups de poing des coups de sang F C Mais qu'Ă  n'c'la n'tienne c'est pas fini On peut chanter ?..... G7 C Quand le verre est bien rempli refrain F G Buvons encore une derniĂšre fois F G F C A l'amitiĂ© l'amour la joie G7 C On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ca m'fait de la peine G7 C Mais il faut que je m'en aille souviens-toi de cet Ă©tĂ© La premiĂšre fois qu'on s'est saoulĂ© Te m'as ram'nĂ© Ă  la maison En chantant on marchait Ă  reculons. suis parti changĂ© d'Ă©toile Sur un navire j'ai mis les voiles Pour n'ĂȘtre plus qu'un Ă©tranger Ne sachant plus trĂšs bien oĂč il allait. racontĂ© mon mariage A la mairie d'un p'ti village Je rigolais dans mon plastron Quand le maire essayait D'prononcer mon nom. pas Ă©crit toute ces annĂ©es Et toi aussi t'es mariĂ© T'as trois enfants Ă  faire manger Mais j'en ai cinq si ça peut Te consoler
Nousl'avouons, ces trois noms Ă©trangers nous frappĂšrent, et il nous vint aussitĂŽt ? l'esprit qu'ils n'Ă©taient que des pseudonymes ?l'aide desquels d'Artagnan avait dĂ©guis?des noms peut-ĂȘtre illustres, si toutefois les porteurs de ces noms d'emprunt ne les avaient pas choisis eux-mĂȘmes le jour o? par caprice, par mĂ©contentement ou par dĂ©faut de fortune, ils avaient endoss?la simple [Paroles de "Il faut que je m'en aille"][Couplet 1]Le temps est loin de nos vingt ansDes coups de poings, des coups de sangMais qu'Ă  c'la n'tienne c'est pas finiOn peut chanter quand le verre est bien rempli[Refrain]Buvons encore une derniĂšre foisÀ l'amitiĂ©, l'amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille[Couplet 2]Et souviens-toi de cet Ă©tĂ©La premiĂšre fois qu'on s'est saoulĂ©Tu m'as ramenĂ© Ă  la maisonEn chantant, on marchait Ă  reculons[Refrain]Buvons encore une derniĂšre foisÀ l'amitiĂ©, l'amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille[Couplet 3]Je suis parti changer d'Ă©toileSur un navire, j'ai mis la voilePour n'ĂȘtre plus qu'un Ă©trangerNe sachant plus trĂšs bien oĂč il allait[Refrain]Buvons encore une derniĂšre foisÀ l'amitiĂ©, l'amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesJe m'ennuie pas, mais il faut que je m'en aille[Couplet 4]J't'ai racontĂ© mon mariageÀ la mairie d'un p'tit villageJe rigolais dans mon plastronQuand le maire essayait d'prononcer mon nom[Refrain]Buvons encore une derniĂšre foisÀ l'amitiĂ©, l'amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille[Couplet 5]J'n'ai pas Ă©crit toutes ces annĂ©esEt toi aussi, t'es mariĂ©eT'as trois enfants Ă  faire mangerMais j'en ai cinq, si ça peut te consoler[Refrain]Buvons encore une derniĂšre foisÀ l'amitiĂ©, l'amour, la joieOn a fĂȘtĂ© nos retrouvaillesÇa m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en ailleHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
GraemeAllwright - Il faut que je m'en aille. Vidéo de . Nawrass Goeland. sur . youtube · Le temps est loin de nos vingt ansDes coups de poings, des coups de sangMais qu'à c'la n'tienne: c'est pas finiOn peut chanter quand le verre est bien rempli Rene Bordas. 11 abonnés. Chansons Comptines. Chansons Françaises. Trois Enfants. Vingt Ans. Video Musique.
C Le temps est lo C in de nos vingt a C ns, C7 des coups de po F ing des coups de s C ang C Mais qu'Ă  cela ne ti F enne c'est pas fin C i, C on peut chanter, quand le v G7 erre est b G ien rempl C i. C Buvons enc F ore une derniĂšre fo G is, G À l'amiti F Ă©, l'amo G ur, l F a joie C C On a fĂȘ G7 tĂ© G nos retrou C vailles, C Ça me fait de la peine C Mais il f G7 aut que je m'en a C ille. C Et souviens-t C oi de cet Ă©t C Ă©, C7 La premiĂšre f F ois qu'on s'est saoul C Ă© C Tu m'as ramen F Ă© Ă  la mais C on, C En chantant, on march G7 ait Ă  r G eculons. C Je suis part C i changer d'Ă©t C oile, C7 Sur un nav F ire j'ai mis la v C oile C Pour n'ĂȘtre pl F us qu'un Ă©trang C er, C Ne sachant plus trĂšs b G7 ien oĂč G il all C ait C Je t'ai racontĂ© m C on mari C age, C7 À la mair F ie d'un p'tit vil C lage C Je rigol F ais dans mon plastr C on, C Quand le maire essayait de pr G7 ononc G er mon n C om. C Je n't'ai pas C Ă©crit toutes ces ann C Ă©es, C7 Et toi auss F i tu es mari C Ă© C T'as trois enfa F nts Ă  faire mang C er, C Moi j'en ai cinq si ça p G7 eut te c G onsol C er. WWvX.
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