Ilest l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. See. GenÚse 1:26 Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. male. GenÚse 2:21-25
MessagesLire la Bible Segond 1910La Bible - Cantique des cantiques Cantique des cantiques, de me baise des baisers de sa bouche! Car ton amour vaut mieux que le vin, parfums ont une odeur suave; Ton nom est un parfum qui se rĂ©pand; C'est pourquoi les jeunes filles t' aprĂšs toi! Nous courrons! Le roi m'introduit dans ses appartements... Nous nous Ă©gaierons, nous nous rĂ©jouirons Ă  cause de toi; Nous cĂ©lĂ©brerons ton amour plus que le vin. C'est avec raison que l'on t' suis noire, mais je suis belle, filles de JĂ©rusalem, Comme les tentes de KĂ©dar, comme les pavillons de prenez pas garde Ă  mon teint noir C'est le soleil qui m'a brĂ»lĂ©e. Les fils de ma mĂšre se sont irritĂ©s contre moi, Ils m'ont faite gardienne des vignes. Ma vigne, Ă  moi, je ne l'ai pas ĂŽ toi que mon coeur aime, OĂč tu fais paĂźtre tes brebis, OĂč tu les fais reposer Ă  midi; Car pourquoi serais-je comme une Ă©garĂ©e PrĂšs des troupeaux de tes compagnons? tu ne le sais pas, ĂŽ la plus belle des femmes, Sors sur les traces des brebis, Et fais paĂźtre tes chevreaux PrĂšs des demeures des bergers. ma jument qu'on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ĂŽ mon joues sont belles au milieu des colliers, Ton cou est beau au milieu des rangĂ©es de te ferons des colliers d'or, Avec des points d'argent. que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son bien-aimĂ© est pour moi un bouquet de myrrhe, Qui repose entre mes bien-aimĂ© est pour moi une grappe de troĂ«ne Des vignes d'En GuĂ©di. tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes. tu es beau, mon bien-aimĂ©, que tu es aimable! Notre lit, c'est la verdure. solives de nos maisons sont des cĂšdres, Nos lambris sont des cyprĂšs. -Cantique suis un narcisse de Saron, Un lis des vallĂ©es. un lis au milieu des Ă©pines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. un pommier au milieu des arbres de la forĂȘt, Tel est mon bien-aimĂ© parmi les jeunes hommes. J'ai dĂ©sirĂ© m'asseoir Ă  son ombre, Et son fruit est doux Ă  mon m'a fait entrer dans la maison du vin; Et la banniĂšre qu'il dĂ©ploie sur moi, c'est l' avec des gĂąteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d' sa main gauche soit sous ma tĂȘte, Et que sa droite m'embrasse! vous en conjure, filles de JĂ©rusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne rĂ©veillez pas, ne rĂ©veillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. la voix de mon bien-aimĂ©! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les bien-aimĂ© est semblable Ă  la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derriĂšre notre mur, Il regarde par la fenĂȘtre, Il regarde par le bien-aimĂ© parle et me dit LĂšve-toi, mon amie, ma belle, et viens! voici, l'hiver est passĂ©; La pluie a cessĂ©, elle s'en est fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivĂ©, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. LĂšve-toi, mon amie, ma belle, et viens! colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpĂ©es, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en bien-aimĂ© est Ă  moi, et je suis Ă  lui; Il fait paĂźtre son troupeau parmi les que le jour se rafraĂźchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimĂ©, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous ma couche, pendant les nuits, J'ai cherchĂ© celui que mon coeur aime; Je l'ai cherchĂ©, et je ne l'ai point trouvĂ©... me lĂšverai, et je ferai le tour de la ville, Dans les rues et sur les places; Je chercherai celui que mon coeur aime... Je l'ai cherchĂ©, et je ne l'ai point gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrĂ©e Avez-vous vu celui que mon coeur aime? peine les avais-je passĂ©s, Que j'ai trouvĂ© celui que mon coeur aime; Je l'ai saisi, et je ne l'ai point lĂąchĂ© Jusqu'Ă  ce que je l'aie amenĂ© dans la maison de ma mĂšre, Dans la chambre de celle qui m'a conçue. vous en conjure, filles de JĂ©rusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne rĂ©veillez pas, ne rĂ©veillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. est celle qui monte du dĂ©sert, Comme des colonnes de fumĂ©e, Au milieu des vapeurs de myrrhe et d'encens Et de tous les aromates des marchands? la litiĂšre de Salomon, Et autour d'elle soixante vaillants hommes, Des plus vaillants d' sont armĂ©s de l'Ă©pĂ©e, Sont exercĂ©s au combat; Chacun porte l'Ă©pĂ©e sur sa hanche, En vue des alarmes roi Salomon s'est fait une litiĂšre De bois du en a fait les colonnes d'argent, Le dossier d'or, Le siĂšge de pourpre; Au milieu est une broderie, oeuvre d'amour Des filles de filles de Sion, regardez Le roi Salomon, Avec la couronne dont sa mĂšre l'a couronnĂ© Le jour de ses fiançailles, Le jour de la joie de son coeur. -Cantique tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes, DerriĂšre ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chĂšvres, Suspendues aux flancs de la montagne de dents sont comme un troupeau de brebis tondues, Qui remontent de l'abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est lĂšvres sont comme un fil cramoisi, Et ta bouche est charmante; Ta joue est comme une moitiĂ© de grenade, DerriĂšre ton cou est comme la tour de David, BĂątie pour ĂȘtre un arsenal; Mille boucliers y sont suspendus, Tous les boucliers des deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d'une gazelle, Qui paissent au milieu des que le jour se rafraĂźchisse, Et que les ombres fuient, J'irai Ă  la montagne de la myrrhe Et Ă  la colline de l' es toute belle, mon amie, Et il n'y a point en toi de avec moi du Liban, ma fiancĂ©e, Viens avec moi du Liban! Regarde du sommet de l'Amana, Du sommet du Senir et de l'Hermon, Des taniĂšres des lions, Des montagnes des me ravis le coeur, ma soeur, ma fiancĂ©e, Tu me ravis le coeur par l'un de tes regards, Par l'un des colliers de ton de charmes dans ton amour, ma soeur, ma fiancĂ©e! Comme ton amour vaut mieux que le vin, Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates! lĂšvres distillent le miel, ma fiancĂ©e; Il y a sous ta langue du miel et du lait, Et l'odeur de tes vĂȘtements est comme l'odeur du es un jardin fermĂ©, ma soeur, ma fiancĂ©e, Une source fermĂ©e, une fontaine jets forment un jardin, oĂč sont des grenadiers, Avec les fruits les plus excellents, Les troĂ«nes avec le nard; nard et le safran, le roseau aromatique et le cinnamome, Avec tous les arbres qui donnent l'encens; La myrrhe et l'aloĂšs, Avec tous les principaux aromates; fontaine des jardins, Une source d'eaux vives, Des ruisseaux du aquilon! viens, autan! Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s'en exhalent! -Que mon bien-aimĂ© entre dans son jardin, Et qu'il mange de ses fruits excellents! -Cantique dans mon jardin, ma soeur, ma fiancĂ©e; Je cueille ma myrrhe avec mes aromates, Je mange mon rayon de miel avec mon miel, Je bois mon vin avec mon lait... -Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour! endormie, mais mon coeur veillait... C'est la voix de mon bien-aimĂ©, qui frappe -Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite! Car ma tĂȘte est couverte de rosĂ©e, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. ĂŽtĂ© ma tunique; comment la remettrais-je? J'ai lavĂ© mes pieds; comment les salirais-je? bien-aimĂ© a passĂ© la main par la fenĂȘtre, Et mes entrailles se sont Ă©mues pour me suis levĂ©e pour ouvrir Ă  mon bien-aimĂ©; Et de mes mains a dĂ©gouttĂ© la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe rĂ©pandue Sur la poignĂ©e du ouvert Ă  mon bien-aimĂ©; Mais mon bien-aimĂ© s'en Ă©tait allĂ©, il avait disparu. J'Ă©tais hors de moi, quand il me parlait. Je l'ai cherchĂ©, et je ne l'ai point trouvĂ©; Je l'ai appelĂ©, et il ne m'a point gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrĂ©e; Ils m'ont frappĂ©e, ils m'ont blessĂ©e; Ils m'ont enlevĂ© mon voile, les gardes des vous en conjure, filles de JĂ©rusalem, Si vous trouvez mon bien-aimĂ©, Que lui direz-vous?... Que je suis malade d'amour. ton bien-aimĂ© de plus qu'un autre, O la plus belle des femmes? Qu'a ton bien-aimĂ© de plus qu'un autre, Pour que tu nous conjures ainsi? bien-aimĂ© est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix tĂȘte est de l'or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l' joues sont comme un parterre d'aromates, Une couche de plantes odorantes; Ses lĂšvres sont des lis, D'oĂč dĂ©coule la mains sont des anneaux d'or, Garnis de chrysolithes; Son corps est de l'ivoire poli, Couvert de saphirs; jambes sont des colonnes de marbre blanc, PosĂ©es sur des bases d'or pur. Son aspect est comme le Liban, DistinguĂ© comme les palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimĂ©, tel est mon ami, Filles de JĂ©rusalem! -Cantique est allĂ© ton bien-aimĂ©, O la plus belle des femmes? De quel cĂŽtĂ© ton bien-aimĂ© s'est-il dirigĂ©? Nous le chercherons avec bien-aimĂ© est descendu Ă  son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paĂźtre son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des suis Ă  mon bien-aimĂ©, et mon bien-aimĂ© est Ă  moi; Il fait paĂźtre son troupeau parmi les lis. es belle, mon amie, comme Thirtsa, AgrĂ©able comme JĂ©rusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chĂšvres, Suspendues aux flancs de dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l'abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est joue est comme une moitiĂ© de grenade, DerriĂšre ton voile... y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l'unique de sa mĂšre, La prĂ©fĂ©rĂ©e de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. est celle qui apparaĂźt comme l'aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs banniĂšres? suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallĂ©e, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers ne sais, mais mon dĂ©sir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. -Cantique reviens, Sulamithe! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. -Qu'avez-vous Ă  regarder la Sulamithe Comme une danse de deux choeurs? tes pieds sont beaux dans ta chaussure, fille de prince! Les contours de ta hanche sont comme des colliers, Oeuvre des mains d'un sein est une coupe arrondie, OĂč le vin parfumĂ© ne manque pas; Ton corps est un tas de froment, EntourĂ© de deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d'une cou est comme une tour d'ivoire; Tes yeux sont comme les Ă©tangs de Hesbon, PrĂšs de la porte de Bath Rabbim; Ton nez est comme la tour du Liban, Qui regarde du cĂŽtĂ© de tĂȘte est Ă©levĂ©e comme le Carmel, Et les cheveux de ta tĂȘte sont comme la pourpre; Un roi est enchaĂźnĂ© par des boucles!... tu es belle, que tu es agrĂ©able, O mon amour, au milieu des dĂ©lices! taille ressemble au palmier, Et tes seins Ă  des me dis Je monterai sur le palmier, J'en saisirai les rameaux! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes, ta bouche comme un vin excellent,... -Qui coule aisĂ©ment pour mon bien-aimĂ©, Et glisse sur les lĂšvres de ceux qui s'endorment! suis Ă  mon bien-aimĂ©, Et ses dĂ©sirs se portent vers mon bien-aimĂ©, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages! le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. LĂ  je te donnerai mon mandragores rĂ©pandent leur parfum, Et nous avons Ă  nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens Mon bien-aimĂ©, je les ai gardĂ©s pour Que n'es-tu mon frĂšre, AllaitĂ© des mamelles de ma mĂšre! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mĂ©priserait veux te conduire, t'amener Ă  la maison de ma mĂšre; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumĂ©, Du moĂ»t de mes sa main gauche soit sous ma tĂȘte, Et que sa droite m'embrasse! vous en conjure, filles de JĂ©rusalem, Ne rĂ©veillez pas, ne rĂ©veillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. est celle qui monte du dĂ©sert, AppuyĂ©e sur son bien-aimĂ©? -Je t'ai rĂ©veillĂ©e sous le pommier; LĂ  ta mĂšre t'a enfantĂ©e, C'est lĂ  qu'elle t'a enfantĂ©e, qu'elle t'a donnĂ© le jour. comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras; Car l'amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le sĂ©jour des morts; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l' grandes eaux ne peuvent Ă©teindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le avons une petite soeur, Qui n'a point encore de mamelles; Que ferons-nous de notre soeur, Le jour oĂč on la recherchera? elle est un mur, Nous bĂątirons sur elle des crĂ©neaux d'argent; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cĂšdre. suis un mur, Et mes seins sont comme des tours; J'ai Ă©tĂ© Ă  ses yeux comme celle qui trouve la avait une vigne Ă  Baal Hamon; Il remit la vigne Ă  des gardiens; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d' vigne, qui est Ă  moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents Ă  ceux qui gardent le fruit! des jardins! Des amis prĂȘtent l'oreille Ă  ta voix. Daigne me la faire entendre! mon bien-aimĂ©! Sois semblable Ă  la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates!
Ap19:21 Et les autres furent tuĂ©s par l’épĂ©e qui sortait de la bouche de celui qui Ă©tait assis sur le cheval; et tous les oiseaux se rassasiĂšrent de leur chair. Le cavalier est blanc (apocalypse) et fidĂšle (son nom), ce n’est pas le symbole de la mort comme dans notre culture, il est le fils de l’homme, blanc et pur (juste). Le Monde des religions Religions Les textes sacrĂ©s des traditions monothĂ©istes jugent sĂ©vĂšrement l’homosexualitĂ©. Mise sur le mĂȘme plan que l’inceste et l’infidĂ©litĂ©, elle fut trĂšs violemment rĂ©primĂ©e, et l’est d’ailleurs encore dans certains endroits du monde. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme ; ce serait une abomination. » Dans la Bible hĂ©braĂŻque, c’est par cette prescription sans Ă©quivoque que le LĂ©vitique 18, 22, composĂ© au VIe siĂšcle avant notre Ăšre dĂ©nonce les pratiques homosexuelles. Celles-ci sont dĂ©signĂ©es comme une toevah », un terme traduit par Ă©loignement » – dĂ©signant ainsi la nĂ©gation de l’Alliance entre Dieu et les hommes. JugĂ©e sur le mĂȘme plan que l’inceste et l’infidĂ©litĂ©, l’homosexualitĂ© est considĂ©rĂ©e comme une perversion majeure. Cette question n’étant Ă  aucun moment mentionnĂ©e dans les Evangiles, il faut attendre les EpĂźtres de Paul Ier siĂšcle pour avoir connaissance du regard chrĂ©tien sur la pratique. L’homosexualitĂ© est considĂ©rĂ©e comme une dĂ©viance paĂŻenne et sa dĂ©nonciation est catĂ©gorique Dieu les a livrĂ©s [les paĂŻens] Ă  des passions avilissantes leurs femmes ont Ă©changĂ© les rapports naturels pour des rapports contre-nature ; les hommes de mĂȘme, abandonnant les rapports naturels avec la femme, se sont enflammĂ©s de dĂ©sir les uns pour les autres, commettant l’infamie d’homme Ă  homme et recevant en leur personne le juste salaire de leur Ă©garement » Romains 1, 26-27. Contre-nature » Une opinion reprise ensuite par les PĂšres de l’Eglise. Saint Augustin 354-430 Ă©crit ainsi dans ses Confessions Si tous les peuples imitaient Sodome, ils seraient tenus de la mĂȘme culpabilitĂ© devant la loi divine, qui n’a pas fait les hommes pour user ainsi d’eux-mĂȘmes. Car c’est violer l’alliance qui doit ĂȘtre entre nous et Dieu que de profaner par de vils appĂ©tits de dĂ©bauche la nature dont il est l’auteur. » Dans les pĂ©chĂ©s contre nature, oĂč l’ordre mĂȘme de la nature est violĂ©, il est fait injure Ă  Dieu. » Saint Thomas Les homosexuels sont alors soupçonnĂ©s de pactiser avec le diable, assimilĂ©s aux hĂ©rĂ©tiques qui refusaient pour la plupart le mariage et la procrĂ©ation. Les conduites dĂ©viantes sont qualifiĂ©es de contre nature » et considĂ©rĂ©es comme une atteinte Ă  Dieu lui-mĂȘme. Saint Thomas XIIIe siĂšcle, qui codifie la morale sexuelle chrĂ©tienne dans sa Summa TheologiĂŠ, est trĂšs clair sur ce sujet Dans les pĂ©chĂ©s contre-nature, oĂč l’ordre mĂȘme de la nature est violĂ©, il est fait injure Ă  Dieu. » Dans l’islam, l’homosexualitĂ© est Ă©galement considĂ©rĂ©e comme la pire des abominations, en particulier lorsqu’elle concerne les hommes. La liwat » homosexualitĂ© masculine, Ă©voquĂ©e dans une trentaine de versets du Coran rĂ©partis dans sept sourates, est tout autant condamnĂ©e que l’adultĂšre. Il s’agit lĂ  moins d’une question de pĂ©chĂ© ou de faute au sens chrĂ©tien que d’une question de puretĂ© et de souillure. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
afinde permettre Ă  sa femme et Ă  ses enfants de prendre la fuite. Dans d’autres pays oĂč la famine fait des ravages, une mĂšre ayant peu de vivres peut se priver, mettant sa propre vie en danger, afin de donner le peu de nourriture qui lui reste Ă  ses enfants. Toutefois, nous pensons que dans la plupart des cas, nous
Livres Beaux livres - Arts. Les religions du Livre ne sont pas connues pour leur fĂ©minisme militant, et pourtant... Marie, bien sĂ»r, Eve, Ă©videmment. Mais il y en a tant d'autres. "Cherchez la femme !", dit l'adage policier. Jacques Dusquesne l'a trouvĂ©e, et pas qu'une d'ailleurs, dans un endroit inattendu la Bible. Les religions du Livre ne sont pas connues pour leur fĂ©minisme militant, et pourtant... Marie, bien sĂ»r, Eve, Ă©videmment. Mais il y en a tant d'autres. L'auteur, romancier et chroniqueur Ă  La Croix, en a recensĂ© plus de quarante, certaines allant par paire comme les filles de Loth, ou Sara et Agar, d'autres malheureuses en foule, comme les mĂšres victimes du Massacre des innocents. Il les a divisĂ©es en six catĂ©gories "Les mĂšres", "HĂ©roĂŻnes et protectrices", "Les prophĂ©tesses", "Les reines", "Victimes et tentatrices" et enfin, "Les femmes dans l'entourage de JĂ©sus". Certaines de leurs aventures sont plutĂŽt lestes. Pour trancher la tĂȘte d'Holopherne, ou pour obtenir celle de Jean le Baptiste, Judith et SalomĂ© ne font pas dans la dentelle. Mais on croise aussi des personnages mĂ©connus, comme Cippora, l'Ă©pouse au teint sombre de MoĂŻse, ou "l'hĂ©morroĂŻsse", que JĂ©sus guĂ©rit de ses Ă©panchements. FEMMES DE LA BIBLE de Jacques Duquesne. Flammarion, 158 p., 29,90 €. Harry Bellet Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

lorsde la conversion au catholicisme qui lui permit d'accéder enfin au trÎne de France. Louis XIII (1601 - 1643) "C'est une chose etrange que la légÚreté des Francais". Louis XIV (1638 - 1715) "L'Etat, c'est moi!" "La plus éclatante victoire coûte toujours trop cher, quand il faut la payer du sang de ses sujets".

Versets les plus Pertinents 1 Rois 838 si un homme, si tout ton peuple d'IsraĂ«l fait entendre des priĂšres et des supplications, et que chacun reconnaisse la plaie de son coeur et Ă©tende les mains vers cette maison, - GenĂšse 37 Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils Ă©taient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. Romains 320 Car nul ne sera justifiĂ© devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c'est par la loi que vient la connaissance du pĂ©chĂ©. JĂ©rĂ©mie 1420 Éternel, nous reconnaissons notre mĂ©chancetĂ©, l'iniquitĂ© de nos pĂšres; Car nous avons pĂ©chĂ© contre toi. Psaumes 513 Car je reconnais mes transgressions, Et mon pĂ©chĂ© est constamment devant moi. 1 Jean 513 Je vous ai Ă©crit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie Ă©ternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Jean 925 Il rĂ©pondit S'il est un pĂ©cheur, je ne sais; je sais une chose, c'est que j'Ă©tais aveugle et que maintenant je vois. Marc 533 La femme, effrayĂ©e et tremblante, sachant ce qui s'Ă©tait passĂ© en elle, vint se jeter Ă  ses pieds, et lui dit toute la vĂ©ritĂ©. Jean 1312 AprĂšs qu'il leur eut lavĂ© les pieds, et qu'il eut pris ses vĂȘtements, il se remit Ă  table, et leur dit Comprenez-vous ce que je vous ai fait? Luc 1517 Étant rentrĂ© en lui-mĂȘme, il se dit Combien de mercenaires chez mon pĂšre ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim! Actes 1211 Revenu Ă  lui-mĂȘme, Pierre dit Je vois maintenant d'une maniĂšre certaine que le Seigneur a envoyĂ© son ange, et qu'il m'a dĂ©livrĂ© de la main d'HĂ©rode et de tout ce que le peuple juif attendait. Le PĂ©chĂ© Qui Colle Au PĂ©cheur Lesmanipulateurs se cachent sous de multiples visages. Ils sont aussi difficiles Ă  identifier parce que leurs procĂ©dĂ©s aboutissent tous Ă  activer une ou plusieurs rĂšgles implicites rĂ©gissant les rapports sociaux ou des dispositions "naturelles" telles que la culpabilitĂ©, la tendance Ă  douter de soi ainsi que certains rĂȘves.
Les citations et sentences de la Bible Ce dictionnaire vous propose 54 citations de la Bible La sagesse est lumineuse, elle ne se flĂ©trit pas, elle se laisse voir facilement Ă  ceux qui l'aiment, elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent. Elle va d'elle-mĂȘme Ă  ceux qui la dĂ©sirent, elle leur fait les avances. Celui qui se lĂšvera au point du jour pour la rencontrer, n'aura pas de peine Ă  y parvenir en sortant, il la trouvera ; elle est assise Ă  sa porte, elle l'attend. Citation de la Bible ; Le livre de la sagesse - Ier s. av. La grĂące d'une femme fait la joie de son mari, et son intelligence rĂ©pand la vigueur dans ses os. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique, XXVI, 13 - IIIe s. av. Il y a plus de joie dans le ciel pour un seul pĂ©cheur qui se convertit que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. Citation de la Bible ; L'Évangile selon saint Luc - env. 63 ap. Ne louez point un homme sur sa mine avantageuse, et ne le mĂ©prisez point parce qu'il paraĂźt peu de chose. L'abeille est petite entre les animaux qui volent, et nĂ©anmoins son fruit l'emporte sur ce qu'il y a de plus doux. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique - IIe s. av. Le cƓur de la femme est un piĂšge et un filet dont les mains sont des liens. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siaste - IIIe s. av. Ne dispute pas avec un beau parleur, ne mets pas de bois sur le feu. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique, VIII, 4 - IIe s. av. Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre, quand il sera vieux il ne s'en dĂ©tournera point. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. L'homme quittera son pĂšre et sa mĂšre pour s'attacher Ă  son Ă©pouse, et ils seront deux dans une seule chair. Citation de la Bible ; Le livre de la GenĂšse - XVIe s. av. Mangez votre pain avec les pauvres et avec ceux qui ont faim. Citation de la Bible ; Le livre de Tobie - IVe s. av. Faites l'aumĂŽne de votre bien, et ne dĂ©tournez votre visage d'aucun pauvre. Citation de la Bible ; Le livre de Tobie - IVe s. av. Soyez misĂ©ricordieux et charitable de la maniĂšre que vous le pourrez. Citation de la Bible ; Le livre de Tobie - IVe s. av. Quiconque Ă©pouse une femme rĂ©pudiĂ©e par son mari commet un adultĂšre. Citation de la Bible ; L'Évangile selon saint Luc - env. 63 ap. L'orgueil prĂ©cĂšde la ruine, et la hauteur prĂ©cĂšde la chute. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. Que celui qui te maudira soit maudit lui-mĂȘme, et que celui qui te bĂ©nira soit bĂ©ni. Citation de la Bible ; Le livre de la GenĂšse - XVIe s. av. L'intĂ©gritĂ© des hommes droits les dirige, mais les dĂ©tours des perfides causent leur ruine. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes, XI, 3 - IVe s. av. Les temps sont bons ou mauvais selon que les hommes sont justes ou injustes. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. Si vous faites du bien sachez Ă  qui vous le faites, et ce que vous ferez de bien plaira beaucoup. Faites du bien au juste, et vous en recevrez une grande rĂ©compense, sinon de lui, au moins du Seigneur. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique - IIe s. av. Un ami fidĂšle est une tour forte, et qui l'a trouvĂ© a trouvĂ© un trĂ©sor. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique, VI, 14 - IIe s. av. Une oreille jalouse entend tout, et le bruit des murmures ne lui Ă©chappent pas. Citation de la Bible ; Le livre de la sagesse, I, 10 - Ier s. av. La rĂ©primande faite au sage et Ă  l'oreille obĂ©issante est comme un pendant d'oreilles d'or avec une perle brillante. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. Quand tu donnes, tu dois donner de bon cƓur. Citation de la Bible ; Ancien Testament, DeutĂ©ronome, XV, 10. Qui s'abaisse, Dieu l'Ă©lĂšve ; qui s'Ă©lĂšve, Dieu l'abaisse Citation de la Bible ; L'Évangile selon saint Luc - env. 63 ap. Une bonne renommĂ©e vaut mieux que l'huile parfumĂ©e. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siaste, VII, 1 - IIIe s. av. La justice conduit Ă  la vie, mais qui poursuit le mal trouve la mort. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. Le salut est dans le grand nombre de conseillers. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av. Tout le labeur de l'homme est au profit de sa bouche. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siaste - IIIe s. av. L'eau Ă©teint le feu, et l'aumĂŽne expie les pĂ©chĂ©s. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique, III, 28 - IIe s. av. La piĂ©tĂ© avec le contentement d'esprit est un grand gain. Citation de la Bible ; TimothĂ©e - Ier s. av. C'est une grĂące qui passe toute grĂące qu'une femme pudique. Citation de la Bible ; L'EcclĂ©siastique, XXVI, 15 - IIe s. av. La force et la grĂące sont la parure de la femme. Citation de la Bible ; Le livre des proverbes - IVe s. av.
Puisils ont Ă©tĂ© Ă©crits Ă  la main sur des papyrus (plante Ă  partir de laquelle on fait des feuilles), sur du parchemin (fabriquĂ© Ă  partir de peau de mouton ou de chĂšvre) ou sur des tablettes d'argile. Mais les manuscrits d'origine ont Ă©tĂ© perdus. Heureusement, beaucoup de copies des originaux avaient Ă©tĂ© faites. La Bible avait mĂȘme Ă©tĂ© traduite en grec vers 200 avant JĂ©sus

1– “Il est autorisĂ© d’avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour », Sanhedrin 55b 2– JĂ©sus Ă©tait un bĂątard nĂ© dans l’adultĂšre », Yebamoth 49b 3– Il est permis de divorcer avec votre femme si vous voyez une plus jolie fille-vierge et attirante, mĂȘme si elle n’est ĂągĂ©e que de 3 ans », Gittin 91a 4– JĂ©sus a Ă©tĂ© envoyĂ© en enfer, oĂč il est puni en Ă©tant bouillit dans des excrĂ©ments”, Gittin 56b 5– Marie Ă©tait une prostituĂ©e », Sanhedrin 106a 6– Les disciples de JĂ©sus mĂ©ritent d’ĂȘtre tuĂ©s », Sanhedrin 43a 7– MĂȘme le meilleur des Goyim non juif devrait ĂȘtre abattu », Abhodah Zarah 26b T 8– Les femmes Juives sont contaminĂ©es par la simple rencontre de Non-juifs », Iore Dea 198, 48 9– Il n’est pas bon de parler aux femmes, pas mĂȘme votre propre femme », Aboth 10– Un Non-juif est comme un chien », Ereget Rashi 30 11– Mangez en prĂ©sence d’un non-juif c’est comme manger avec un chien », Jebamoth 94b. 12– Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains », Abhodah Zarah 4b 13– Si un goyim non-juif frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu , Sanhedrin 58b 14– L’usurele taux d’intĂ©rĂȘt peut ĂȘtre pratiquĂ©e sur les Non-juifs », Abhodah Zarah 54a 15– Si un juif trouve un objet appartenant Ă  un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre », Babha Mezia 24a. 16– La propriĂ©tĂ© d’un Non-juif appartient au premier juif qui la rĂ©clame », Babha Bathra 54b 17– Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder », Sanhedrin 57a 18– Les goyims non juifs qui chercheraient Ă  dĂ©couvrir les secrets de la Loi d’israĂ«l, commettent un crime qui rĂ©clame la peine de mort », Sanhedrin 59a 19– Ordre est donnĂ© de modifier et de ridiculiser les textes religieux des goyims non juifs », Iore Dea 20– Tous les juifs sont vertueux », Sanhedrin SVP pas de commentaires antisĂ©mites
les juifs non sionistes d’adhĂšrent pas Ă  cette idĂ©ologie, bien au contraire! N’oubliez pas de partager cet article
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citation de la bible sur la femme
LeprĂ©cepte coranique qui impose l’obligation d’un tuteur masculin pour valider le mariage de la femme est confirmĂ© par les paroles de Mahomet : « La femme ne peut pas se marier elle-mĂȘme (sans tuteur). Seule la dĂ©bauchĂ©e se marie elle-mĂȘme (sans tuteur) » (Sunan Ibn Majah- Livre du mariage). Dans cet article, nous n’avons aucunement l’intention de dĂ©nigrer les musulmans en tant que croyants et en tant que fidĂšles d’une religion. Nous voulons uniquement relever que certains prĂ©ceptes du Coran et de la Sunna instaurent des discriminations dont sont victimes des millions de femmes et d’enfants. Ces prĂ©ceptes sont mis en Ɠuvre par des États qui sont membres de l’ONU et du Conseil des Droits de l’ voulons ĂȘtre solidaires avec ces millions de victimes et refusons que ces discriminations soient pratiquĂ©es en Suisse et dans le reste de l’Europe. Nous voulons en prĂ©server nos enfants et nos sommes rĂ©jouis des fruits portĂ©s par le combat courageux menĂ© par les femmes en Tunisie. Par un combat d’idĂ©es et d’une maniĂšre entiĂšrement pacifique, elles ont demandĂ© l’abrogation de certaines lois basĂ©es sur les prescriptions du Coran et de la Sunna. SaĂŻda Keller Messahli a participĂ© Ă  cette lutte pour l’émancipation et l’égalitĂ© entre les hommes et les femmes. Ces tunisiennes nous ont montrĂ© la voie, et leur lutte a donnĂ© des rĂ©sultats concrets. La Tunisie est le seul pays musulman Ă  avoir abrogĂ© des lois basĂ©es sur les prescriptions de l’islam 1. La polygamie est Les discriminations qui touchaient les enfants adoptifs sont abrogĂ©es. L’adoption plĂ©niĂšre est lĂ©galisĂ©e, malgrĂ© sa stricte interdiction par l’islam. Ainsi, la Tunisie est le seul pays musulman oĂč l’enfant adoptif dispose des mĂȘmes droits que les autres L’interdiction faite Ă  la femme musulmane d’épouser un non musulman a Ă©tĂ© Le gouvernement tunisien est en train d’établir une stricte Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes dans le domaine de l’ dĂ©montre que le fait de remettre en cause les prĂ©ceptes du Coran et de la Sunna ne constitue en aucun cas une attitude islamophobe ou raciste envers les dit le Coran au sujet de la femme ?La supĂ©rioritĂ© de l’homme sur la femmeLe Coran affirme clairement que les hommes ont reçu le privilĂšge d’avoir autoritĂ© sur les femmes. Ils ont mĂȘme le droit de les frapper, au seul motif de craindre une dĂ©sobĂ©issance de leur part S4, V34 Les hommes ont la prééminence ou l’autoritĂ© sur les femmes Ă  cause des privilĂšges par lesquels Allah a favorisĂ© ceux-lĂ  les hommes sur celles-ci et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obĂ©issantes et soumises ; elles conservent pendant l’absence de leurs maris ce qu’Allah a ordonnĂ© de conserver. Vous rĂ©primanderez celles dont vous aurez Ă  craindre la dĂ©sobĂ©issance et vous les relĂ©guerez dans des lits Ă  part et vous les frapperez. »Pour mieux comprendre la signification de ces versets, il faut lire les explications des exĂ©gĂšses qui font autoritĂ©, comme Tabari ou Ibn Kathir De par sa crĂ©ation et en vertu de la prĂ©fĂ©rence qu’Allah lui a accordĂ©e, l’homme a autoritĂ© sur la femme, il est son maĂźtre qui la gouverne, l’éduque et la corrige quand il le faut. Jouissant de cette suprĂ©matie, les hommes ont une prééminence sur les femmes qui leur doivent obĂ©issance et soumission. » Ces exĂ©gĂštes racontent les circonstances de la rĂ©vĂ©lation du verset qui ordonne Ă  l’homme de battre sa femme en cas de dĂ©sobĂ©issance Une femme battue par son mari vint se plaindre auprĂšs du ProphĂšte, accusant son Ă©poux de l’avoir frappĂ©e et laissĂ© des traces sur son visage par la brutalitĂ© des coups. L’EnvoyĂ© de Dieu voulut punir le mari brutal. Mais Allah rĂ©vĂ©la ce verset ci-dessus. Le ProphĂšte reconnut qu’il voulait rendre justice, mais Allah en a dĂ©cidĂ© autrement. La pauvre femme fut renvoyĂ©e et la loi d’Allah reste valable encore aujourd’hui. »Ainsi, l’homme a le devoir de frapper la femme rĂ©calcitrante dans le but louable » de la corriger, de l’éduquer et de la ramener dans le droit chemin. L’islam part de l’idĂ©e que la femme a une tendance Ă  s’écarter du droit chemin. En consĂ©quence, elle occupe un rang infĂ©rieur Ă  celui de l’homme S2, V228 Les femmes ont des droits Ă©quivalents Ă  leurs obligations, et conformĂ©ment Ă  l’usage. Les hommes ont cependant une prééminence sur elles les hommes occupent des degrĂ©s supĂ©rieurs dans l’échelle sociale. » Il n’y a pas le moindre doute le Coran affirme d’une maniĂšre claire et explicite que dans l’échelle sociale les hommes occupent un degrĂ© supĂ©rieur Ă  celui des femmes. Le verset suivant instaure la lĂ©galitĂ© de la polygamie. L’expression parmi les femmes qui vous plaisent » privilĂ©gie le fait que le mariage est davantage un contrat que l’homme peut Ă©tablir avec des femmes qui lui plaisent qu'une union basĂ©e sur l’amour entre un homme et une femme.S4, V3 Et si vous craignez de n’ĂȘtre pas justes envers les orphelins[1], il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’ĂȘtre pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves achetĂ©es ou captives de guerres reçues dans le cadre du butin que vous possĂ©dez. Cela afin de ne pas faire d’injustice et de ne pas aggraver votre charge de famille. »Il est important de comprendre que la limitation Ă  quatre femmes signifie quatre femmes en mĂȘme temps. Si l’homme dĂ©sirait une autre femme, il pouvait rĂ©pudier une de ses quatre femmes, pour Ă©pouser une autre. Il est aussi important de comprendre, qu’en plus des quatre Ă©pouses lĂ©gitimes, l’homme avait le droit de prendre un nombre illimitĂ© de concubines, parmi ses esclaves. Ce prĂ©cepte lĂ©gitime les centaines d’esclaves sexuelles qui peuplaient les fameux harems l’homme avait droit Ă  un nombre illimitĂ© de femmes, lĂ©gitimes ou concubines, alors que la femme devait faire preuve d’une fidĂ©litĂ© totale envers son mari. Toute aventure extraconjugale Ă©tait punie par la mariage des mineuresLe verset suivant montre qu’il est lĂ©gitime d’épouser des fillettes prĂ©pubĂšres S65, V4-5 Si vous avez des doutes Ă  propos de la pĂ©riode d’attente de vos femmes qui n’espĂšrent plus avoir de rĂšgles, leur dĂ©lai est de trois mois. De mĂȘme pour celles qui n’ont pas encore de rĂšgles. Et quant Ă  celles qui sont enceintes, leur pĂ©riode d’attente se terminera Ă  leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses. Tel est le commandement d’Allah qu’Il a fait descendre vers vous
 »Dans son Recueil de Hadiths, qui fait autoritĂ© dans l’islam, Bukhari cite ce verset puis raconte que le ProphĂšte s’est mariĂ© avec AĂŻcha quand elle avait six ans, et qu’il a consommĂ© le mariage quand elle avait neuf verset coranique, accompagnĂ© du hadith ci-dessus, explique la tragĂ©die de ces fillettes prĂ©pubĂšres, donnĂ©es en mariage arrangĂ© Ă  des hommes qui pourraient ĂȘtre leur pĂšre ou mĂȘme leur grand-pĂšre. MĂȘme dans des pays rĂ©putĂ©s appliquer un islam modĂ©rĂ©, comme le Maroc et l’AlgĂ©rie, la lĂ©gislation accorde aux juges le droit de prononcer le mariage avec des mineures, sans fixer un Ăąge limite !C’est avec ces millions de fillettes contraintes au mariage en terre d’islam que nous avons un devoir de solidaritĂ©. Nous ne pouvons pas accepter qu’en Suisse et en Europe les mosquĂ©es continuent d’enseigner et de relayer les versets et les Hadiths qui rendent licite le mariage des fillettes prĂ©pubĂšres. Et malheureusement, la presse rapporte que des fillettes qui vivent en Europe sont ramenĂ©es dans leur pays d’origine pour ĂȘtre contraintes au mariage !La rĂ©pudiationComme le montre ce verset, l’homme peut rĂ©pudier une de ses Ă©pouses, selon sa bonne volontĂ©. Il lui suffit de respecter le dĂ©lai lĂ©gal pour lui demander de quitter la maison et de lui rendre les biens qui lui appartenaient.S65, V1-2 Ô ProphĂšte ! Quand vous rĂ©pudiez les femmes, rĂ©pudiez-les conformĂ©ment Ă  leur pĂ©riode d’attente prescrite ; et comptez la pĂ©riode ; et craignez Allah votre Seigneur. Ne les faĂźtes pas sortir de leurs maisons, et qu’elles n’en sortent pas, Ă  moins qu’elles n’aient commis une turpitude prouvĂ©e. Telles sont les lois d’Allah
Puis quand elles atteignent le terme prescrit, retenez-les de façon convenable, ou sĂ©parez-vous d’elles de façon convenable ; et prenez deux hommes intĂšgres parmi vous comme tĂ©moins »Nous avons ici un autre exemple de l’inĂ©galitĂ© que l’islam Ă©tablit entre l’homme et la femme ne peut pas se marier sans tuteur masculinEn vue du mariage, la femme doit obĂ©ir Ă  des rĂšgles et des conditions sans lesquelles celui-ci ne serait pas valide. Parmi celles-ci figurent la prĂ©sence du WalĂź tuteur et de deux tĂ©moins musulmans ainsi que la demande de mariage et l’acceptation. Si ces rĂšgles ne sont respectĂ©es, le mariage n’est pas valide S4, V25 
Et Ă©pousez-les avec l’autorisation de leurs maĂźtres WalĂź et donnez-leur une dot mahr convenable
 »Ce principe fait de la femme une mineure Ă  vie, jusqu’à ce qu’elle soit rĂ©pudiĂ©e ou veuve, puisque la femme qui n’a pas Ă©tĂ© rĂ©pudiĂ©e ou qui n’est pas veuve, ne peut se marier et choisir son Ă©poux en toute prĂ©cepte coranique qui impose l’obligation d’un tuteur masculin pour valider le mariage de la femme est confirmĂ© par les paroles de Mahomet La femme ne peut pas se marier elle-mĂȘme sans tuteur. Seule la dĂ©bauchĂ©e se marie elle-mĂȘme sans tuteur » Sunan Ibn Majah- Livre du mariage.L’islam Ă©tablit une supĂ©rioritĂ© Ă©vidente de l’homme sur la femme. L’homme peut se marier en toute libertĂ©, alors que la femme ne peut le faire sans un tuteur des mĂšres cĂ©libatairesLe fait d’avoir un enfant en dehors du mariage met la mĂšre et l’enfant dans une situation dramatique. En premier lieu, la mĂšre cĂ©libataire doit subir le chĂątiment de la flagellation, qui est pratiquĂ© encore aujourd’hui dans de nombreux pays musulmans, Ă  commencer par l’Iran chiite et l’Arabie sunnite. Le chĂątiment est prescrit par le Coran dans la Sourate La LumiĂšre » S24, V1-2 Voici une Sourate que Nous avons fait descendre et que Nous avons imposĂ©e, et Nous y avons fait descendre des versets explicites afin que vous vous souveniez. La fornicatrice la dĂ©bauchĂ©e et le fornicateur le dĂ©bauchĂ©, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitiĂ© pour eux dans l’exĂ©cution de la loi d’Allah – si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu’un groupe de croyants assiste Ă  leur punition. »Les consĂ©quences pour l’enfant sont tout aussi tragiques. Il est trĂšs souvent abandonnĂ© dans des institutions et mĂȘme quand il trouve une famille d’adoption, il subit la discrimination prescrite dans le Coran il n’a pas le droit d’avoir une filiation, de porter le nom de sa famille adoptive et d’ĂȘtre inscrit sur le Livret de Famille; il est exclu de l’hĂ©ritage. Ces lois font suite au mariage de Mahomet avec Zaynab, la femme de son fils adoptif, Zayd. Pour que ce mariage, ordonnĂ© par Allah, puisse avoir lieu, Mahomet renia son fils adoptif. Depuis lors, l’adoption fut interdite Ă  jamais dans l’islam. Cette interdiction engendre des situations tragiques pour tous les enfants abandonnĂ©s en terre d’ voile pour la femmeLe port du voile rĂ©sulte de deux versets coraniques S24, V31 Et dis aux croyantes de baisser leur regards, de garder leur chastetĂ©, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraĂźt. Et qu’elles rabattent leur voile sur leur poitrine  »S33, V59 Ô ProphĂšte ! Dis Ă  tes Ă©pouses, Ă  tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles elles en seront plus vite reconnues et Ă©viteront d’ĂȘtre offensĂ©es. »Dans le premier verset, le Coran utilise le terme arabe khimar », qui aurait pour signification un voile qui couvrait la femme. Le verset 59 de la Sourate 33 prescrit aux musulmanes de ramener sur elle » le voile ÙŠÙŰŻÙ’Ù†ÙÙŠÙ†ÙŽ Űčَلَيْهِنَّ مِن ŰŹÙŽÙ„ÙŽÙ€ŰšÙÙŠŰšÙÙ‡ÙÙ†Ù‘ÙŽ .Ces expressions ont amenĂ© les OulĂ©mas Ă  imposer aux femmes de voiler leurs cheveux, mĂȘme si la chevelure n’est pas explicitement citĂ©e dans le la fin du deuxiĂšme verset elles en seront plus vite reconnues et Ă©viteront d’ĂȘtre offensĂ©es ». La signification de ce passage est trĂšs claire les femmes qui portent le voile seront reconnues comme Ă©tant des musulmanes, et elles ne seront pas offensĂ©es. Comme si l’interdiction d’offenser les femmes ne concernait que les musulmanes portant le rĂ©sumĂ©, le Coran laisse entendre que la femme, de par sa nature, porte en elle le risque de dĂ©tourner l’homme du droit chemin. Son attrait sexuel pousse l’homme Ă  commettre des choses pouvant aller jusqu’à l’offense ou l’agressivitĂ©. Pour prĂ©venir ces situations, le Coran prescrit Ă  la femme de porter le est clair que de telles prescriptions sont contraires Ă  la libertĂ© et Ă  l’émancipation de la femme telle qu’elle est vĂ©cue en les annĂ©es 1960 Ă  1980, les femmes se sont Ă©mancipĂ©es de cette obligation de porter le voile dans une grande partie du monde musulman. Mais la persistance des prĂ©ceptes coraniques a engendrĂ© un grand retour en arriĂšre depuis la prise du pouvoir par Khomeyni en Iran et la multiplication des Fatwas dans les autres pays, le voile s’est de nouveau imposĂ©, non seulement dans le monde musulman, mais Ă©galement en Occident, oĂč il se rĂ©pand en particulier dans les quartiers Ă  majoritĂ© montre l’importance des textes fondateurs de l’islam, en particulier le Coran. Pour permettre une vĂ©ritable Ă©mancipation des femmes de l’esprit patriarcal, il est nĂ©cessaire de revoir les textes, en commençant par les versets du Coran oĂč Allah s’exprime Ă  l’impĂ©ratif et instaure des prescriptions valables en tout temps et en tout femme est infĂ©rieure dans le domaine de l’espritLe Coran demande de recourir Ă  deux hommes ou Ă  un homme et deux femmes pour valider un tĂ©moignage S2, V282 Faites-en tĂ©moigner par deux tĂ©moins d’entre vos hommes ; et Ă  dĂ©faut de deux hommes, un homme et deux femmes d’entre ceux que vous agrĂ©ez comme tĂ©moins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler. »Comment expliquer ce manque de fiabilitĂ© dans le tĂ©moignage de la femme ? Les musulmans se rĂ©fĂ©rent au Hadiths de Mahomet pour comprendre comment celui-ci a compris ce recueils authentiques de Hadiths, en premier lieu les Sahihes de Bukhari et Mouslim, affirment que le ProphĂšte considĂ©rait les femmes comme dĂ©ficientes en esprit ou en intelligence ». Le Hadith suivant rapporte les paroles qu’a tenues Mahomet aux femmes musulmanes – Ô assemblĂ©e des femmes ! Donnez l’aumĂŽne et multipliez les demandes de pardon ; car j’ai vu que vous reprĂ©sentez la plus grande proportion des habitants de l’enfer ».– Pourquoi ĂŽ Messager d’Allah ? » demandĂšrent-elles.– Il rĂ©pondit Vous multipliez les malĂ©dictions, vous ĂȘtes ingrates envers vos maris. Je n’ai pas vu plus dĂ©ficientes en raison et en religion et plus aptes Ă  ĂŽter la sagesse Ă  l’homme, que celles d’entre vous ».– Elles dirent Quelle est la preuve de la dĂ©ficience de notre religion et de notre raison, ĂŽ Messager d’Allah ? »– Il rĂ©pondit N’est-ce pas que le tĂ©moignage de la femme dans le Coran Ă©quivaut Ă  la moitiĂ© de celui de l’homme ? »– Elles dirent Si ».– Il dit C’est la preuve de la dĂ©ficience de votre raison. Et vous passez des nuits sans faire la priĂšre et vous ne faites pas le jeĂ»ne du Ramadhan Ă  cause de vos rĂšgles ceci est dĂ» Ă  votre dĂ©ficience en religion. » Sahih Mouslim, Livre de la foi, Hadith 34 Le mal est dans la femme »Le verset suivant considĂšre la femme comme l’ennemi de l’homme.S64, V14 Ô vous musulmans croyants, vous avez de vos Ă©pouses et de vos enfants un ennemi. Prenez-y garde donc. Mais si vous [les] excusez, si vous passez sur [leurs] fautes et si vous [leur] pardonnez, sachez qu’Allah est Pardonneur, TrĂšs MisĂ©ricordieux. »Dans une vidĂ©o[2], on voit un enfant rĂ©citer ce verset devant des dizaines de milliers de musulmans, lors du Concours national de rĂ©citation du Coran Ă  Paris. Cet enfant reçoit les fĂ©licitations d’Amar Lafar, le prĂ©sident de l’Union des Organisations Islamiques de France UOIF.Dans son Recueil authentique, Bukhari cite ce verset et le fait suivre par ces paroles de Mahomet Le mal rĂ©side dans la femme, la maison et le cheval ». Bukhari Livre du mariage, Hadith 17Le ProphĂšte, en disant que le mal rĂ©side dans la femme, la maison et le cheval, fait de la femme la responsable du mal, puisque la maison et le cheval ne sont pas conscients du mal qui rĂ©side en eux. Seule la femme a ce pouvoir d’abriter le mal en toute appuyer son explication, l’islam cite le verset du Coran qui prĂ©cise que la ruse des femmes est supĂ©rieure Ă  celle de Satan S12, V28 
 C’est bien de votre ruse de femmes ! Vos ruses sont vraiment Ă©normes ! »Alors que les ruses des femmes sont Ă©normes, celles du dĂ©mon sont faibles S4, V76 Les croyants combattent dans le sentier d’Allah, et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du DĂ©mon. Eh bien, combattez les alliĂ©s du Diable, car la ruse du Diable est certes faible ».Suite Ă  ce mal qui rĂ©side en elles, Mahomet affirme que les femmes reprĂ©sentent la majoritĂ© des occupants de l’Enfer J’ai vu l’enfer, et j’ai vu que la plupart de ses habitants Ă©taient des femmes ». Imam Malik, Muwatta Livre 12 – Ch. 1 – Hadith 445.En consĂ©quence, le ProphĂšte explique aux fidĂšles musulmans Les femmes reprĂ©sentent la pire calamitĂ© que j’ai laissĂ©e aprĂšs-moi pour les hommes ». Bukhari Livre du mariage, Hadith 34.Et pour finir, on citera cette prescription qui reste encore valable de nos jours La priĂšre est annulĂ©e par les chiens, l’ñne et la femme, s’ils passent devant les personnes en priĂšre » Bukhari Livre de la priĂšre, Hadith 102.AĂŻcha, la jeune femme de Mahomet, s’emporta contre cette prescription et s’écria Vous nous considĂ©rez comme des chiens » !ConclusionsIl n’y a pas grand-chose Ă  ajouter. Nul besoin d’ĂȘtre un grand savant pour comprendre ces textes fondateurs de l’islam et les lois divines » qu’ils ont instaurĂ©es. La femme est honteusement discriminĂ©e par l’islam elle est considĂ©rĂ©e comme infĂ©rieure Ă  l’homme, elle n’a pas les mĂȘmes droits quant au mariage, elle reste toute sa vie une mineure qui a besoin d’un tuteur. Pire, elle reprĂ©sente un mal pour les hommes, une calamitĂ© ; elle est un ennemi ! Est-ce lĂ  l’image de la femme que nous voulons accepter ?Comment pouvons-nous accepter que des pays musulmans qui ont signĂ© la DĂ©claration des droits de l’homme continuent de pratiquer cette discrimination envers les femmes ?Comment pouvons-nous accepter que l’islam, qui cherche Ă  introduire la charia en Occident, continue d’y proclamer que le statut donnĂ© Ă  la femme par l’islam n’a jamais trouvĂ© son Ă©gal dans une autre sociĂ©tĂ© humaine ?Comment pouvons-nous accepter que ces textes fondateurs discriminant les femmes soient appris et rĂ©citĂ©s par les enfants, sans que personne ne dise rien ? Cet enseignement fait partie de la formation de base que doit recevoir tout Ă©tudiant musulman. Comment un jeune, enseignĂ© de la sorte, peut-il s’intĂ©grer en Suisse ou en Europe ?Comment pouvons-nous accepter que nos autoritĂ©s tolĂšrent cet enseignement qui est manifestement contraire aux lois civiles suisses ?Comment nos autoritĂ©s suisses envisagent-elles de reconnaĂźtre officiellement les associations musulmanes si celles-ci valident des prĂ©ceptes qui sont contraires aux lois civiles suisses ?Notes[1] Le dĂ©but de ce verset parait obscur ; il est en fait liĂ© au statut des orphelins, qui Ă©taient pris en charge par les hommes adultes qui gardaient Ă©galement les biens et l’argent que les orphelins mineurs possĂ©daient en hĂ©ritage. Il fallait attendre que ces orphelins deviennent adultes pour qu’ils puissent disposer de leur argent et de leur bien. Ainsi, l’homme qui veut Ă©pouser plusieurs femmes ne devait pas utiliser les biens des orphelins pour la dot de ses Ă©pouses.[2] Voir Annexe 2 B
\n \n citation de la bible sur la femme
SaintThomas (XIII e siĂšcle), qui codifie la morale sexuelle chrĂ©tienne dans sa Summa TheologiĂŠ, est trĂšs clair sur ce sujet : « Dans les pĂ©chĂ©s contre-nature, oĂč l’ordre mĂȘme de la
La Vierge Marie, modĂšle de puretĂ©, dont nous fĂȘtons aujourd'hui la NativitĂ© Question J’aimerais connaĂźtre l’avis de l’Eglise sur la masturbation. Est-elle toujours un pĂ©chĂ© j’ai lu sur un forum que dans le cas des adolescents, ce n’était pas le cas, parce que c’est normal ? Quand peut-elle ĂȘtre considĂ©rĂ©e seulement comme pĂ©chĂ© vĂ©niel ? La Bible fait-elle allusion Ă  cette pratique ? Que dit le catĂ©chisme Ă  ce propos ? Le paragraphe 2352 du CatĂ©chisme de l’Eglise catholique rĂ©pond clairement Ă  cette question Par la masturbation, il faut entendre l’excitation volontaire des organes gĂ©nitaux, afin d’en retirer un plaisir vĂ©nĂ©rien. “Dans la ligne d’une tradition constante, tant le magistĂšre de l’Église que le sens moral des fidĂšles ont affirmĂ© sans hĂ©sitation que la masturbation est un acte intrinsĂšquement et gravement dĂ©sordonnĂ© “. On trouve effectivement sur internet un certain nombre de sites affirmant que la masturbation est une pratique normale et que l’Eglise ne la condamne plus. Les deux affirmations sont fausses. Rappelons, au passage, que la condamnation de la masturbation n’a rien Ă  voir avec le prĂ©tendu mĂ©pris du corps que manifesterait l’Eglise – comme on le lit trop souvent. C’est, au contraire, parce que l’Eglise a une trĂšs haute conception du corps et, en particulier, de la sexualitĂ© humaine qu’elle rĂ©prouve les pratiques qui contredisent le magnifique projet divin sur l’homme. Pour nous chrĂ©tiens, le plaisir sexuel n’est pas une rĂ©alitĂ© Ă  fuir, mais c’est une rĂ©alitĂ© Ă  inscrire dans un ordre naturel et divin. Il ne trouve son sens plĂ©nier que dans l’acte conjugal oĂč les Ă©poux se donnent totalement l’un Ă  l’autre. Ce don Ă©tant, comme le dit saint Paul, Ă  comprendre par rapport au don rĂ©ciproque du Christ et de l’Eglise. S’agissant de la question sur le caractĂšre Ă©ventuellement vĂ©niel de la masturbation, on peut lire au paragraphe 1856 ce rappel de ce qu’est un pĂ©chĂ© mortel par opposition Ă  un pĂ©chĂ© vĂ©niel Est pĂ©chĂ© mortel tout pĂ©chĂ© qui a pour objet une matiĂšre grave, et qui est commis en pleine conscience et de propos dĂ©libĂ©rĂ©. En l’occurrence, la matiĂšre est grave, mais la pleine conscience et le propos dĂ©libĂ©rĂ© ne sont pas toujours prĂ©sents. La masturbation peut donc, effectivement, ĂȘtre dans certains cas un pĂ©chĂ© vĂ©niel. Cependant, il faut veiller Ă  l’éviter car la pratique d’un pĂ©chĂ© vĂ©niel diminue la charitĂ© dans l’ñme, obscurcit la conscience et affaiblit la volontĂ©. Des pĂ©chĂ©s vĂ©niels rĂ©pĂ©tĂ©s, non repoussĂ©s et non absous risquent donc d’éloigner de Dieu au point de commettre des pĂ©chĂ©s mortels. Dernier point la Bible fait une allusion discrĂšte Ă  cette pratique en Gn XXXVIII,9-10 Cependant OnĂąn [fils de Juda, l’un des douze fils de Jacob] savait que la postĂ©ritĂ© ne serait pas sienne et, chaque fois qu’il s’unissait Ă  la femme de son frĂšre, il laissait perdre Ă  terre pour ne pas donner une postĂ©ritĂ© Ă  son frĂšre. Ce qu’il faisait dĂ©plut Ă  YahvĂ©, qui le fit mourir lui aussi. Dans le contexte, Onan, au titre de la loi d’IsraĂ«l du lĂ©virat, devait donner une descendance Ă  son frĂšre aĂźnĂ© dĂ©cĂ©dĂ© en s’unissant Ă  la femme de ce dernier. La Tradition de l’Eglise a toujours considĂ©rĂ© que ce pĂ©chĂ© d’Onan Ă©tait analogue Ă  la masturbation – qui l’on appelle d’ailleurs parfois onanisme dans les livres anciens de morale.
Femmes, soyez soumises Ă  vos maris, comme au Seigneur car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de mĂȘme Extract Saint Paul a Ă©tĂ© plusieurs fois accusĂ© de manquer de bienveillance Ă  l'endroit du monde fĂ©minin. On lui a reprochĂ© d'avoir en ce domaine une mentalitĂ© plus juive que chrĂ©tienne, de regarder la femme comme un ĂȘtre qui serait par nature infĂ©rieur Ă  l'homme et de faire d'elle simplement l'image d'une image’, c'est-Ă -dire l'image de l'homme, qui seul serait l'image directe de Dieu, alors que selon le premier chapitre de la GenĂšse, l'homme et la femme sont créés ensemble comme une unique image de Dieu. On lui a encore reprochĂ© de se montrer infidĂšle Ă  cet Ă©gard Ă  l'esprit du Christ des Évangiles qui a tant fait pour mettre en Ă©vidence la dignitĂ© de la femme et dont les gestes de dĂ©licatesse et de bontĂ© Ă  son endroit ne se comptent pas. Par ailleurs on ne saurait contester ce fait au cours de l'histoire de l'Église, quelques textes pauliniens ont Ă©tĂ© maintes fois exploitĂ©s Ă  l'encontre du monde fĂ©minin et ont fait conclure Ă  une infĂ©rioritĂ© congĂ©nitale de la femme par rapport Ă  l'homme. References page 157 note 1 Nous ne voulons pas donner ici une bibliographic complĂšte du sujet. A titre d'exemple, voici quelques Ă©tudes qui formulent centre Paul l'accusation d'antifĂ©minisme Bousset, W., Die Schriften des neu ĂŒbersezt und fĂŒr die Gegenwart erklĂ€rt, Ă©dit, par J. Weiss, 11 1916, commentaire de I Cor. xiv. 34–5;Google ScholarDelling, G., Paulus' Stellung zu Frau und Ehe Stuttgart, 1931;Google ScholarCraig, C. T., The First Epistle to the Corinthians, dans The Interpreter's Bible, X New York–Nashville, 1953, 125–7. Dans le Theologisches Wörterbuch zum Neuen Testament, 1, art. gunĂš, p. 785, A. Oepke relĂšve chez Paul deux tendances contraires relativement au monde fĂ©minin l'une progressiste’ et l'autre juive’ ou rĂ©actionnaire’. La dĂ©claration que dans l'ordre nouveau il n'y a plus de discrimination entre l'homme et la femme Gal. iii. 27–8 demeurerait chez Paul Ă  l'Ă©tat de principe thĂ©orique et n'aurait aucune consĂ©quence pratique, du moins dans la vie actuelle de l' Scholarpage 157 note 2 L'expression image d'une image’ a Ă©tĂ© employĂ©e par Huby, J. dans son explication dc I Cor. xi. 7 PremiĂšre ÉpĂźtre aux Corinthiens Paris, 1946, p. 246. L'auteur confirme son exĂ©gĂšse en faisant appel Ă  Cyrille d' Alexandrie PG 74,881. Elle n'en est pas moins malheureuse, ainsi que nous le montrerons plus Scholarpage 157 note 3 Dans la troisiĂšme partie d'un ouvrage intitulĂ© JĂ©sus et sa MĂšre d'aprĂšs les rĂ©cits lucaniens de l'enfance et d'aprĂšh saint Jean Paris, 1974, nous traitons du rĂŽle de Marie et de la femme en gĂ©nĂ©ral dans l'Ă©conomie chrĂ©tienne. Le premier paragraphe a pour titre La place de la femme dans le plan divin d'aprĂšs la GenĂšse. Il traite en mĂȘme temps trĂšs briĂšvement de la maniĂšre dont saint Paul a compris et exploitĂ© les donnĂ©es de la GenĂšse sur la 157 note 4 Cf. Ă  ce sujet Galot, J., Mission et MinistĂšre de la femme Paris, 1973, notamment pp. 104– Scholarpage 158 note 1 Probablement, Ă  l'origine, en IsraĂ«l, le mari avait le droit absolu de renvoyer sa femme II Sam. iii. 14–16. La lĂ©gislation moisaĂŻque restreignait ce droit au cas oĂč le mari aurait dĂ©couvert chez sa femme quelque chose de honteux’, ce qui n'Ă©tait pas toujours interprĂ©tĂ© de la mĂȘme façon Deut. xxiv. 1; cf. encore Eccl. vi. 26; xxv. 36; xlii. 9. Cf van den Born, A., art. Divorce, dans Dictionnaire EncyclopĂ©dique de la Bible Turnliout–Paris, 1960, p. Scholarpage 158 note 2 ÉpĂźtre aux Calates Paris, 1920, p. Scholarpage 158 note 3 J. Galot, Mission et MinistĂšre de la femme, pp. 115– 159 note 1 Les interprĂštes qui se prononcent en faveur de ce sens de reflet’ sont si nombreux qu'il est inutile de donner des noms. Alors que d'ordinaire on garde le mot gloire’ en expliquant qu'il veut dire 'reflet’, certains commentateurs introduisent le terme reflet’ dans la traduction elle-mĂȘme. C'est le cas par exemple de Ostyl, E., Les ÉpĂźtres de saint Paul aux Corinthiens Bible de JĂ©rusalem 3Ăšme Ă©dition, Paris, 1959, pp. 51–2;Google ScholarLietzmann, H., An die Korinther TĂŒbingen, 1931, pp. 52–3;Google ScholarKuss, O., Die Briefe an die Römer, Korinther und Galater Regensburg, 1940, pp. 163–4;Google ScholarKĂŒrzinger, J., Die Briefe an die Korinther und Galater WĂŒrtzbourg, 1954, p. Scholarpage 159 note 2 The First Epistle to the Corinthians, p. 160 note 1 Cf Frey, J. B., Corpus Inscriptionum Judaicarum. Sussidi allo studio delle antichitĂ  cristiane Rome, 1936, 1, no. 135. Cette inscription juive est allĂ©guĂ©e, pour confirmer le sens de reflet, par de nombreux commentateurs, ainsi que par le Wörterbuch zum Neuen Testament deGoogle ScholarBauer, W. 4Ăšme Ă©dition, Berlin, 1952, col. 369. Le Theologtsches Wörterbuch de Kittel, II, art. doxa, pp. 240–59 en collaboration ne donne p. 240 que I Cor. xi. 7 et cette inscription juive comme illustration du sens reflet’.Google Scholarpage 160 note 2 The First Epistle to the Corinthians London, 1951, p. Scholarpage 160 note 3 Voici ces rĂ©fĂ©rences Robertson, A. et Plummer, A., The First Epistle of St Paul to the Corinthians Edinburgh, 1929, pp. 232–3;Google ScholarHaulotte, E., Symbolique du vĂȘtement selon la Bible Paris, 1963, pp. 248–71;Google ScholarHooker, M. D., Authority on her head an examination of I Cor. xi. 10’, X 1964, 410–16;Google ScholarJaubert, A., Le voile des femmes I Cor. xi. 2–16, XVIII 1972, 422–4; J. Galot, Mission et Ministhe de lafemme, pp. 123–6.Google Scholarpage 160 note 4 Cf. notre article Le signe de puissance sur la tĂȘte de la femme I Cor. xi. 10’, Nouvelle Revue ThĂ©ologique CV 1973, 945– Scholarpage 160 note 5 Cf Fitzmyer, J. A., A feature of QumrĂąn angelology and the angels of I Cor. xi. 10’, IV 1957–8, 48– Scholarpage 160 note 6 Ramsay, W., The Cities of St Paul, Their Influence on his Life and Thought London, 1907, pp. 202– Scholarpage 161 note 1 Sur le double sens objectif at subjectif de l'hĂ©breu kabĂŽd, cf. Jacob, E., ThĂ©ologie de l' Ancien Testament NeuchĂątel–Paris, 1955, pp. 63– Scholarpage 161 note 2 Seconde ÉpĂźtre aux Corinthiens Paris, 1938, p. Scholarpage 162 note 1 Il va sans dire que cette Ă©tymologie n'a rien Ă  voir avec la science philologique qui rattache ces deux mots Ă  des racines diffĂ©rentes. L'auteur sacrĂ© s'exprime en outre comme si le premier homme avait parlĂ© hĂ©breu. A la suite de G. von Rad La GenĂšse, trad. E. de Peyer, GenĂšve, 1968, pp. 80–2, il est intĂ©ressant de noter les divers stades de ce puissant rĂ©cit. Tout d'abord v. 18 Dieu proraet Ă  l'homme un partenaire de mĂȘme nature que lui. Puis tous les animaux dĂ©filent devant l'homme qui leur donne un nom, ce qui est de sa part un acte de souverainetĂ©; mais l'homme ne reconnaĂźt pas dans cet univers animal l'aide qui lui a Ă©tĂ© promise vv. 19–20 il y a lĂ  une sorte d'action Ă  retardement qui augmente la tension du rĂ©cit’. Dieu crĂ©e la premiĂšre femme et la conduit Ă  l'homme Ă  la façon d'un garçon d'honneur vv. 21–2. L'homme reconnaĂźt enfin avec joie la prĂ©sence devant lui de l'ĂȘtre qu'il cherchait et il lui donne un nom, ce qui est un nouvel acte de souverainetĂ© v. 23.page 163 note 1 PremiĂšre ÉpĂźtre aux Corinthiens, p. 163 note 2 Voici ces rĂ©fĂ©rences A. Oepke, art. gunĂš, Theologisches Wörterbuch zum Neuen Testament, 1, 788 Scott, A., Christianity According to St Paul Cambridge, 1961, pp. 227–8;Google ScholarFitzer, G., Das Weib schweige in der Gemeinde.’ Über den unpaulinischer Ckarakter der mulier taceat Verse in 1 Korinther 14, dans Theologische Existenz Heute, CX MĂŒnchen, 1963;Google ScholarConzelmann, H., Der erste Brief an die Korinther Göttingen, 1969, pp. 289–90;Google ScholarGalot, J., Mission et MinistĂšre de la femme Paris, 1973, pp. 51–2 et 139–41;Google ScholarGallay, P., Des Femmes PrĂȘtres? Paris, 1973, pp. 59–60 exagĂšre beaucoup quand il a l'air de considĂ©rer ce problĂšme comme rĂ©glĂ©. Il s'agirait certainement lĂ , d'aprĂšs lui, d'une interpolation postĂ©rieure, d'origine judĂ©o-chrĂ©tienne, comme en tĂ©moigne la rĂ©fĂ©rence Ă  la Loi’. Cette addition, ajoute le mĂȘme auteur, a eu une influence Ă©norme sur toute l'histoire de l'Église. Elle continue de fournir un argument sans cesse invoquĂ© par ceux qui n'acceptent pas la possibilitĂ© d'un ministĂšre fĂ©minin.’Google Scholarpage 163 note 3 Il s'agit de l'Ă©dition suivante The Creek New Testament, edited by Aland, Kurt, Black, Matthew, Metzger, Bruce M., Wikgren, Allen Stuttgart, 1966. Pour ce problĂšme de critique textuelle, j'ai consultĂ© J. Duplacy, professeur aux FacultĂ©s de ThĂ©ologie de Lyon et de Louvain. Je le remercie Scholarpage 163 note 4 Cf Frede, Altlateinische Paulus-Handschriften Freiburg, 1964, pp. 15– Scholarpage 163 note 5 Cf. Frede, op. cit. pp. 58– 164 note 1 Outre les commentaires de l'ÉpĂźtre aux Remains, cf. notre Ă©tude Le RĂšgne de la mort et le RĂšgne de la vie’ Rom. v. 12–21, dans Revue Biblique 1970, pp. 515– 164 note 2 En Rom. iii. 19 tout ce que dit la Loi’ se rapporte aux textes qui viennent d'ĂȘtre citĂ©s vv. 10–18 et qui sont tous tirĂ©s, non du Pentateuque, mais des Psaumes ou des Ă©crits prophĂ©tiques en Rom. iii. 31 l' ApĂŽtre dĂ©clare que la doctrine de la justification par la foi dresse la Loi sur ses vĂ©ritables bases’ traduction de Lagrange, c'est-Ă -dire qu'elle ne fait que confirmer l'enseignement donnĂ© par Dieu dans l'Ancien Testament. On peut se reporter encore Ă  I Cor. xiv. 21 oĂč le mot Loi’ annonce une citation d'IsaĂŻe; cf. encore Jean x. 34, xii. 34, xv. 25. La littĂ©rature rabbinique nous offre de nombreux exemples du sens Ă©largi du mot nomos; cf. Strack–Billerbeck, II, 542, III, 159, 462. Il y a dĂ©jĂ  une prĂ©paration de cela dans l' Ancien Testament, par exemple dans le Psaume cxix, oĂč le mot Loi signifie toute rĂ©vĂ©lation divine conçue comme norme de vie’ Robert, A., Le sens du mot Loi dans le Psaume CXIX’, Revue Biblique 1937, p. Scholarpage 164 note 3 Les commentaires de E. B. Allo et de J. HĂ©ring ne prĂ©cisent pas Ă  quel texte de l'Écriture se rĂ©fĂšre le mot nomos de I Cor. xiv. 34. Par contre renvoient Ă  Gen. iii. 16 Robertson–Plummer, The First Epistle to the Corinthians, p. 325; J. Huby, PremiĂšre ÉpĂźtre aux Corinthiens, p. 343 n. 4;Lietzmann, H., An die Korinther TĂŒbingen, 1931, p. 76;Google ScholarJacono, V., Le Epistote di S. Paolo ai Romani, ai Corinthi e ai Galati Torino, 1952, p. 382;Google ScholarWendland, H. D., Die Briefe an die Korinther Göttingen, 1948, p. 88; la Traduction OecumĂ©nique du Nouveau Testament Paris, 1972, p. 516 n. z avec hĂ©sitation; la Nouvelle Bible de JĂ©rusalem Paris, 1973, p. 1661 dans la marge; la Bible de E. Osty Paris, 1973, p. 2411, en note Scholarpage 165 note 1 La GenĂšse Bible de JĂ©rusalem 2Ăšme Ă©dition, Paris, 1962, p. 48 n. Scholarpage 165 note 2 1 and 2 Corinthians, New Century Bible London, 1971, p. 136. Cet exĂ©gĂšte estime avec raison que la Loi allĂ©guĂ©e en I Cor. xiv. 34 ne peut ĂȘtre Gen. iii, 16 qui ne parle que de l'inclination instinctive de la femme vers son mari qui en profite pour la dominer. Bruce songe bien plutĂŽt Ă  Gen. i. 26 sq. et ii. 21 Scholarpage 165 note 3 MĂ©taphysique de la sexualitĂ©; traduit de l'allemand par Jundt, P. Paris, 1960, p. ScholarBien que cet ouvrage ne relĂšve pas directement de l'exĂ©gĂšse, il est recensĂ©, avec les rĂ©serves nĂ©cessaires, par Benoit, P. Ă  cause de la maniĂšre fortement biblique et chrĂ©tienne dont l'auteur traite son sujet’ Revue Biblique, 1960, pp. 464–5. En effet l'auteur demande l'inspiration maĂźtresse de sa philosophie Ă  la Bible, et avant tout aux rĂ©cits de la crĂ©ation et de la chute au paradis terrestre. Il lui arrive d'ailleurs de formuler des assertions proprement inacceptables. Le P. Benoit en relĂšve quelques unes, ce qui n'empĂȘche pas ce mĂȘme exĂ©gĂšte de conclure Ce livre original, bien pensĂ© et bien Ă©crit, mĂ©rite de retenir l'attention des philosophes, des thĂ©ologiens et des biblistes’ p. 465.Google Scholarpage 166 note 1 La PremiĂšre ÉpĂźtre de saint Paul aux Corinthiens, p. 166 note 2 Commentary on the First Epistle to the Corinthians London, 1954, pp. 252 et Scholarpage 166 note 3 The Theology of Saint Paul Oxford, 1964, p. Scholarpage 167 note 1 Nous renvoyons Ă  ce sujet Ă  l'ouvrage d'un thĂ©ologien orthodoxe Evdokimov, Paul, La femme et le salut du monde Tournai–Paris, 1958. Les vues que nous suggĂ©rons ici en passant sur les rapports de l'homme avec le Logos et de la femme avec l'Esprit divin, nous les dĂ©veloppons dans notre livre Jesus et sa MĂšre d'aprĂšs les rĂ©cits de l'enfance de Lc I–II et d'aprĂšs saint Jean. Le rĂŽle de la Vierge Marie dans l'hisloire du salut et la place de la femme dans l' Eglise Paris, 1974.Google Scholarpage 167 note 2 La solution que nous proposons ici se rapproche de ce que disent H. D. Wendland, Die Briefe an die Korinther, pp. 88–9; J. HĂ©ring, La premiĂšre Ă©pĂźtre de saint Paul aux Corinthiens pp. 130–1; D. E. H. Whiteley, The Theology of St Paul, pp. 224–5. On se reportera encore Ă  Hurley, J. B., Did Paul require veils or the silence of women? A consideration of I Cor. xi, 2–16 and I Cor. xiv. 33b–36, Westminster Theological Journal, XXXV 1973, 190– Scholarpage 168 note 1 The Book of Genesis London, 1920, p. Scholarpage 168 note 2 Pour la comparaison entre Gen. ii. 18–24 et Gen. iii. 16 en ce qui regarde la conception de la femme, nous renvoyons aux divers commentaires de la 169 note 1 Nous ne pouvons que renvoyer ici Ă  une Ă©tude richement documentĂ©e de Spicq, C., Les ÉpĂźtres Pastorales Paris, 1969, t. I, Excursus I; La femme chrĂ©tienne et ses vertus, pp. 385– Scholarpage 169 note 2 Citons seulement deux exemples. Didyme l'Aveugle dĂ©clare La raison d' imposer silence aux femmes est Ă©vidente; c'est que l'enseignement de la femme, Ă  l'origine, n'a pas eu une heureuse emprise sur le genre humain, car, comme l'Ă©crit l'ApĂŽtre, ce n'est pas l'homme qui a Ă©tĂ© sĂ©duit, mais la femme’ PG, 39, 989A. Chrysostome dit de son cĂŽtĂ© La femme a enseignĂ© l'homme, elle a tout renversĂ© et elle a entraĂźnĂ© l'homme dans la transgression; c'est pourquoi Dieu l'a rĂ©duite Ă  un Ă©tat de soumission, puisqu'elle avait abusĂ© de son pouvoir ou plutĂŽt de son Ă©galitĂ© en dignitĂ© Tu te tourneras vers ton homme, est-il dit’ PG 62, 544D. Ces deux citations sont empruntĂ©es Ă  J. Galot, Mission et MinistĂšre de la femme, p. 169 note 3 Pour une interprĂ©tation exacte de I Tim. ii. 12 Je ne permets pas Ă  la femme d'enseigner didaskein ni de gouverner authentein l'homme’, on peut tenir compte des deux observations suivantes de Ford, J. Massyngberde, Biblical material relevant to the ordination of women’, Journal of Ecumenical Studies CVI 1973, 683. I Dans la pĂ©ricope qui suit immĂ©diatement cette dĂ©claration, il est parlĂ© des qualitĂ©s Ă  exiger des Ă©piscopoi, et parmi elles il est question de l'aptitude Ă  enseigner didaktikos III, 2 qualitĂ© non exigĂ©e des diacres il est Ă  noter en outre qu'il y a des presbytres qui n'enseignent point I Tim. v. 17; on peut dĂ©duire de lĂ  que ce qui est interdit aux femmes, ce n'est pas tout enseignement, mais la formulation officielle et autorisĂ©e de la doctrine; 2 le verbe authentein, hapax du Nouveau Testament, veut dire exercer l'autoritĂ© suprĂȘme, ou mĂȘme, jouer le rĂŽle d'un tyran ou d'un despote; I Tim. ii. 12 n'implique donc pas que toute autoritĂ© exousia soit refusĂ©e aux Scholarpage 171 note 1 Nombreux sont les auteurs qui rejettent l'authenticitĂ© paulinienne. Pour l'exposĂ© des arguments invoquĂ©s Ă  l'encontre de l'authenticitĂ©, arguments qui ne nous paraissent pas dĂ©cisifs, nous renvoyons spĂ©cialement Ă  Mitton, C. L., The Epistle to the Ephesians, its Authorship, Origin and Purpose Oxford, 1951;Google ScholarGnilka, J., Der Epheserbrief Freiburg–Basel–Wien, 1971;Google ScholarWikenhauser, A. et Schmid, J., Einleitung in das Neue Testament Freiburg–Basel–Wien, 1973, pp. 481– Scholarpage 171 note 2 L'unitĂ© de l'Église selon l'ÉpĂźtre aux ÉphĂ©siens’, dans Sacra Pagina, Miscellanea Biblica Congressus Internationalis Catholici de Re Biblica, ediderunt Coppens, J., Descamps, A., Massaux, E. Paris–Gembloux, 1959, 1, 57– Scholarpage 171 note 3 Der Brief an die Epheser DĂŒsseldorf, 1957, p. Scholarpage 172 note 1 S. Paul's Epistle to the Ephesians London, 1922, p. 124;Google Scholar citĂ© d'aprĂša Huby, J., Saint Paul. Le ÉpĂźtres de la captivitĂ© Paris, 1925, p. Scholarpage 172 note 2 On s'est demandĂ© quelle est cette Église pour laquelle le Christ s'est livrĂ©. N. A. Dahl songe Ă  la communautĂ© vĂ©tĂ©rotestamentaire, l'ancien IsraĂ«l Das Volk Gottes. Eine Untersuchung zum Kirchenbewusstsein des Urchristentums Darmstadt, 1963, pp. 259sq. H. Schlier conjecture qu'il s'agit de l'Église considĂ©rĂ©e comme prĂ©existante en vertu de son Ă©lection Ă©ternelle Der Brief an die Epheser, pp. 255–6. Mais, comme le note J. Gnilka Der Epheserbrief, pp. 279–80 rien n'autorise Ă  confĂ©rer au mot ekkĂ©sia en ce passage un autre sens que celui qu'il a ailleurs dans l'Ă©pĂźtre aux ÉphĂ©siens il s'agit toujours de la mĂȘme Église qui doit son existence au Calvaire; il y a seulement changement dans la dĂ©signation symbolique de son Fondateur non plus la TĂȘte du Corps, mais le FiancĂ©.’page 172 note 3 Telle est la signification la plus gĂ©nĂ©ralement admise du mot rhĂšma en ce passage. On a encore songĂ© au mandat du Christ, Ă  la profession de foi que prononce le baptisĂ©, Ă  un ordre de baptiser tel que celui qu'on lit en Matt, xxviii. 19 etc.
 Cf. J. Gnilka, Der Epheserbrief, pp. 281– 173 note 1 J. Gnilka, Der Epheserbrief, pp. 281–2. Cf. Theologisches Wörlerbuch zum IV, art. louĂŽ A. Oepke, pp. 298–302; M. Collignon, art. Loutrophoros, dans Daremberg–Saglio, t. III, col. 1317 B; J. Huby, Les ËpĂźtres de la captivitĂ©, pp. 229–30; J. Gnilka, Der Epheserbrief, p. 173 note 2 Feuillet, A., Le Christ Sagesse de Dieu Paris, 1966, chapitre v Le Seigneur qui est l'Esprit et le Christ Miroir et Image de Dieu, pp. 113– Scholarpage 173 note 3 La GenĂšse, traduction d'Étienne de Peyer GenĂšve, 1968, p. Scholarpage 173 note 4 Cf. Strack–Billerbeck, 1, 503– 173 note 5 L'Ami de l'Époux Joan III, 29, dans A la rencontre de Dieu. MĂ©morial Albert Gelin Le Puy, 1961, p. 174 note 1 Cf. en ce sens les observations de H. Schlier, Der Brief an die Epheser, p. 174 note 2 Cf. J. Gnilka, Der Epheserbrief, p. 284. Sur l'habitude qu'a Paul de prĂ©parer et d'anticiper en quelque sorte les citations bibliques qu'il fait, Vollmer, H., Die alttestamentlichen Zitale bei Paulus Freiburg und Leipzig, 1895, p. 11; notre ouvrage Le Christ Sagesse de Dieu, p. Scholarpage 175 note 1 Le mot mystĂšre musterion a dans la Bible des racines avant tout apoclayptiques et sapientiales, et l'on peut appliquer au mystĂšre biblique ce que le Siracide dit de la Sagesse divine Le premier Ă  l'avoir cherchĂ©e n'a pas encore achevĂ© de la connaĂźtre, et pareillement le dernier ne l'a pas scrutĂ©e, car plus vaste que la mer est sa pensĂ©e, et son conseil plus vaste que le grand abĂźme’ Si. xxiv. 28–9. Cf. Le Christ Sagesse de Dieu, pp. 302–3 et 175 note 2 Nous renvoyons spĂ©cialement aux deux commentaires dĂ©jĂ  plusieurs fois citĂ©s de H. Schlier et de J. Gnilka pour l'Ă©numeration des diverses interprĂ©tations et des auteurs qui les 175 note 3 Sur ce dernier point, cf. l'enquĂȘte minutieuse de di Marco, Angelo, Mysterium hoc magnum est, dans Laurentianum I 1972, 43–83. L'auteur note fort justement que, mĂȘme s'il est vrai que dans le grec hellĂ©nistique la prĂ©position eis tend Ă  supplanter la prĂ©position en dans le grec moderne celle-ci a complĂštement disparu, dans le grec du Nouveau Testament rares sont les cas oĂč la prĂ©position eis perd sa valeur propre. Dans l'Ă©pĂźtre aux ÉphĂ©siens, on compte 37 emplois de eis; or, selon Angelo di Marco, abstraction faite de ÉphĂ©s. v. 32 qui fait l'objet de son enquĂȘte, pas une seule fois cette prĂ©position ne perdrait sa signification propre qui est d'indiquer un mouvement, ou en tout cas une direction de lieu ou de temps, ou encore une direction d'intention. Quelques cas toutefois font ScholarAbel, F. M. confĂšre Ă  eis le sens neutre de quant Ă , en ce qui concerne’ en ÉphĂ©s. iii. 16 en ce qui regarde l'homme intĂ©rieur’. Grammaire de Grec Biblique Paris, 1927, p. 217, c, 3°. Cependant, plus probablement, il faut comprendre en vue de l'homme intĂ©rieur’. La Traduction OecumĂ©nique du Nouveau Testament propose pour que se fortifie en vous l'homme intĂ©rieur’, ce qui donne raison Ă  Angelo di Marco. NĂ©anmoins nous hĂ©sitons Ă  suivre cet auteur pour la version qu'il propose d'ÉphĂ©s. v. 32 Questo mistero Ăš grande, io lo dico, perchĂš ha per scopo Cristo e la Chiesa’.Google Scholarpage 175 note 4 Traduction OecumĂ©nique de la Bible. Nouveau Testament Paris, 1972, p. 580 Scholarpage 176 note 1 Dictionnaire EncyclopĂ©dique de la Bible, traduit du nĂ©erlandais Turnhout–Paris, 1960, art. Femme, col. 177 note 1 Theologisches Wörterbuch zum 1, art. gameo, p. 177 note 2 Le couple humain dans l'Écrilure Paris, 1962, p. Scholarpage 178 note 1 Sur cette utilisation Vaux, Les institutions de l'Ancien Testament Paris, 1958, I, 45–65;Google ScholarBurrows, M., The Basis of Israelite Marriage New Haven, 1938;Google ScholarNeufeld, E., Ancient Hebrew Marriage Laws London, 1944.Google Scholarpage 178 note 2 Clamer, A., La GenĂšse, dans La Sainte Bible de Pirot, tome I, IĂšre partie Paris, 1953, p. Scholarpage 178 note 3 G. von Rad, La GenĂšse, 179 note 1 Pour tout ce qui suit nous renvoyons spĂ©cialement aux deux ouvrages suivants La Bible, Traduction français sur les textes originaux par Osty, E., avec la collaboration de J. Trinquet Paris, 1973, pp. 1940–4; Introduction Ă  la Bible, Édition nouvelle, tome II, Introduction critique Ă  l' Anccien Testament sous la direction de H. Cazelles Paris–Tournai, 1974, pp. 368–75. On trouvera dans ce dernier ouvrage une bibliographie rĂ©cente du Scholarpage 179 note 2 Osty, E. et Trinquet, J., op. cit. p. Scholarpage 179 note 3 Jacob, E., dans commentaire de l' Ancien Testament, OsĂ©e, JoĂ«l Abdias, Jonas, Amos NeuchĂątel 1965, p. Scholarpage 180 note 1 Cf. par exempleDeissler, A., Les Petits ProphĂštes, dans La Sainte Bible de Pirot, t. VIII, IĂšre partie Paris, 1961, p. 49; La formule mon mari’ symbolise la nouvelle union matrimoniale avec YahvĂ©. ’Ish cf. ii. 9 rappelle l'union voulue par Dieu entre mari et femme Gen. ii. 23 sq..Google Scholar Cf. pareillement Weiser, A., Das Buck der Zwölf Kleinen Propheten Gottingen, 1949, p. Scholarpage 181 note 1 Le terme kallĂąh, usitĂ© 34 fois dans la Bible, dĂ©signe soit la fiancĂ©e Is. xlix, 18; JĂ©r. ii, 32, viii. 34, xvi. 9, XXV. 10; Is. lxi. 10, lxii. 5, etc. soit la belle fille Gen. xi. 31; Ruth i. 6, etc. Ainsi que l'observe Lys, D., Le plus beau chant de la CrĂ©ation. Commentaire du Cantique des Cantiques Paris, 1968, p. 179, ce double sens s'explique du fait que, comme le remarque Kornfeld SupplĂ©ment au Dictionnaire de la Bible, V, col. 908, Ă  propos des lois assyriennes, aprĂšs l'acceptation des cadeaux de fiançailles, la jeune fille est dĂ©jĂ  considĂ©rĂ©e comme Ă©pouse aĆĄĆĄutu et belle-fille kallĂątu’. Il n'y a pas lieu de contester le sens de fiancé’ pour kallĂąh et de fiançailles pour kelĂ»lĂŽt, hapax legomenon de JĂ©r. ii. 2. Wiener qui a proposĂ© pour ce dernier mot le sens d'Ă©pousailles, n'a pas Ă©tĂ© suiviGoogle Scholarcf. JĂ©rĂ©mie ii, 2 “fiançallies” ou â€œĂ©pousailles”’, Recherches de Science Religieuse XLIV 1950, 403–7. Toutes les versions actuelles en JĂ©r. ii. 2 utilisent le mot Scholarpage 181 note 2 Der Brief an die Epheser, p. 181 note 3 Cf. par example A. Diessler, op. cit. p. 49; A. Weiser, op. cit. p. 182 note 1 Contentons-nous d'indiquer ici quelques commentaires d'OsĂ©e qui signalent les ressemblances de langage avec le Cantique des Cantiques Harper, W. R., Amos and Hosea Edinburgh, 1936, p. 414;Google ScholarCheyne, T. K., Hosea Cambridge, 1913, p. 128; A. Deissler, op. cit. p. 129;Google ScholarJacob, E., op. cit. p. 97; Traduction OecumĂ©nique de la Bible, Amos et OsĂ©e Paris, 1969, p. Scholarpage 182 note 2 Robert, A. et Tournay, R., Le Cantique des Cantiques Paris, 1963, p. Scholarpage 182 note 3 Feuillet, A., S'asseoir Ă  l'ombre de l'Époux’ Os. xiv. 8 et Cant. ii. 13 dans Revue Biblique 1971, pp. 391– Scholarpage 182 note 4 Parmi les auteurs qui signalent le contact avec Gen. iii. 16, citons JoĂŒon, P., Le Cantique des Cantiques Paris, 1909, p. 197;Google ScholarBea, A., Canticum Canticorum Romae, 1953, p. 57;Google ScholarGordis, R., The Song of Songs New York, 1954, p. 95;Google ScholarWinandy, J., Le Canlique des Cantiques. PoĂšme d'amour muĂ© en Ă©crit de sagesse Paris–Maredsous, 1960, p. 154;Google ScholarRudolph, W., Das Buck Ruth. Das Hohe Lied. Die Klagelieder 1962, p. 175;Google ScholarRobert, A.–Tournay, R., Le Cantique des Cantiques Paris, 1963, pp. 275–7;Google ScholarKrintetzki, L., Das Hohe Lied DĂŒsseldorf, 1964, p. 225; D. Lys, Le plus beau chant de la CrĂ©ation. Commentaire du Cantique des Cantiques, p. Scholarpage 183 note 1 L'innocence et le pĂ©ché’. Revue Biblique VI 1897, Scholarpage 183 note 2 Le couple humain dans l'Écriture, p. 184 note 1 Nous ne pouvons que renvoyer ici Ă  notre article La formule d'appartenance mutuelle et les interprĂ©tations diverses du Cantique des Cantiques’, Revue Biblique LXVIII 1961, 5–38. Cette monographic est reprise, avec toutefois des modifications, dans un Recueil qui rassemble plusieurs de mes recherches sur l' Ancien Testament et a pour titre Études d' ExĂ©gĂšse et de ThĂ©ologie Biblique, 1, Études sur l' Ancien Testament Paris–Gabalda, Scholarpage 185 note 1 JĂ©rĂ©mie ii. 2 fiançailles’ ou Ă©pousailles’, p. 185 note 2 A. Robert et R. Tournay, Le Cantique des Cantiques, p. 185 note 3 Le Cantique des Cantiques, p. 185 note 4 Feuillet, A., Le Cantique des Cantiques et l'Apocalypse, Recherches de Science Religieuse XLIX 1961, 321– Scholarpage 185 note 5 Cambe, M., L'influence du Cantique des Cantiques sur le Nouveau Testament’, Revue Thomiste LXII 1962, 5– Scholarpage 186 note 1 Sibinga, J. Smit, Une citation du Cantique dans la Secunda Petri’, Revue Biblique LXXIII 1966, 107– Scholarpage 186 note 2 Cf. L. Krinetzki, Der Hohe Lied, p. 186 note 3 Le Cantique des Cantiques, p. 186 note 4 Bible de la PlĂ©iade, 11, 186 note 5 Cf. M. Cambe, L'influence du Cantique des Cantiques, pp. 20– 186 note 6 Cf. F. PĂ©pin, Les Noces de feu. Le symbolisme nuptial du Cantico espiritual de Jean de la Croix a la umiĂšre du Canticum Canticorum, Paris–Tournai–MontrĂ©al, 1973, pp. 73– Scholarpage 187 note 1 Dans ce qui suit nous nous inspirons avant tout de l'article gĂ»nĂš de A. Oepke, Theologisches Wörterbuch zum I, 784–5, ainsi que de J. Galot, Mission et MinistĂšre de la femme, pp. 145–94. Cf. Ă©galement Vinatier, J., La femme. Parole de Dieu et avenir de l'homme Paris, 1972.Google Scholarpage 188 note 1 Cf Buzy, D., Les Paraboles Paris, 1948, p. Scholarpage 188 note 1 Cranfield, C. E. B., sur Marc ii. 29 It would seem to be implied that the healing of Peter's mother-in-law took place on the sabbath cf. v. 21’. The Gospel according to St Mark Cambridge, 1959. Scholarpage 188 note 2 Il semble que le geste de JĂ©sus se mettant deux fois de suite Ă  Ă©crire ou Ă  dessiner sur le sol vv. 6 et 8 soit destinĂ© Ă  marquer sa volontĂ© de ne pas Ă©couter les accusateurs de la femme; ce serait donc un geste de misĂ©ricorde. Westcott, B. F., The Gospel according to St John London, 1937, p. Scholarpage 188 note 3 Traduction OecumĂ©nique de la Bible. Nouveau Testament Paris, 1972, p. 219 Scholarpage 188 note 4 L'opinion courante, c'est que la pĂ©cheresse anonyme de Luc, l'auteur de l'onction de BĂ©thanie, que Jean identifie Ă  Marie, sƓur de Lazare et Marie-Madeleine sont trois personnes distinctes. Cf. par exemple en ce sens Lagrange, L'Évangile de JĂ©sus-Christ Paris, 1932, pp. 159–61;Google ScholarPrat, F., JĂ©sus-Christ, sa vie, sa doctrine, son ĂŠuvre Paris, 1953, II, 501–6. Mais les donnĂ©es du quatriĂšme Ă©vangile, la maniĂšre dont est racontĂ©e l'onction de BĂ©thanie en Jean xii. 1–8, comme aussi la notice de xi. 2 et le rĂ©cit de xx. 11–18 poussent Ă  ne voir qu'une seule femme dans la pĂ©cheresse de Luc, Marie, la sƓeur de Lazare et Marie de Magdala. C'est ce que montrent fort bien tout d'abordGoogle ScholarBernard, J. H., Introductory note on the Anointing of Bethany dans The Gospel according to St John Edinburgh, 1942, II, 409–14;Google Scholar en second lieu Lemonnyer, A., L'onction de BĂ©thanie, dans Recherches de Science Religieuse MĂ©langes Grandmaison 1928, pp. 105– ScholarCf. encore Bailey, J. A., The Traditions common to the Gospels of Luke and John Leiden, 1963, pp. 1–8;CrossRefGoogle ScholarTemple, W., Readings in St John's Gospel First and Second Series London, 1952, pp. 188–91;Google ScholarMorris, L., Commentary on the Gospel of John Grand Rapids, 1971, p. 572 n. 1. Nous nous proposons de revenir prochainement sur ce Scholarpage 189 note 1 Il est certain qu'il faut interprĂ©ter ainsi Jean xx. 17, et non pas comme si le Christ voulait nous dire que son Dieu et son PĂšre n'est pas de la mĂȘme façon Dieu et PĂšre des disciples. Feuillet, A., Le MystĂšre de l'Amour Divin dans la ThĂ©ogie Johannique Paris, 1972, pp. 18– Scholar B3X53.
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  • citation de la bible sur la femme