Lesdonnées recueillies, allant sur des durées de 240 jours à deux ans et plus, sur des rats ou des souris, portaient sur les qualités nutritionnelles mais aussi sur les conséquences physiologiques de l’alimentation OGM : analyses sanguines, poids des organes, etc. Le professeur Séralini, qui se présente en spécialiste de ces questions, doit
Les chats victimes de la mort aux rats Il ne se passe pas un jour sans que dans nos villes des chats soient victimes de la mort aux rats. Beaucoup de propriétaires de chats n'ont aucune conscience des risques encourus par l'ingestion de mort aux rats. 90 % d'entre eux sont rodenticide anticoagulant particulièrement pour leur chat. Les rodenticides sont en effet les produits destinés à lutter contre les rats et les souris. Il faut savoir que 90% des rodenticides sont des anticoagulants à base de dicoumarol ou anti vitamine K. La vitamine K est, précisons-le, une vitamine indispensable dans le processus de coagulation du sang et si celle-ci manque, plus aucune coagulation n'est possible avec toutes les conséquence que cela entraine. Aujourd'hui, ces raticides sont redoutablement efficaces et leur effet toxique apparait de plus en plus rapidement. Leur mode d’action est toujours le même par leur action anticoagulante, ils sont destinés à provoquer la mort par hémorragie. Leur conséquence sur la coagulation demande 15 à 20 heures avant d’être visible sur une analyse de sang et les premiers symptômes apparaissent au bout de 2 à 3 jours. Aujourd'hui la mort aux rats est devenue si appétante que nos amis les chats se précipitent dessus. Le but de notre conseil du jour est de vous indiquer ce qu'il convient de faire suite à une intoxication par la mort aux rats. Il convient en effet de la déceler très rapidement si l'on veut sauver la vie de son chat. Après ingestion, il peut y avoir des vomissements spontanés cependant malheureusement les hémorragies provoquées par la diminution de la capacité à coaguler ne sont pas toujours visibles puisque elle peuvent se produire à l’intérieur du corps. 1/ Vous avez vu votre chat consommer de la mort aux rats Si vous avez vu ou que vous pensez que votre chat a pu consommer des appâts empoisonnés il vous faut immédiatement vous précipiter chez votre vétérinaire afin de le faire vomir et ce au maximum dans les 3 heures qui suivent cette absorption le mieux étant dans l’heure. Au bout de 3 heures, le poison passe dans le sang et faire vomir le chat s'avèrera insuffisant et ne pourra plus enrayer l’intoxication. L’examen du contenu de l’estomac offre la possibilité de constater la réalité de l’ingestion et de son importance. Du charbon activé pourra être éventuellement administré au chat. Vous pourrez également pour vous rassurer faire effectuer, un test de coagulation entre 24 et 72 heures après l’ingestion ou mieux, 2 à 48 heures d’intervalle afin de s’assurer de que le poison n'est pas passé dans le sang. 2/ Votre chat présente les symptômes qui suivent Fatigue brutale, difficulté à se déplacer, saignement des gencives, saignement prolongé d’une plaie, sang rouge dans les selles, dans les urines pensez tout de suite au fait qu'il pourrait peut être avoir assimilé de la mort aux rats. A ce stade, les pertes sanguines peuvent déjà être importantes, même si elles ne sont pas visibles. La consultation en urgence de votre vétérinaire est impérative. Une telle consultation vous permettra, après confirmation du diagnostic par des examens, de débuter en urgence le traitement qui s'impose. Traitement qui peut comporter une transfusion sanguine dans les cas graves. En cas d'intoxication, le traitement, avec l’antidote du toxique, la vitamine K1, durera au minimum 1 mois. Il est recommandé si l'on connait le type de mort aux rats ayant abouti à l'intoxication, de récupérer l'emballage avant d'aller chez le vétérinaire, cela lui facilitera la tâche pour identifier le poison, le type de toxique anticoagulant et ainsi mieux pouvoir le combattre. Pour en savoir plus Une adresse à noter pour s'informer gratuitement en cas d'empoisonnement de son chat 13 produits, aliments ou végétaux à eloigner des chats Si vous aimez cette page et que vous souhaitez recevoir nos meilleurs conseils directement dans votre boite mail, ne manquez pas de vous inscrire à notre newsletter en cliquant ici. 4/4/2015 13/04/2013
Nerien faire. Faire du tort aux rats fera du tort aux hérissons. Mais il faut savoir que les hérissons sortent le soir pour manger. Donc ne rien mettre le matin ou en journée, ce qui pourrait attirer les rats. intègre et fgalette aiment ça.
De nombreuses plantes sont à la fois de redoutables poisons et des médicaments potentiels, à l'image de la jusquiame, mortelle à hautes doses causant par exemple la mort d'Hamlet dans la tragédie de Shakespeare et pourtant aussi un traitement contre la toux. Voici quelques plantes ou herbe aux loups »L'aconit contient des alcaloïdes, dont l'aconitine. Cette plante est aussi appelée herbe aux loups », car elle était employée pour tuer les loups. L'espèce Aconitum napellus est particulièrement dangereuse, notamment par ses feuilles et ses racines 2 à 4 g de racine peuvent tuer un adulte !L'ingestion d'aconit conduit à des sensations de brûlure et des picotements, suivis de vomissements, d'une faiblesse et d'une syncope. Les convulsions peuvent provoquer des anomalies du rythme cardiaque qui entraînent le décès de l' le mythe de Jason et des Argonautes, Médée utilise de l'aconit pour essayer de tuer Jason. Hannibal se serait suicidé avec un mélange d'aconit et de ciguë pour éviter d'être livré aux Romains. L'aconit n'est pas seulement utilisé comme poison il est aussi un antidote au venin des belladone contient de l'atropineLa belladone, en latin Atropa belladona, contient de l'atropine, une molécule anticholinergique capable de bloquer les synapses neuromusculaires où agit l'acétylcholine. Comme ce neurotransmetteur agit au niveau du système parasympathique qui ralentit le cœur, un des effets de l'atropine est d'augmenter le rythme cardiaque. Utilisée dès l'Antiquité, la belladone possède des fruits noirs et des racines plante tient son nom d'une pratique autrefois courante chez les dames de la haute société pour augmenter le diamètre de leurs pupilles, elles utilisaient des gouttes d'une décoction de belladone ou bella dona, belle dame ».L'ingestion de belladone peut conduire à des brûlures de la gorge, une augmentation du rythme cardiaque, des nausées et des vomissements, une élévation de la température, une dilatation des pupilles, des hallucinations sensorielles, et des convulsions pouvant entraîner la mort. Les plantes de la famille de la belladone comme le datura, la jusquiame noire ou la mandragore sont riches en alcaloïdes. La ciguë petite ciguë, grande ciguë et ciguë vireuseIl existe plusieurs plantes dans la famille des ciguës la petite ciguë ou faux persil », dont l'ingestion provoque des troubles digestifs, mais sans être mortelle ;la grande ciguë, dont la tige et les feuilles sont très toxiques et contiennent un alcaloïde puissant, la coniine ;la ciguë vireuse, aux racines ciguë était employée dès l'Antiquité pour donner la mort. Socrate fut contraint de la boire à la suite de sa condamnation. Le colchique et la colchicineLe colchique, qui appartient à la famille des crocus, était connu pour avoir des propriétés abortives. Le bulbe représente la partie la plus toxique, mais la consommation de fleurs est elle aussi de colchique provoque nausées, vomissements, diarrhées hémorragiques, douleurs abdominales, paralysie, voire coma et arrêt cardio-respiratoire entraînant la mort. Le colchique contient un alcaloïde, la colchicine, qui est utilisé en biologie cellulaire pour bloquer la division cellulaire. La colchicine est aussi employée en pharmacie en traitement de la toxicité des digitalesLa digitale, qui tient son nom de ses fleurs en forme de doigts, contient des glycosides cardiaques agissant sur l'activité du cœur, comme la digoxine et la digitoxine. La digitale a été utilisée pour les pointes de flèches, mais aussi dans la pharmacopée les parties de la plante sont dangereuses à la consommation. Même le simple contact peut causer des éruptions cutanées ! La substance toxique extraite de la digitale a été appelée digitaline elle est aujourd'hui utilisée dans des médicaments en raison de ses effets toniques sur le les nombreux symptômes liés à l'ingestion de digitaline nausées, vomissements, etc., la perturbation de la vision des couleurs, avec une vision en vert et jaune, est caractéristique. Van Gogh aurait pu souffrir d'un empoisonnement à la digitaline, ce qui expliquerait les couleurs retrouvées dans sa est un antidote aux troubles de la digitaline. Il existe aussi un anticorps antidigoxine utilisé contre les empoisonnements le Digibind.
Lesrats sont connus pour être porteurs de virus et de bactéries dont certains très graves pour l’homme. La contamination peut se faire par le biais des puces et des tiques que les rats transportent, par la souillure de leurs excréments sur nos aliments ou par leur contact direct, et aussi par la morsure de la bête. On parle de maladies comme la peste, le
A l’état sauvage, les animaux, de part leur instinct, leur évolution et une conception de la nature merveilleuse, ont appris à s’écarter des poisons potentiels comme certaines plantes ou animaux venimeux. Mais le chien, domestiqué par l’homme depuis plus de 30 000 ans, est confronté à d’autres sources d’empoisonnement, parfois naturelles mais souvent crées par l’homme. Voici 8 causes d’empoisonnement chez le chien parmi les plus fréquentes d’après les cabinets vétérinaires et centres antipoison. A la moindre suspicion d’empoisonnement du chien, vous devez absolument consulter un vétérinaire ou au moins l’appeler. 1. Les médicaments2. La nourriture3. La mort aux rats4. Les pesticides5. L’antigel6. Les plantes7. Les produits ménagers8. La nicotinePour conclure 1. Les médicaments L’auto-médication peut présenter des risques pour l’humain alors imaginez les dégâts que peuvent faire nos médicaments sur un chien quand ils sont administrés sans avis vétérinaire. D’autre part, beaucoup d’intoxications graves surviennent alors que le chien, curieux, se saisit d’une boîte de médicaments laissée sur une table en notre absence. Voici 3 exemples de médicaments dangereux, pouvant être mortels pour les chiens Le paracétamol, que l’on connait sous les marques Doliprane ou encore Efferalgan, est fortement déconseillé pour les chiens et encore plus pour les chats. Seul le vétérinaire, en cas de nécessité, prescrira le bon dosage. Pourquoi ? A notre différence, l’enzyme présente dans le foie et permettant de transformer et éliminer le paracétamol n’est que peu présente chez les chiens et absente chez le chat. Ainsi, le paracétamol s’accumule dans le foie, l’intoxiquant tout comme les globules rouges. Les symptômes sont notamment vomissements, diarrhées, abattement, douleurs abdominales. L’aspirine et l’ibuprofène peuvent présenter une intoxication similaire, à défaut d’un dosage correct et d’une utilité certaine. Encore une fois, ne donnez jamais d’aspirine et d’ibuprofène sans l’avis et la prescription de votre vétérinaire. Les symptômes en cas d’intoxication sont les mêmes troubles digestifs que ceux dus au paracétamol avec notamment en plus des hémorragie digestives et dans le reste du corps. En prévention, il est indispensable de ranger les médicaments dans une trousse à pharmacie fermée à clé et veiller notamment, lors de la prise de certains médicaments sécables anxiolytiques, antidépresseurs par exemple à ramasser la partie du cachet qui viendrait à tomber malencontreusement. 2. La nourriture L’empoisonnement par de la nourriture toxique pour les chiens est une cause majeure de consultation d’urgence chez le vétérinaire dans le cadre d’intoxications sévères, et particulièrement lors des fêtes de fin d’année. En effet, bon nombre d’aliments sains pour notre santé sont toxiques pour les chiens et parfois même en petite quantité. Même si partager avec son chien ses mets favoris part d’un bon sentiment, ignorer la dangerosité de certains aliments à son égard peut lui être fatal. Nous en parlions dans notre article 12 aliments qui peuvent tuer votre chien et que vous consommez régulièrement, voici entres autres certains de ces aliments dont vous pourrez retrouver en détail la toxicité et les symptômes inhérents en lisant l’article le chocolat, les raisins secs et le raisin, les os de volaille ou de lapin, les os cuits, les oignons, l’avocat, le lactose à l’âge adulte particulièrement, le sel, la caféine, l’alcool ou encore les noix de Macadamia. Michael Browning © Unsplash 3. La mort aux rats La majeure partie des raticides ou mort aux rats » est fabriquée à base d’anticoagulants brodifacoum et difenacoum pour les plus toxiques qui agissent sur la vitamine K, en diminuant la quantité dans l’organisme et ainsi, empêchant le sang de coaguler lors d’un saignement. Mais l’action de cette substance, facilement absorbable par le chien car présentée sous forme de graines colorées, peut entraîner entre autres des hémorragies digestives graves et des hémorragies internes massives, et être fatale selon les doses ingérées. C’est un des poisons les plus dangereux pour le chien. Les premiers symptômes d’un empoisonnement du chien aux raticides apparaissent hélas tardivement, entre 1 à 4 jours et parfois jusqu’à 8 jours ! Ils se manifestent généralement par une léthargie, un manque d’appétit et d’entrain, des difficultés à se mouvoir boiterie par exemple. On observe parfois la présence de sang dans la bouche, l’urine ou les selles. Au moindre doute, il faut absolument consulter un vétérinaire qui pourra administrer un antidote à temps à base de vitamine K1. Un traitement à base de comprimés peut être administré sur plusieurs mois. Les raticides sont pour la plupart utilisés en milieu rural, attention donc lors des ballades en campagne ! La mort aux rats est hélas également utilisée dans des boulettes de viande empoisonnées par des personnes malveillantes, souvent des voisins aigris ne supportant pas la présence de chiens. Les ordres touche pas » et lâche », si le chien s’en approche ou s’en saisit, ont ici toute leur importance. 4. Les pesticides Le terme pesticide regroupe les insecticides, les herbicides, les fongicides et les parasiticides. Parmi ces substances chimiques utilisées pour lutter contre des nuisibles », certaines sont responsables de plusieurs cas d’empoisonnement chez le chien chaque année. Il est important de tenir hors de portée des chiens les contenants ! Nous relèverons notamment Les antilimaces, à base de métaldéhyde, attirants par leur goût sucré pour les chiens, pouvant entraîner les symptômes suivants deux heures après ingestion salivation excessive, difficultés respiratoires parfois fatales, crises convulsives presque continues. Les antimousses à base de sulfate de fer, qui provoquent en moins d’une heure des vomissements et des douleurs abdominales et dans le pire des cas, selon les quantités ingérées, des tremblements et un coma en raison d’une défaillance du foie et du cœur. Il convient, lors de l’épandage, de veiller à ce que le chien ne lèche pas le produit sur la surface traitée ! Nous pouvons ajouter les antifourmis, les antimites, les insecticides anti-tiques et antipuces pour protéger le chien et notamment ceux utilisés en pipette très dangereux en cas d’absorption orale ou de surdosage ou encore certains engrais et désherbants en particulier à base de glyphosate. 5. L’antigel Peu de personnes sont hélas au fait de l’extrême toxicité de l’antigel pour les chiens et les chats, qui en sont victimes chaque année à l’approche de l’hiver. L’antigel est utilisé dans différents produits comme le lave-vitres ou le liquide de refroidissement pour les voitures mais également pour des circuits de chauffage et des canalisations. L’une des molécules de l’antigel responsable de l’empoisonnement du chien est l’éthylène glycol, un alcool au goût sucré appétant pour les chiens qui peuvent l’absorber facilement. Une dose de 5 ml par kilo de poids corporel du chien peut être fatal ! En somme, un chien de 10 Kg qui absorbe 50 ml d’antigel peut en mourir. Les symptômes sont notamment les vomissements, la perte d’équilibre, le manque de coordination, des problèmes cardiaques et respiratoires. Il est donc primordial de tenir l’antigel hors de portée des animaux et faire attention notamment quand vous remplissez le réservoir du liquide lave-vitres de votre véhicule, de bien nettoyer le liquide éventuellement tombé au sol. Plus d’infos ici sur l’intoxication à l’antigel. 6. Les plantes Malheureusement, certaines plantes peuvent être un poison redoutable pour le chien s’il venait à les ingurgiter et d’ailleurs même pour les jeunes enfants !. Selon le poids du chien et la quantité avalée, l’issue peut être fatale. Voici une liste non exhaustive de plantes toxiques pour les chiens que vous pouvez retrouver en détail dans notre article 8 plantes toxiques pour les chiens ; des plantes qui sont très présentes dans nos habitations et nos jardins Dieffenbachia, Philodendron, Liliacées, Laurier rose, Gui, Ficus, Oreille d’éléphant, Arbre de Jade. Les symptômes communs observés suite à une intoxication par des plantes sont une irritation buccale et des brûlures, une salivation excessive, des vomissements, des difficultés respiratoires ou encore cardiaques. Le Laurier rose toxique pour les chiens – Dimitri Houtteman © Pixabay 7. Les produits ménagers En effet, et c’est logique, la plupart des produits ménagers peuvent empoisonner un chien en un rien de temps. De façon générale, comme tous les produits dangereux que vous ne laisseriez pas à portée des enfants, faites de même pour les animaux de la famille. Attention donc aux détergents eau de javel, liquide vaisselle, pastilles pour lave-vaisselle, lessive, lingettes nettoyantes, nettoyant pour sols etc ; mais aussi aux détartrants. Les symptômes les plus courants en cas d’empoisonnement du chien par ces produits ménagers toxiques sont notamment les vomissements, la salivation et des difficultés respiratoires. Plus d’infos ici sur la toxicité des détergents. 8. La nicotine La nicotine est un poison très puissant longtemps utilisé comme insecticide et depuis interdit en France et dans beaucoup de pays pour cet usage. Les cas d’absorption par les chiens de nicotine contenue dans le tabac peuvent être multiples un chien qui joue avec un paquet de cigarette et avale une partie de son contenu ou encore celui d’un paquet de tabac à rouler. Mais attention également aux recharges de cigarettes électroniques qui peuvent être facilement percées par les crocs d’un chiot ou d’un chien curieux. Après ingestion de nicotine, les signes d’intoxication se manifestent dans l’heure salivation excessive, vomissements et diarrhées. En cas d’intoxication aiguë, des convulsions, des problèmes respiratoires et cardiaques peuvent survenir. Attention également aux substituts nicotiniques comme les patchs et les gommes à mâcher. Ne laissez jamais traîner des produits à la nicotine à portée des chiens ! Pour conclure Comme nous venons de le voir, toutes ces sources d’empoisonnement potentielles du chien sont évitables sauf actes délibérés évidemment à condition d’en connaître l’existence et d’être vigilant. Votre capacité à déceler ces symptômes et un comportement anormal chez votre chien suite à une intoxication, aura un rôle décisif dans la prise en charge rapide par l’équipe vétérinaire. En outre, une mutuelle santé permettra de limiter le coût des soins souvent onéreux dans le traitement de ces urgences vitales cliquez ici pour les comparer gratuitement sur notre site. Crédit photo freestocks-photos © Pixabay Recommandations importantes Prendre soin de la santé de son chien est une priorité. Certaines maladies et accidents peuvent nécessiter des frais vétérinaires conséquents chirurgie, hospitalisation, traitements. Ne risquez pas d'être pris au dépourvu ! Nous vous conseillons vivement de souscrire une assurance santé pour chien afin d'être remboursé jusqu'à 100%. Obtenez dès maintenant votre devis gratuitement et en 2 minutes grâce à notre comparateur d'assurance ci-dessous
Sourced’intoxications chez le chien et le chat, l’antigel à base d’éthylène glycol arrive en 2ème position des intoxications mortelles les plus fréquentes chez ces animaux.Parcourez cet article pour comprendre le risque lié à ce poison mortel et protéger vos chiens et chats.. Ethylène glycol : un poison toxique (chien et chat) Usages de l’éthylène glycol
Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012 La suite après la publicité C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait. En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine "Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre. Nom de code In Vivo Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence. Le récit de l’opération – nom de code In Vivo - évoque la très difficile récupération de semences de maïs OGM NK 603, propriété brevetée de Monsanto, par le truchement d’un lycée agricole canadien. Puis la récolte et le rapatriement des "gros sacs de jute" sur le port du Havre fin 2007, avant la fabrication de croquettes dans le secret le plus total et la sélection de deux cents rats de laboratoires dits "Sprague Dawley". Bilan ? Glaçant "Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur".La suite après la publicité Dans l’Obs Oui, les OGM sont des poisons par LeNouvelObservateur Pathologies lourdes, tumeurs mammaires Tous les groupes de rats, qu’ils soient nourris avec le maïs OGM traité ou non au Roundup, l'herbicide de Monsanto, ou encore alimentés avec une eau contenant de faibles doses d’herbicide présent dans les champs OGM, sont frappés par une multitude de pathologies lourdes au 13e mois de l’expérience. Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM. Comparaison implacable les rats nourris au maïs OGM déclenchent donc de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats nourris sans OGM quel que soit leur sexe. Au début du 24e mois, c’est-à -dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles nourries aux OGM sont touchées contre seulement 30% chez les sans-OGM. Surtout, les tumeurs surviennent nettement plus vite chez les rats nourris aux OGM vingt mois plus tôt chez les mâles, trois mois plus tôt chez les femelles. Pour un animal qui bénéficie de deux ans d’espérance de vie, l’écart est considérable. A titre de comparaison, un an pour un rongeur, c’est à peu près l’équivalent d’une quarantaine d’années pour un homme…La suite après la publicité Exiger des comptes C’est forte de ces conclusions que Corinne Lepage, dans un livre qui paraît vendredi 21 septembre "La vérité sur les OGM, c’est notre affaire", Editions Charles Léopold Mayer, entend bien exiger des comptes auprès des politiques et des experts, français et européens, des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles, qui se sont si longtemps opposés et par tous les moyens au principe d’une étude de longue durée sur l'impact physiologique des OGM. Cette bataille, l’ex-ministre de l’Ecologie et première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg, la mène depuis quinze ans au sein du Criigen Comité de Recherche et d’Information indépendantes sur le Génie génétique avec Joël Spiroux et Gilles-Eric Séralini. Une simple association 1901 qui a pourtant été capable de réunir de bout en bout les fonds de cette recherche 3,2 millions d’euros que ni l’Inra, ni le CNRS, ni aucun organisme public n’avaient jugé judicieux d’entreprendre. Une étude financée par Auchan et Carrefour Comment ? Autre surprise en sollicitant la Fondation suisse Charles Léopold Mayer. Mais aussi les patrons de la grande distribution Carrefour, Auchan.., qui se sont réunis pour l'occasion en association. Depuis la vache folle, ces derniers veulent en effet se prémunir de tout nouveau scandale alimentaire. A tel point que c’est Gérard Mulliez, fondateur du groupe Auchan, qui a débloqué les premiers suite après la publicité L’étude du professeur Séralini laisse donc présager une nouvelle guerre meurtrière entre pro et anti-OGM. Les agences sanitaires exigeront-elles de toute urgence des études analogues pour vérifier les conclusions des scientifiques français ? Ce serait bien le moins. Monsanto, la plus grande firme mondiale de semences transgéniques, laissera-t-elle faire ? Peu probable sa survie serait en jeu. Pour une seule plante OGM, il y a une centaine de variétés. Ce qui impliquerait au moins une dizaine d'études de 100 à 150 millions d’euros chacune ! Le temps de la vérité Sauf que, dans cette nouvelle confrontation, le débat ne pourra plus s’enliser comme par le passé. Dés le 26 septembre, chacun pourra voir au cinéma le film choc de Jean-Paul Jaud, "Tous Cobayes ?", adapté du livre de Gilles-Eric Séralini, et les terribles images des rats étouffant dans leurs tumeurs. Des images qui vont faire le tour de la planète et d’internet, puisqu'elles seront diffusées sur Canal+ au "Grand Journal" du 19 septembre et sur France 5 le 16 octobre dans un documentaire. Pour les OGM, l’ère du doute s’achève. Le temps de la vérité commence. Etude publié par la revue américaine "Food and Chemical Toxicology" La suite après la publicité > A lire l'interview de Gilles-Eric Séralini, ainsi que des extraits de son livre "Tous cobayes!" Flammarion, dans "Le nouvel Observateur" du 20 septembre. Téléchargez le magazine - sur PC / Mac - sur iPhone / iPad - sur Android
Lorsquel’on croise un rat ou une souris dans sa maison, l’on est rarement content. L’on s’interroge alors sur la meilleure façon de s’en débarrasser et l’on pense immanquablement à la mort-aux-rats. C’est une bonne idée à condition de respecter certaines précautions lorsque l’on la manipule. Suivez nos conseils !
LES ARCHIVES DU FIGARO - Au début du XXe siècle, le Conseil municipal de Paris est très préoccupé par la prolifération des rats dans la capitale. L'administration fait appel aux Borgias des rats», des spécialistes des poisons pour éradiquer ces hôtes devenus très partenariat avec RetroNews, le site de presse de la BNFArticle paru dans Le Figaro du 31 décembre question des rats de ParisIl y a une question des rats. Il ne s'agit pas des jolis rats de l'Académie nationale de musique, bien qu'il y ait à l'Opéra des rats véritables qui habitent les sous-sols et s'y livrent à des ébats qui n'ont rien de chorégraphique, -mais bien des rongeurs à longue queue et à dents acérées qui commencent à envahir Paris au fur et à mesure du développement de la cité souterraine. Le Conseil municipal s'en préoccupe, et le service de l'assainissement, direction de l'hygiène, se demande par quels moyens on pourra se débarrasser de ces hôtes encombrants et, dans une certaine mesure, dangereux. À première vue, on est tenté de croire que le problème est facile à résoudre, et qu'avec des crédits suffisants on atteindrait aisément le but. C'est une erreur. L'administration a essayé d'opérer tout d'abord par ses propres moyens, et elle a échoué. C'est que le rat de Paris est un animal très particulier, pas bête du tout, qui n'a rien de commun avec le grossier rat des campagnes ou le rat naïf de province. C'est que le rat de Paris est un animal très particulier, pas bête du tout, qui n'a rien de commun avec le grossier rat des campagnes ou le rat naïf de province. Il a eu l'honneur d'occuper des esprits sérieux, comme Toussenel*, Alfred Delvau** et Privât d'Anglemont, qui ont rendu à ses qualités de finesse et à ses instincts débrouillards un légitime hommage. Il a su arranger son existence parasitaire et mystérieuse de manière à se procurer le maximum des jouissances de la vie avec le minimum de pouvez parcourir les égouts dans les grands collecteurs, vous ne verrez pas un rat. Ils se gardent bien de se hasarder dans ces larges voies, parcourues toute la journée par des milliers de personnes. Il y a constamment, en effet, dans les artères du sous-sol, huit ou neuf cents égoutiers, auxquels il faut ajouter les nombreux employés du service des eaux, du télégraphe, du téléphone, de l'air comprimé, chargés d'entretenir ces canalisations multiples qui donnent aux coupes du terrain de Paris l'aspect d'une planche anatomique. Le rat fuit naturellement ces parages trop fréquentés. Il a l'horreur des foules. Il se réfugie dans les branches latérales, dans les canaux étroits et bas où l'homme ne peut que difficilement pénétrer. Gravure repésentant un dératiseur parisien au début du XVIIIe siècle. Rue des Archives/© Granger NYC/Rue des ArchivesDe plus, il est admirablement documenté sur les ressources des différentes régions du sous-sol. Il connaît les endroits où l'eau ne lui apporte que de maigres détritus, reliefs d'humbles tables et résidus de pauvres cuisines. Les délicats recherchent les quartiers riches et élégants. Les simples gourmands fondent leurs colonies aux environs des grands établissements, institutions, couvents, hôpitaux, casernes, où ils sont sûrs de trouver sinon des mets de choix, tout au moins une nourriture saine et abondante». Mais partout ils observent les mêmes règles de prudence dans le choix de leur domicile, et ceux qui s'égarent dans les endroits fréquentés sont ou de jeunes étourdis ou des explorateurs trop hardis que leur témérité conduit à une mort obscure et inutile. C'est par la ruse qu'il faut les combattre. Ce n'est donc pas par la force qu'on peut lutter contre eux. Les procédés classiques restent sans effet. Marcasse, le chasseur de bestioles de Mauprat qui pourfendait de sa longue rapière les rats, les campagnols et les taupes, y perdrait son escrime. Les coups de bâton des égoutiers ne font que de rares victimes. C'est par la ruse qu'il faut les combattre. Et comme l'administration était mal outillée pour cette guerre, elle a fait appel à des il y a des spécialistes, et la profession de destructeur de rats, bien que peu connue, ne laisse pas d'être lucrative. Il y a même, à Paris, des preneurs de rats» qui mettent leur amour-propre à s'emparer de l'ennemi vivant; en quoi leur amour-propre est d'accord avec leurs intérêts, attendu que les rats ainsi pris sont envoyés en Angleterre pour servir aux combats entre rongeurs et chiens ratiers qui sont un des sports favoris d'outre-Manche. Ces industriels gagnent, paraît-il, beaucoup d'argent. Mais ils n'ont pas répondu à l'appel de la direction de l' rats de Paris sont très vite édifiés sur les pièges et arrivent très rapidement à enlever avec dextérité les appâts sans se faire prendre. Aussi les chasseurs de rats vivants doivent-ils changer fréquemment de champ d'opération. Et puis il eût fallu des milliers et des milliers de pièges, et cette mobilisation d'engins de fil de fer eût coûté des prix fous. Alors on s'est adressé aux spécialistes du poison. Et on a ouvert un véritable concours. Alors on s'est adressé aux spécialistes du poison. Et on a ouvert un véritable concours. Ces Borgias des rats sont assez nombreux, et chacun possède sa formule, naturellement infaillible, et dont il garde jalousement le secret. Un certain nombre d'entre eux se sont présentés. On leur a donné à chacun un lot à purger de ces rongeurs malins et sournois, le privilège de détruire les rats de Paris devant être accordé à celui qui aurait obtenu les meilleurs résultats. Les concurrents commencèrent par étudier le terrain. Puis, quand arriva le moment d'entamer la campagne, ils disparurent tous comme par enchantement. Les difficultés, les avaient seul resta et entreprit résolument sa tâche. Il semble d'ailleurs qu'il en a été récompensé, car il a pu présenter au directeur de l'hygiène un tableau assez abondant, et l'administration a décidé de lui permettre de continuer ses essais. Si ceux-ci restent, satisfaisants, ce mortel courageux et heureux sera chargé de poursuivre en grand sa besogne. Nous aurons un fonctionnaire de plus. Celui-là du moins sera utile, et, à une époque où tout se rapetisse, on ne sera pas sur pris de voir un capitaine de raterie» remplacer les capitaines de louveterie à peu près Louis Rouvray.* Alphonse Toussenel 1803-1885 est un écrivain et journaliste français il a rédigé en particulier des études d'histoire naturelle.** Alfred Delvau 1825-1867, journaliste et écrivain français. Auteur d'ouvrages sur Paris et son histoire.
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Vous entendez des grattements dans vos murs ou vos cloisons en placoplâtres ? Ces bruits sont bien souvent perceptibles la nuit ? Vous êtes probablement en présence d’une ou plusieurs souris. La présence de rongeurs n’est jamais agréable, mais quand celles-ci ont établi leur nid dans les murs, la situation est encore plus inconfortable. Nos experts en extermination de souris vous livrent leurs astuces pour vous aider à vous débarrasser des nuisibles qui se cachent dans vos murs, sans entreprendre des travaux de démolition. 2 méthodes pour vous débarrasser des souris dans vos murs Avant de vous équiper de pièges ou de rodenticides, il vous faut déterminer l’emplacement exact du nid ainsi que le chemin emprunté par les souris durant leur quête de nourritures. Pour cela, écoutez attentivement les bruits et recherchez toutes les ouvertures à proximité pouvant être utilisées par ces rongeurs. Une fois cette analyse réalisée et les points d’entrée identifiés, vous pouvez appliquer les deux méthodes ci-dessous pour vous débarrasser des souris. Les pièges à ressort Les pièges à ressort peuvent être très efficaces lorsqu’ils sont disposés à des endroits stratégiques. Cette méthode d’extermination est la moins cruelle puisqu’elle tue généralement les souris sur le coup, contrairement aux pièges collants. Si vous optez pour un piège avec appât, utilisez ceux qui dégagent une forte odeur le beurre d’arachide et la graisse de bacon sont les plus efficaces. Les poisons destinés aux rongeurs Si l’infestation de souris a pris des proportions importantes, il se peut que les pièges à ressort ne suffisent plus à la contenir. Dans ce cas, vous aurez peut-être besoin d’utiliser du poison pour venir à bout des souris. Percez un trou dans votre cloison sèche, à quelques centimètres du sol. Remplissez le trou avec un piège à souris parfumé, couvrez le dessus de la boîte avec du cellophane transparent et fixez la boîte contre le mur. Dans les 48 h qui suivent, vérifiez à travers la cellophane si une souris a mordu à l’hameçon. Vous devriez avoir du succès le jour même. Répétez le processus jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de souris dans le mur. Que faire des souris mortes dans les cloisons ? Même si vous avez réussi à exterminer les intrus dans vos murs, l’odeur des souris mortes pose un problème. Les cadavres ne doivent pas être laissés à l’intérieur de votre mur, sans quoi ils finiraient par attirer d’autres nuisibles. La pratique est assez simple Munissez-vous d’une paire de gants, d’une perceuse, d’une lampe torche et de scellant pour éviter les maladies transmissibles par les excréments de parasites. Localisez l’endroit où se trouve le cadavre en perçant un trou de la taille d’une pièce de monnaie, à quelques centimètres du sol, dans la cloison de la cavité qui semble dégager l’odeur. Servez-vous d’une lampe torche ou d’une lumière de votre téléphone intelligent pour voir si vous y trouvez une souris morte. Si la recherche ne révèle rien, essayez un autre trou dans la cavité adjacente. Si vous voyez une souris morte, découpez un trou plus grand 6 pouces sur 9 devraient suffire dans la cloison pour enlever et éliminer le cadavre. Refermez la cloison avec du scellant. Comment agir après avoir chassé les souris dans les murs ? Si vous avez réussi à chasser les souris de vos murs, vous avez gagné une bataille, mais pas la guerre. Il faut alors sceller les zones d’entrée. En bloquant tous les trous et toutes les fissures qui pourraient servir de point d’entrée aux petits rongeurs et autres nuisibles, vous réduirez de beaucoup les risques que ceux-ci se faufilent jusque dans vos murs. Le calfeutrage préventif est donc très utile pour lutter contre les souris. Besoin d’aide pour vous débarrasser des rongeurs dans vos cloisons? Avec ces informations et ces conseils en main, vous êtes maintenant mieux outillé pour vous débarrasser d’intrus qui auraient élu domicile dans vos murs. Si vous êtes aux prises avec un problème d’infestation dans votre résidence, n’hésitez pas à contacter Élite Gestion Parasitaire. Spécialisée en extermination, en prévention et en décontamination, leur équipe saura vous apporter de bons conseils, en plus de vous débarrasser des souris pour de bon.
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4/26 Le révérend Jim Jones en campagne. Photo sans date ni lieu. © Michèle VIGNES / Gamma-Rapho via Getty Images 5/26 Jim Jones et sa "rainbow family" le chef religieux et son épouse Marceline ont adopté sept enfants, dont trois d'origine coréenne, une amérindienne et un afro-américain. Ils posent ici avec la belle-soeur de Jones à droite et ses enfants, en 1976 en Californie. Cette photo, sans date ni lieu, fait partie de l'album retrouvé à Jonestown, après le suicide collectif. © Don Hogan Charles/New York Times Co./Getty Images 6/26 "Sous le bimoteur qui devait les rapatrier, les corps de l'enquêteur américain Leo Ryan, des trois journalistes et d'une jeune femme qui fuyait la secte." - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Bettmann / Getty Images 7/26 Jackie Speier, l'assistante du représentant américain Leo Ryan, est rapatriée à Georgetown le 19 novembre 1978. La veille, elle a été touchée de cinq balles, tandis que son patron était abattu sous ses yeux, avec trois journalistes et une jeune femme qui fuyait la secte. C'est l'événement qui déclenchera le suicide collectif. Selon elle, c'est dans le vol qui la ramène chez elle, grièvement blessée, que Jackie Speier se fait la promesse de servir les citoyens, comme Leo Ryan. Elle deviendra à son tour représentante démocrate de la Californie au congrès, défendant des causes comme le droit à l'avortement, l'égalité raciale et LGBT, la défense de l'environnement ou le contrôle des armes à feu. © Bettmann / Getty Images 8/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © Matthew NAYTHONS/Gamma-Rapho via Getty Images 9/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif, qui a fait 909 morts, dont 304 enfants. © David Hume Kennerly / Getty Images 10/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © David Hume Kennerly / Getty Images 11/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif © Frank Johnston/The Washington Post/Getty Images 12/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Au premier plan, le corps de Jim Jones. © David Hume Kennerly / Getty Images 13/26 "Derrière le baquet maintenant aux deux tiers vide, on voit les fioles contenant les éléments entrant dans la composition du poison mortel. Aucun de ceux qui en ont bu n'en ont réchappé." - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Bettmann / Getty Images 14/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © David Hume Kennerly / Getty Images 15/26 "C'est au nombre de 260 [plus une cinquantaine de bébés...] que les enfants ont été systématiquement exterminés. En premier, à coups de seringue par les infirmières. Et cela sous les yeux de leurs parents." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 © David Hume Kennerly / Getty Images 16/26 "'Ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le répéter'. Cette sentence, liée à l'histoire du nazisme, James Jones l'avait fait inscrire au-dessus de son trône. Elle traduisait une obsession que le chef du Temple du Peuple avait fait partager à ses fidèles. Pour mourir, ceux-ci se sont enlacés au pied du dérisoire trône de bois" - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Bettmann / Getty Images 17/26 "Cet enfant entre ses parents enlacés. Il est l'une des [304] petites victimes que les fanatiques ont entrainées avec eux dans la mort". - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Frank Johnston/The Washington Post/Getty Images 18/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Au premier plan, les seringues qui ont empoisonné ceux refusant de se donner la mort. © Matthew NAYTHONS/Gamma-Rapho via Getty Images 19/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Même les chiens ont été tués. © David Hume Kennerly / Getty Images 20/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © David Hume Kennerly / Getty Images 21/26 "Les hommes, les femmes, les enfants et même les animaux domestiques sont morts empoisonnés. Seul vivant, dans ce cimetière, le perroquet qu'avait apprivoisé James Jones." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978. © David Hume Kennerly / Getty Images 22/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © Tim Chapman / Hulton Archive / Getty Images 23/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. © Bettmann / Getty Images 24/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Le corps de Jim Jones. © Bettmann / Getty Images 25/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Les cercueils de métal, avant le rapatriement des corps aux Etats-Unis. © Bettmann / Getty Images 26/26 Jonestown, au lendemain du suicide collectif. Les cercueils de métal, avant le rapatriement des corps aux Etats-Unis. © Matthew NAYTHONS/Gamma-Rapho via Getty Images C’est un enfer comme l’aurait peint Bruegel l’ancien. "Le triomphe de la mort", mais dont le décor idyllique aurait été imaginé par le douanier Rousseau. Ces images, publiées dans Match le 1er décembre 1978, sont parmi les plus terrifiantes que notre magazine ait eues à publier. Quelque 900 corps sans vie, dont ceux de 304 enfants, allongés presque tous face contre terre, leurs cotonnades colorées détonnant dans le vert luxuriant de la jungle du Guyana. Au milieu de cette étendue cauchemardesque de cadavres, un homme gît, à la différence des autres, sur le dos. C’est lui, Jim Jones, soi-disant révérend, le diable responsable de cette apocalypse. Le 18 novembre 1978, cet Américain a mené à la mort les 908 adeptes de sa secte du "Temple du peuple" , dans l’un des plus dramatiques suicides collectifs de l'Histoire. Cinq ans auparavant, Jim Jones, réincarnation de Jésus-Christ, Bouddha ou Lénine selon les prêches, avait délocalisé son "église" de San Francisco vers l’ancienne colonie britannique de Guyane. Loin des Etats-Unis corrompus, le révérend mégalo avait fondé un nouveau monde à son nom, "Jonestown", un "projet agricole" basé sur son habituel pot pourri de christianisme new-age, de vague socialisme et de promesse d’égalité raciale. Pour le millier d’adeptes qui le suit, en majorité des Noirs américains pauvres, la société idéale se transforme rapidement en un triste camp de misère. Six jours sur sept sont remplis d’un travail harassant sous le soleil, le ventre vide. Jones, lui, alterne messes, drogues et abus sexuels. Une fois par semaine, il impose une "nuit blanche" à ses ouailles, contraintes d’avaler -et de faire avaler à leurs enfants- du faux poison. La suite après cette publicité Découvrez Rétro Match, l'actualité à travers les archives de Match... La suite après cette publicité C’est qu’il faut être prêt à mourir, le jour où la CIA viendra mettre fin à leur utopie, évidemment dangereuse pour le capitalisme. C'est dans cette atmosphère de soupçons qu'un membre du Congrès américain Leo Ryan débarque le 17 novembre 1978 après des plaintes de parents de "fidèles". Le lendemain, alors qu'il s'apprête à regagner son avion, il est assassiné avec trois journalistes par les nervis du révérend. Au même moment, dans un ultime prêche, Jones persuade ses fidèles que "Jonestown" sera bientôt pris d'assaut par les marines. "Je ne propose pas que nous commettions un suicide mais un acte révolutionnaire", affirme-t-il dans la "death tape", un enregistrement sonore glaçant des 45 dernières minutes du camp, retrouvé près de son corps. On prépare des bassines de soda au cyanure, et les fidèles s’alignent, boivent et meurent en cinq minutes. Ceux qui refusent sont contraints, ceux qui s’enfuient sont rattrapés et empoisonnés à la seringue. Sur la bande enregistrée, c’est une cacophonie de cris de douleurs, de musique liturgique et d'applaudissements fanatiques. Et puis montent les pleurs des enfants qui vont mourir. Jones s’agace "Arrêtez cette hystérie ! Ce n'est pas une façon de mourir pour des socialistes ou des communistes. Mourons avec dignité". Jones, lui, s’offrira une fin plus rapide, d’une balle dans la tête. La suite après cette publicité La suite après cette publicité Voici le premier récit du massacre de Jonestown dans Paris Match en décembre 1978... Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 Le trône du chef ne domine plus que des cadavres Photo de gauche "'Ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le répéter'. Cette sentence, liée à l'histoire du nazisme, James Jones l'avait fait inscrire au-dessus de son trône. Elle traduisait une obsession que le chef du Temple du Peuple avait fait partager à ses fidèles. Pour mourir, ceux-ci se sont enlacés au pied du dérisoire trône de bois" - Photo de droite "Dans les dernières heures de sa vie, il se prenait pour Dieu. Quand il pose pour cette photo quelques heures avant la tragédie,, Jones pense-t-il déjà faire assassiner l'enquêteur américain et les journalistes qui l'interviewent ici ? Il se donnera la mort le lendemain avec sa femme, un de ses enfants, et [900] fidèles à qui il avait fait signer le 'pacte du suicide' avant de quitter les Etats-Unis." - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Paris Match Il les a guidés jusque dans la mort et son trône ne règne plus que sur des cadavres. Le maître du Temple du Peuple, James Jones, ancien pasteur, âgé de 46 ans, né d'un père irlandais et d'une mère indienne croyait à sa mission messianique. C'est à Indianapolis, ville à forte population de couleur, qu'il fonde le Temple. II a 18 ans et mesure son emprise sur ses auditoires et rêve d'abolir toutes les distinctions sociales. Mais, très vite, il est attiré par la Californie, ce bouillon de culture de toutes les aspirations, de toutes les nostalgies, de toutes les expériences. II affirme déjà être une réincarnation du Christ. Marxisant, il est de tous les combats contre la guerre du Vietnam et engage le Temple dans les campagnes électorales qui porteront au pouvoir des hommes politiques influents. Le maire de San Francisco lui offre même la direction des services municipaux du logement de la ville. Mais derrière le fonctionnaire municipal, perce déjà le dangereux illuminé. Le pape de la secte a ses obsessions, l'holocauste nucléaire proche et l'arrivée au pouvoir d'un nazisme américain, dangers contre lesquels il mobilise ses troupes. Psychopathe et cruel, ses méthodes d'endoctrinement inquiètent sévices et lavage de cerveaux conduisent ses adeptes à l'obéissance absolue. Dernier rêve construire une communauté idéale loin des miasmes de la société américaine. II choisit la Guyane anciennement britannique et donne son nom à la colonie qu'il fonde Jonestown. Trois mille adeptes le suivent. La semaine dernière l'aventure s'est terminée en drame En prenant cette photo les enquêteurs se sont condamnés à mort Photo de gauche "Cette photo du camp de la secte à Jonestown au milieu de la forêt vierge a été retrouvée sur le cadavre d'un des journalistes assassinés. Elle a été prise quelques heures avant le massacre des enquêteurs et le suicide collectif des illuminés." - Photo de droite, en haut "Au centre, le cameraman Bob Brown se prépare à filmer l'interview de James Jones de dos par le journaliste Don Harris de profil. Les deux reporters seront assassinés" - Photo de droite, en bas "Sous le bimoteur qui devait les rapatrier, les corps de l'enquêteur américain Leo Ryan, des trois journalistes et d'une jeune femme qui fuyait la secte." - Paris Match n°1540, 1er décembre 1978 © Paris Match C’est parce qu’ils ont pris cette photo du camp de la secte à Jonestown, c'est parce qu'ils ont enquêté sur ses mystérieuses activités, c'est parce qu'ils avaient accepté de ramener avec eux aux Etats-Unis vingt-deux transfuges prêts à tout dire, que le député américain Léo Ryan et trois journalistes qui l'accompagnaient ont été abattus au moment où ils regagnaient leur avion, par des tueurs de la secte embusqués dans une remorque. Les fanatiques du Temple du Peuple » voulaient garder leurs secrets. Après avoir assassiné les enquêteurs, ils se sont condamnés eux-mêmes au silence éternel. Ces hommes et ces femmes en tenue tropicale qui semblent sur cette photo deviser en souriant en assistant à l'arrivée de la commission d'enquête, seront dans quelques heures étendus morts au même endroits empoisonnés ou, pour les hésitants, abattus à coup de fusil. Que voulaient-ils donc cacher ? On sait que le chef de la secte usait de violence pour contraindre ses ouailles» au travail forcé sur sa plantation de Guyana. La vie à Jonestown s'apparentait à celle d'un camp de concentration » ont affirmé plusieurs témoins. Sur les dix mille hectares du domaine, les fidèles travaillaient onze heures par jour, six jours par semaine, sous la surveillance de gardes armés. De multiples exercices d'alerte les persuadaient qu'ils vivaient sous la menace d'une invasion de mercenaires enrôlés par les ennemis du Temple. Enfin, des sévices physiques faisaient partie des rites ordinaires de la secte. Les enfants eux-mêmes, pris souvent en otages pour garantir l'obéissance des parents, étaient aussi victimes de mortifications, voire d'actes de sadisme, destinés à ancrer en eux le sentiment de fidélité absolue au chef. Paranoïaque et atteint du délire de la persécution, James Jones pensait enfin que la seule réponse que le Temple pouvait opposer à ses ennemis, c'était le suicide collectif. Quel horrible secret, peut-être satanique, les fanatiques de la secte du Temple du Peuple » ont-ils voulu emporter avec eux dans leur monstrueuse, gigantesque, fosse commune ? Les illuminés ont bu la mort dans ce chaudron C'est dans ce grand chaudron [voir diaporama, NDE] de métal que les fidèles illuminés ont bu tour à tour le poison cyanure de potassium mélangé à des herbes locales composé sur l'ordre de Jones par le médecin et les infirmières de la communauté aussitôt après le départ des enquêteurs américains du village. Les membres de la secte se sont approchés du baquet les uns après les autres regroupés par affinités ou par famille pour boire la dose mortelle. Ensuite, toujours par petits groupes, ils sont allés s'allonger çà et là , parfois enlacés, parfois main dans la main afin de se soutenir dans l'horrible épreuve. Le poison était si violent qu'il ne semble pas que les malheureux dont on a jusqu'ici, retrouvé les cadavres, aient eu le temps de souffrir très longtemps. Des membres de la colonie, réticents devant le suicide, ont-ils été abattus par d'autres fanatiques armés ? Des rescapés de l'holocauste ont affirmé avoir vu des hommes de Jones sortir un grand nombre d'armes automatiques d'un dépôt de munitions. L'avocat de la secte, Mark Lane, qui s'est enfui dans la jungle au moment du drame, a déclaré avoir dénombré quatre - vingt - cinq tirs d'armes semi-automatiques. Jones, auparavant, avait prêché la mort pendant dix minutes, en une véritable incantation au sacrifice. C'est la mort seule qui nous délivrera du danger qui nous menace » avait-il dit. II a suivi ses fidèles dans cet immense suicide collectif. Voici le second récit consacré par Paris Match au massacre de Jonestown... Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 Quel enfer cachait ce paradis ? A Jonestown l'horreur a dépassé tout ce que l'on pouvait croire. En réalité c'est près de 1 000 cadavres qui ont été finalement dénombrés dans le paradis tropical » de Guyana ! Alors la raison et même l'imagination vacillent. Comment un homme comme le révérend » James Jones pouvait-il régner sur une telle communauté ? » Comment se fait-il que l'on se soit trompé dans le décompte des corps ? ». Pourquoi a-t-on laissé pourrir au soleil des cadavres pendant trois jours ? » Pourquoi des hommes politiques ont-ils fait appel à James Jones pour mobiliser leurs électeurs ?» Pourquoi le vice-président Mondale avait-il, autrefois, exprimé son admiration pour l'oeuvre entreprise par le leader du Temple du Peuple ? » Pourquoi le maire de San Francisco entretenait-il avec lui les meilleures relations ? » Beaucoup d'hommes politiques américains pensent que lorsque l'enquête en cours à Guyana et aux Etats-Unis aboutira, elle débouchera sur des révélations et un scandale qui pourraient faire autant de bruit que celui de Watergate. II reste 80 survivants. Ils ont beaucoup à dire, mais tous ceux qui n'étaient pas à Jonestown et savaient ce qui s'y passait, parleront bientôt eux aussi. Ceux qui refusaient de boire le poison furent piqués Suicides ? Ils furent certes extrêmement nombreux mais beaucoup de malheureux ont été assassinés. C'est ainsi que de nombreux enfants qui refusaient de boire l’orangeade au cyanure furent immobilisés et on leur injecta le poison à l’aide de seringues. Stanley Clayton, l'un des 80 survivants, raconte J'ai vu une femme supplier qu'on la laisse vivre. Immédiatement elle a été condamnée par l'assistance qui s'écriait Ce n'est pas à vous de prendre cette décision ! C'est à nous ». Tandis qu'elle se débattait, maintenue par plusieurs fidèles, elle a reçu une piqûre intraveineuse ». Pour mieux convaincre les mères de choisir la mort, les infirmières s'emparaient de leurs enfants et, après les avoir piqués devant elles, elles les jetaient au sol. Pendant toutes ces scènes, le Révérend James Jones, assis sur sa chaise surélevée comme un trône, répétait Suivez-moi et vous serez libérés de vos peines ». Mais la plus cruelle de ces exécutions - selon la police de Georgetown - fut celle de M. Sharon Amos et de ses trois enfants. Elle fut l’œuvre, accusent les policiers, de Charles Edward Beikman, 43 ans, un ami de vingt ans de Jones, chargé des relations publiques du Temple du Peuple. Il a exécuté la famille Amos et leurs trois enfants, dans leur salle de bains, en leur tranchant la gorge l'un après l'autre avec un rasoir. C’est parmi les tout derniers, après même que les chiens eurent été piqués à leur tour, que Jones s’est suicidé d'une balle dans la tempe droite. Parmi les survivants, Michaël Prokes qui s'est enfui avec une valise contenant un demi-million de dollars. Et une vieille dame, Hyacinth Trush qui dormait. Quand elle s'est éveillée, elle a vu que tout le monde dormait, y compris sa soeur Emma, morte, elle aussi Sur ces photos prises quelques jours avant le drame, rien ne laissait prévoir... Photo de gauche, en haut "L'atelier de réparation de vieux vêtements revendus aux USA." - Photo de gauche, au milieu "L'atelier de soudure. On y faisait des bijoux." - Photo de gauche, en bas "La nursery comptait quelque cinquante bébés, tous exécutés." - Photo de droite "À Jonestown, les cultures principales étaient l'arachide et la banane. La communauté vivait de sa production." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 © Paris Match La vie quotidienne dans le paradis terrestre » de James Jones dans la Guyana était en apparence consacrée aux joies simples du jardinage et à l'artisanat. Les fidèles fabriquaient de l' huile sainte », une huile d'arachide, ainsi que des vêtements de prière en laine grossière, des cierges et de menus bijoux revendus au prix fort aux Etats-Unis. Pour les reporters tout semblait normal et chacun paraissait heureux. Dans un laboratoire de photographie, on tirait par milliers des portraits du Révérend Jones vendus par la suite 125 F pièce aux Etats-Unis. Chacun était censé protéger du feu ou du vol celui qui s'en rendait acquéreur. Si l'on achetait dix de ces portraits, pour la somme globale de 1 250 F, l'on était alors à l'abri de toutes les formes d'agressions ou de catastrophes naturelles Des réunions d'auto-critique avaient lieu en public. Les fidèles confessaient les délits ou les mauvaises pensées » dont ils s'étaient rendus coupables. On a appris depuis qu'ils recevaient à titre de punition quelques coups de trique. Des punitions collectives, dites réunions de famille » groupaient jusqu'à une centaine de personnes qui, après avoir avoué en choeur et d'une seule voix leurs péchés » étaient fouettées en présence des autres fidèles. Quiconque s'approchait du pasteur Jones devait l'appeler ou Mon Père » ou Maître ». En retour, il nommait ses adeptes Mes enfants ». Et c'est tout sourire que soudain, voulant prouver son pouvoir, il exigeait d'une de ses fidèles qu'elle plonge la main dans une casserole d'eau bouillante. II agit ainsi une fois avec sa propre épouse. Et chaque fois, il disait Grâce à moi, vous ignorez ce qu'est la peur et le mal ». Beaucoup d'observateurs estiment qu'un régime frugal - riz, haricots, oeufs - et peut-être des tranquillisants ou des hallucinogènes maintenaient cette passivité mieux que tous les sermons. Les 260 enfants qui allaient mourir avaient l’air heureux Photo de gauche "C'est au nombre de 260 que les enfants ont été systématiquement exterminés. En premier, à coups de seringue par les infirmières. Et cela sous les yeux de leurs parents." - Photo de droite, en haut "La dernière classe cette photo a été prise 19 jours avant l'exécution en masse de ces enfants et de leur institutrice." - Photo de droite, en bas "La classe enfantine. Ces enfants qui apprenaient les premiers rudiments de l'orthographe et du calcul ont subi le même sort." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 © Paris Match Ces écoliers et leur jolie institutrice sont morts dix-neuf jours après la prise de cette photo. C’était le 31 octobre dernier comme en témoigne le tableau noir en haut à droite dans l'école du Temple du Peuple en Guyana. On se pose encore la question de savoir si même pour ces enfants qui avaient l'air heureux sur les photos, cette communauté n'était pas sinon un goulag, une sorte de camp de travaux forcés. II semble que les enfants en effet, eux aussi, marchaient autant à la trique que sous l'effet d'hallucinogènes. Les plus âgés d'entre eux étaient comme leurs parents astreints à diverses corvées pénibles et à un enrégimentement idéologique poussé qui ne leur laissait guère de repos. A l'heure du châtiment les tueurs seront, pour eux sans pitié. La plus dure épreuve pour les adultes était, selon les rescapés, le discours marathon du pasteur qui duraient jusqu'à six heures d'horloge. Il leur annonçait inlassablement l'apocalypse, le massacre par la chambre à gaz de tous les gens de couleur. Et paradoxalement, il terminait ses homélies en louant autant le Très Haut que Karl Marx. Lénine et... Adolf Hitler. Depuis son établissement en Guyana, le pasteur avait mis en place aux Etats-Unis une section administrative » avec laquelle il communiquait régulièrement par radio, et en langage code. II demandait que les traîtres » soient poursuivis, menacés de mort. II semble qu'un de ces déserteurs », Christopher Lewis ait été ainsi exécuté à San Francisco en décembre 1977 sur ordre du pasteur. James Jones le mystère étonnant d'un empire sur ses fidèles Photo de gauche, en haut "Campagne démocrate en 1976 les membres de la secte miment l'esclavage des Noirs." - Photo de gauche, en bas "Le pasteur Jones à Guyana avec son perroquet, l'un des survivants du massacre." - Photo de droite "Baptême par l'immersion dans la piscine de l'église de Redwood Valley, en 1973. Assis au centre, le pasteur Jones." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 © Paris Match L'homme, ce prophète de Dieu, selon son expression, disposait d'une sorte de magnétisme. II rayonnait, avouent ceux qui l'ont connu. II savait découvrir en nous l'essentiel de notre personnalité. Sa voix était très prenante.» Je l'ai aimé, avoue Fanny Mobley, une Noire qui fut de 1972 à 1976 un membre zélé de sa secte. Le révérend chantait magnifiquement les cantiques du Seigneur. Et puis soudain il est devenu comme ce docteur Jekyll qui se transforma en Mister Hyde... » En fait, quiconque entrait dans l'église du révérend Jones devait, non seulement lui céder tous ses biens, mais lui confier sa famille. Outre ceux qui vivaient directement sous sa coupe en Guyana, il régnait sur 10 000 fidèles dispersés en Californie. Ceux qui travaillaient dans une quelconque entreprise devaient lui remettre l'intégralité de leurs salaires. Certains considérés comme des mauvais payeurs » étaient mis à l'amende. Robert Houston, 33 ans, qui s'est suicidé en 1976, devait remettre chaque mois une somme de dix mille francs aux services financiers » du pasteur. Mais le plus extraordinaire est sans doute la vie sexuelle de James Jones, dont une des secrétaires avait pour seule tâche de contacter en son nom ceux de ses fidèles, féminins ou mâles, qui avaient attiré son attention. II interdisait toute relation sexuelle entre mari et femme. L'apprenait-il, sous la forme de confession publique, que la main sur le coeur, défaillant, il avouait Cela me fait plus mal encore qu'à vous. » Et il ordonnait la punition le fouet. Son père avait été membre du Ku Klux Klan Tout le milieu politique américain avait cru à sa bonne foi Photo de gauche "Le révérend Jones prenant la parole en faveur de Jimmy Carter, candidat démocrate à la présidence des Etats-Unis, et de Walter Mondale, candidat à la vice-présidence." - Photo de droite "Jones, aux cotés de Rosalynn Carter, épouse du futur président, durant un meeting destiné à réunir des fonds pour financer la campagne électorale de Jimmy Carter pour la présidence." - Paris Match n°1541, 8 décembre 1978 © Paris Match Formidable pavé dans la mare, la mort de James Jones et de ses adeptes, et surtout le dépouillement de ses archives dans sa colonie de Guyana, a révélé les appuis, et même l'estime sincère, dont disposaient le pasteur et son mouvement religieux parmi les plus hautes personnalités américaines. Le vice-président Walter Mondale avait déclaré dans une lettre adressée au pasteur Votre engagement profond et celui de votre congrégation dans les questions constitutionnelles et sociales de notre pays est une grande inspiration pour moi... ». Dans une lettre semblable, le secrétaire d'Etat à la Santé et à l'Education, Joseph Califano, avait affirmé Vos principes humanitaires et votre intérêt dans la protection des libertés individuelles ont apporté une extraordinaire contribution au développement de la dignité humaine ». Enfin, le sénateur Humphrey, aujourd'hui décédé, mais hier encore l'une des figures de proue du monde politique américain, avait écrit au pasteur Votre travail est un témoignage positif et véritablement chrétien de ce qui peut être fait pour résoudre les problèmes de notre société... ». Mais le plus extraordinaire de ces témoignages est celui de l'épouse du président des Etats-Unis, Rosalynn Carter, qui a déclaré J’ai eu un grand plaisir à être avec vous durant la campagne électorale. Vos commentaires sur Cuba sont utiles. J'espère que vos suggestions pourront être réalisées bientôt... ». Réponse de la Maison Blanche La Première dame des Etats-Unis a simplement rencontré James Jones durant un meeting soutenant, à San Francisco, la candidature de son mari lors de sa campagne présidentielle.
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Accueil » Maison » 7 astuces naturelles pour vous débarrasser des rats de chez vous … sans produits chimiques ! Les rats se trouvent partout dans le monde. Ce sont des rongeurs capables de vivre dans les conditions les plus inhospitalières, surtout dans les maisons, cachés loin des regards. Ils sont très destructeurs et peuvent fissurer facilement des murs et la tuyauterie. Mais, comment s’en débarrasser ? Sans parler de l’hygiène, ces créatures désagréables laissent leurs excréments partout et sont également porteuses de maladies terribles pour les humains. Si vous avez des enfants dans la maison, les risques sont encore pires, parce que les plus petits jouent souvent sur le sol et sont exposés aux morsures, aux déchets et aux poils de ces bestioles. Comment éliminer les rats naturellement ? Ces vermines se reproduisent facilement, puisqu’une femelle peut avoir 15 portées de 22 petits de manière annuelle, donc s’ils ne sont pas éradiqués de votre maison à temps, vous risquez de faire face à une colonie. Les pesticides chimiques qui existent sur le marché sont si forts que vous serez obligés de quitter votre maison pendant plusieurs jours. Le problème est qu’à votre retour, vous êtes susceptibles d’être exposés aux résidus de ces produits chimiques qui peuvent mettre en danger votre santé et celle de vos enfants. Pour se débarrasser des rats avec des remèdes naturels, vous devez être intelligents pour les piéger. Les rats qui vivent dans les paquets sont assez rusés, s’échappant et envahissant votre maison avec les maladies qu’ils portent. Pour tuer les rats naturellement, les gens choisissent généralement la nourriture préférée des rongeurs le fromage». L’ingrédient est aspergé avec un poison chimique qui est ensuite placé sur un piège à rat pour attirer le rongeur. Cette vielle technique est efficace, sauf qu’elle met en danger les animaux de compagnie et les enfants de moins de 5 ans. Dans la suite de cet article, nous vous proposons quelques méthodes naturelles plus simple et super efficaces pour lutter contre les rangeurs … Voici les 7 meilleures astuces naturelles que nous vous recommandons pour éradiquer les rats de chez vous 1- Le soda Ceci est très efficace, puisque les souris ne peuvent pas éructer, en mettant des boissons gazeuses et sucrées à des points stratégiques où vous savez que le rongeur fréquente, vous lui garantissez un mort certaine dans la matinée. 2- Plâtre de paris Cette méthode consiste à faire un mélange de gypse, de farine et de sel, mettre ce mélange sur les entrées de votre maison ou là où vous pensez que cette créature pénètre. Quand la créature en mange, ce mélange durcit à l’intérieur dans son estomac en quelques heures, éliminant ainsi cette vermine de votre maison. 3- Chocolat et plâtre Les rongeurs aiment le sucré, donc le chocolat est un excellent ingrédient pour attirer l’attention de ces créatures. Vous mélangez la poudre de chocolat et le plâtre à parts égales, cette méthode fonctionne de la même manière que la précédente. 4- Poivre Le poivre saupoudré près des trous peut tuer des rats naturellement. L’odeur piquante gonflera leurs poumons en les rendant incapables de respirer et vont mourir éventuellement. 5- Feuille de laurier Les rats ont tendance à regarder la feuille de laurier comme de la nourriture. Pour tuer les rats naturellement, vous pouvez placer ces feuilles dans leurs trous. Ces rongeurs s’étoufferont en mangeant les feuilles. 6- Boules de mite Une des façons de tuer les rats naturellement est avec l’aide de balles de mites. Ces petites choses sont toxiques pour les humains ainsi que pour les rats qui peuvent sûrement les tuer. Pour les attirer tremper quelque boules dans de l’huile d’olive. 7- Élever un chat La méthode la plus ancienne pour tuer des rats s’est de s’allier avec leur ennemi naturel le chat. Peu importe où le rat se cache, le chat a le dont de le trouver et de l’éliminer. Choisissez un chat chasseur pas un paresseux.
Ayanodoit être au moins niveau 1 en biologie. Ensuite, il faudra se rendre à l'infirmerie, et prendre la seringue et le tranquillisant (également récupérable via le menu "drops" d'Info-chan, ou en mettant du poison 'maux de tête" dans le bento d'un élève) puis demander à une élève de suivre Ayano après avoir effectué leur tâche. Pour pouvoir kidnapper une
Aucun logement n’est exempt de rat ! En effet, souvenez-vous que ces rongeurs dépendent partiellement de nous, en nettoyant nos canalisations et en mangeant nos déchets. Mais quand ils commencent à prendre le contrôle de nos maisons, nous ferions peut-être mieux de recourir aux mort-aux-rats. Alors, de quoi s’agit-il ? Où en trouver ? Et surtout comment s’en servir pour venir à bout de ces nuisibles ? Suivez-nous ! Mort-aux-rats Qu’est ce que c’est ? La mort-aux-rats est un produit rodonticide qui tue les rongeurs, ce qui signifie qu’il possède des propriétés raticides qui tue les rats. Ses composants traditionnels sont l’arsenic et le thallium. Mais puisque ces derniers présentent des effets nocifs pour l’homme et les animaux domestiques, leur utilisation a été abandonnée. Aujourd’hui, les mort-aux-rats sont composées d’anticoagulants, de convulsivants, de cardiotoxiques, de cytotoxiques ou encore d’hypercalcémiants. Ces derniers présentent l’avantage d’entrainer une mort lente des rongeurs. Mais en quoi est-ce avantageux ? Eh bien ! Sachez que les rats sont des rongeurs extrêmement suspicieux. Le groupe envoie toujours un éclaireur pour gouter un échantillon de nourriture. Si celui-ci meurt instantanément à cause du poison, vous pouvez être sûr que l’appât ne sera pas consommé par le reste de la horde. Les composés cités ci-dessus provoquent une morte retardée en quelques jours ou semaines, ce qui veut dire que les rats du groupe peuvent être empoisonnés sans éveiller leur soupçon. Les différents types de mort-aux-rats Les raticides sont disponibles sous plusieurs formes en pâtes, en blocs ou en graines. Ces derniers sont additionnés d’appâts pour attirer les rongeurs. Pour ce qui est des compositions chimiques, 2 grandes familles se distinguent AnticoagulantsConvulsivantsSubstances activesDifénacoum, CoumaphènePentétrazole, StrychnineCaractéristiquesIl s’agit d’antivitamines K. Ces composés chimiques neutralisent l’action de la vitamine K qui joue un rôle essentiel dans la coagulation du sang des rongeurs. Les anticoagulants ne sont efficaces que s’ils sont ingérés en grande quantité. Les rats et les souris meurent 5 à 10 jours après famille de raticide occasionne des spasmes musculaires. Le rongeur tombe alors dans le coma et meurt par la suite. Dans la plupart des cas, les convulsivants entrainent une mort rapide d’un rat, ce qui peut éveiller la suspicion de ses congénères. Ces dernières pourront donc ne plus ingérer les appâts empoisonnés. Il existe également d’autres compositions chimiques, mais elles sont rarement utilisées dans la fabrication de mort-aux-rats. CardiotoxiquesCytotoxiquesHypercalcémiantsSubstances activesscillirosidePhosphure de zincCholécalciférol, calciférolCaractéristiquesCes composés chimiques ciblent le système cardiovasculaire du cytotoxiques attaquent directement les cellules vitales de l’animal, provoquant une mort très de ce produit accentue la concentration de calcium dans le corps, entrainant un arrêt cardiaque du rongeur. Vous connaissez désormais les principaux types de raticides vendus sur le marché. Il ne reste plus qu’à les acheter. Mais où en trouver ? Comme la plupart des produits destinés à la lutte contre les nuisibles, il est possible d’acheter du raticide dans les magasins physiques ou sur internet. Si votre emploi du temps vous le permet, il est toujours conseillé d’effectuer votre achat dans les magasins physiques comme les jardineries ou les drogueries. Vous pourrez ainsi bénéficier des conseils d’un vendeur. Néanmoins, cela ne vous empêche pas de commander sur l’achat en ligne présente également de nombreux atouts. Vous trouverez un large choix de produits avec des tarifs plus attractifs. Toutefois, n’effectuez vos achats qu’auprès de sites e-commerce fiables. Nous voulons tous faire des économies, mais hors de questions d’acheter des produits sur des plateformes aux sources douteuses. De toute façon, sachez que le prix des raticides vendus sur le commerce reste très raisonnable. Comptez environ 10 euros pour 1 paquet. 2 paquets suffisent généralement pour débarrasser ces rongeurs de votre maison. Mort au rat comment l’utiliser ? Pâtes, blocs, graines… les produits raticides sont bien efficace pour venir à bout de ces nuisibles. Attention toutefois, car ils ne sont pas sans risque. En effet, les composants de certaines mort-aux-rats peuvent intoxiquer l’homme et les animaux domestiques. Par conséquent, il est primordial de bien savoir les utiliser et respecter certaines précautions. Lors du déballage, ne touchez pas les appâts avec les doigts. Vous risqueriez de laisser votre odeur et éveiller la méfiance des rats. Pensez donc à mettre des sur les lieux de passage des rats une petite quantité de pâte, de bloc ou une pincée de les appâts dans une cachette sécurisée sous une tuile, dans les tuyaux, sous les planches…. Cela permettra aux rats ou aux souris de se sentir en sécurité pour avaler le produit à leur aise. Placer les raticides dans un endroit inaccessibles vous évitera d’ailleurs d’empoissonner vos animaux de compagnie par les appâts si de manger, de boire ou de fumer pendant l’utilisation des soigneusement les paquets après utilisation, surtout s’il reste encore des appâts. Placez-les ensuite hors de portée des enfants. Car les couleurs rose et bleu de ces granules pourraient attirer l’attention de ces fois empoisonnés, les rats peuvent périr n’importe où. Leur corps en putréfaction dégagera alors une odeur pestilentielle. D’où la nécessité de contrôler régulièrement les moindres recoins de la maison après quelques jours, y compris dans les endroits difficiles d’ pas de lire la notice d’utilisation. En cas de forte infestation, faites appel à un professionnel ! Votre maison fait l’objet d’une forte prolifération de rongeurs ? Même si la tentation est grande d’acheter de la mort-aux-rats dans le commerce afin de faire des économies, il n’est pas certain que ce soit la meilleure alternative. Si 1 ou 2 paquets suffisent pour venir à bout d’un petit groupe de rats, c’est une autre paire de manches lorsqu’il s’agit d’endiguer une forte infestation. Gérer ce genre de problème prend du temps et de l’énergie. Se faire aider par un dératiseur est donc plus judicieux, d’autant plus que ce professionnel offre des garanties. Les prestations tournent généralement autour de 80 euros.
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